En attente [PV Kaze Iwari] [hentai][Fini]

Kaze sentit bien vite que sa compagne s'était tout de suite endormie dans ses bras. Il eut un peu de mal à s'endormir, repensant à sa soirée. Il était heureux de pouvoir dormir et surtout rester à ses côtés. Il n'en demandait pas plus. Puis, la fatigue le prit avec toutes ces pensées et ferma les yeux pour ne plus les rouvrir.

Il faisait jour lorsque Kaze rouvrit ses lourdes paupières. Il bougea alors ses bras et sentit tout de suite de Miyuki n'était plus dans le lit. Il se redressa aussi vite, regrdant partout dans la pièce : personne. Où était-elle ? Le jeune homme regarda l'heure sur sa montre : il n'était que 7h02. Il lâcha un soupir de soulagement. Cela aurait été bête de ne pas faire le chemin vers le lycée avec elle. Puis, il entendit de l'eau coulée. Il sourit sur le moment et finit par sortir du lit, tout remettant son caleçon. Il traversa alors la pièce et se dirigea vers la salle de bain. Il attendit un moment avait de l'ouvrir et finit par se décider.

Miyuki était belle et bien là, en train de se doucher. Kaze ferma la porte avec discrétion et se rapprocha de la cabine. Pouvait-il la rejoindre ? Il rougit sur le moment et ouvrit alors le rideau. Il la vit, adossée contre le mur. Il n'attendit pas plus longtemps et la prit dans ses bras. Sentir sa peau mouillée contre lui, révélait des désirs en lui. Kaze déposa alors un baiser sur les lèvres de Miyuki.

" Bonjour mon amour. " chuchota-t-il.

Miyuki avait finit par fermer les yeux sous la douche, comme si elle allait se rendormir, alors qu'elle était pourtant bien eveillée. Mais avec le bruit de l'eau, elle n'avait même pas entendu Kaze ouvrir la porte et tirer le rideau. Elle fut donc surprise de se retrouver dans ses bras :

- Kaze ? Tu es déjà debout ?

La jeune femme avait pensé qu'il aurait dormit encore un petit moment, ne serait-ce que le temps de sa douche, elle s'était visiblement trompé. Elle eut un petit sourire lorsque son bien aimé déposa un baiser sur ses lèvres, et l'enlaça à son tour, caressant un peu son dos :

- Tu veux prendre une douche ? Attends... Je finis vite la mienne...

Et puis, ainsi, elle aurait le temps de préparer le petit déjeuner après tout.

Les lèvres de Miyuki, le jeune homme crut que cela faisait une éternité qu'il n'y avait touché. Il la regarda intensément. Visiblement, la jeune femme semblait étonnée qu'il soit levé aussitôt. Mais Kaze s'en voudrait de ne pas avoir profité de cet instant. Il continua de l'enlacer jusqu'à ce qu'elle lui propose de prendre une douche.

Kaze, coquin comme il était, srapprocha alors sa tête d'une oreille de sa bien-aimée, la mordit un peu, histoire de faire monter la pression et de faire durer le plasir. Puis, il finit par lui murmurer à l'oreille, doucement mais avec une voix tellement sensuelle.

" Je veux bien en prendre une... mais avec toi... "

Ils avaient encore le temps, les cours ne commençaient pas tout de suite. Et puis, savoir qu'il allait se séparer d'elle... Non, il devait penser à l'instant présent et non à ces cours. Ils avaient quand même une vie privée en dehors de ce lycée, alors qu'ils la vivent plainement.

Miyuki fut surprise que Kaze ne lui réponde pas. Avait-il besoinde réfléchir ? Bon, après tout, sa première question était un peu idiote, puisqu'il était déjà en face d'elle. Quand à savoir la raison, personne ne savait jamais pourquoi il se reveillait, c'était comme ça, c'est tout.

Et ce fut à ce moment là que la jeune femme remarqua que son bien-aimé avait rapproché ses lèvres de son oreille pour la mordiller, ce qui la fit fremir de plaisir sous l'eau chaude. Jusqu'à entendre cette réponse légèrement provocatrice qui la fit rougir :

- Que... Avec moi ?

Ils en avaient le temps, ce serait d'ailleurs même plus rapide que de prendre des douches séparément, donc il n'y aurait pas de problèmes de retard. Mais Miyuki ne savait plus tellement qu'est-ce qu'elle devait dire, et resta immobile, l'eau de la douche eclaboussant leur deux corps.

L'eau chaude qui tombait sur le corps assez musclé de Kaze le faisait frémir de plaisir. Son petit manège de mordre amicalement l'oreille de Miyuki semblait avoir de l'effet. La jeune femme se mit à nouveau à rougir et hésita sur le moment. Mais depuis le temps que Kaze la cotoyait, il savait qu'elle en avait envie. Cependant, elle resta immobile.
Alors Kaze se redressa et l'embrassa langoureusement pendant qu'il enleva son caleçon. Avec un de ses pieds, il l'envoya on-ne-sait-où et caressa de ses mains les bras de Miyuki. Puis, sentant le plaisir monter en lui, il se mit à lécher le buste de sa bien-aimée, en passant par la pointe de ses seins. Pour cela, il un lécha un et remonta juste au buste en passant par le creux des seins. Et enfin, il termina par le cou. Mais il se redressa, se mettant ainsi droit et la regarda dans le fond des yeux.

" Oh Miyuki, fais-moi plaisir... s'il te plait... " demanda-t-il.

Il aimait aussi les caresses de son amour et aimerait bien aussi qu'elle participe également. Mais si elle ne voulait pas, ce qui n'était pas facile, il l'avouait, il n'insistera pas d'avantage. Mais il voulait lui aussi ressentir ce genre de plaisir, qu'elle se manifeste aussi dans leur amour. Une fois le premier pas passé, le cap, comme on disait, et tout allait pour le mieux après.

Miyuki avait déjà un peu comprit le manège de Kaze, mais, comme la plupart du temps, essayait de savoir s'il ne cherchait pas autre chose. Mais en vérité, elle ne s'était pas trompé, surtout lorsque celui-ci enleva son caleçon.

Les joues rouges et les yeux fermés, la jeune femme tourna rapidement la tête sur le côté, beaucoup trop embarassée, surtout lorsque son bien-aimé commença à s'en prendre à sa poitrine, léchant les extremités de ses seins avant de suivre un chemin pour arriver jusqu'au cou. Ce qui lui arracha d'ailleurs quelques gemissements, jusqu'à ce qu'il s'arrête.

Ouvrant doucement les yeux, Miyuki se tourna alors vers Kaze, qui semblait vraiment vouloir le faire. Et la sensei ne voulait qu'une chose, c'était lui faire plaisir. Mais pourtant, elle ne savait pas comment s'y prendre, et risquait de ne pas faire grand chose :

- Je... D'accord...

Elle se blotissa alors contre lui, et, étant bein plus petite, arrivait à peine jusqu'au cou. Caressant doucement ses bras sous l'eau chaude, elle hésita un instant avant d'approcher ses lèvres de son torse, sortant timidement sa langue pour lécher à peine une seconde un de ses tétons. Mais elle recula ensuite la tête, encore trop gênée.

Pendant ce petit trajet, Miyuki avait pousser de petits gémissements de plaisir mais s'arrêta net quand le jeun homme s'était redressé, lui demandant alors à son tour de lui faire plaisir. Elle accepta bien qu'hésitante. Alors, Kaze, laissa ses bras pendre le long de son corps et sentit l'eau qui coulait tout le long de son corps. Jamais il n'aurait pensé faire cela dans la salle de bain.

Il ferma les yeux, renversant sa tête en arrière, voulant ressentir pleinement ce qu'elle allait lui faire. Doucement, il sentit la jeune et fragile Miyuki qui s'était blottie contre lui. Il aurait voulu la prendre dans ses bras, mais cela l'arrêta sûrement, alors il décida de rester immobile. Kaze sentit alors les doigts de son amour qui caressaient avec douceur ses bras. Ne voyant pas ce qu'elle faisait ou allait faire, il lui faisait confiance.

Le jeune homme eut un frisson qui lui traversa tout le corps, lorsque la jeune sensei approcha ses lèvres de son torse pour lécher timidement l'un de ses tétons. Mais le plaisir ne dura pas plus d'une seconde. La jeune Miyuki venait de reculer sa tête, vraiment trop gênée. Kaze redressa alors la sienne et rouvrit les yeux. Etant plus grand qu'elle, il ne vit pas complètement son visage et par conséquence, son expression.

" Tu es trop gênée, c'est pour ça ? Je ne te force pas. "

Kaze était un peu déçu mais comprenait ce que cela faisait pour Miyuki. Il venait chez lui, pour lui avouer son amour, et qui plus est, ils venaient de faire l'amour ! Et là, il voulait encore le faire, mais dans la salle de bain. Peut-être qu'il leur fallait encore du temps.

Miyuki était fachée contre elle-même. Elle voulait faire plaisir à Kaze, parce qu'elle l'aimait, et pour le remercier de tous les efforts qu'il avait fait pour elle. Alors que la jeune femme n'arrivait même pas à lui donner quelque chose, elle se sentait terriblement honteuse et recula jusqu'au mur, s'était détachée de l'etreinte :

- Je... Je ne sais pas... Comment faire...

Elle tourna alors la tête sur le côté, fermant les yeux. Elle aurait préféré n'avoir jamais subit quelque chose qui l'avait traumatisée au point de rester vierge jusqu'à vingt-deux ans et de rester dans l'incapacité de pouvoir ne serait-ce que donner un peu de plaisir à l'homme qu'elle aimait :

- Pardon... Je ne sais rien faire...

Miyuki plaça alors son bras devant ses yeux, cachant ses larmes déjà bien camouflées par l'eau qui dégoulinait le long de son visage et de ses cheveux. La sensei était toujours aussi honteuse et préférait ne pas regarder Kaze.

Suite à la réplique de Kaze, cela n'avait fait qu'empirer les choses. En effet, la jeune sensei recula jusqu'au mur, se détachant complètement de l'étreinte. Kaze la regarda, se sentant un peu coupable de ce qu'il lui demandait. Il baissa alors les yeux jusqu'au moment où des mots sortirent de la bouche de Miyuki : elle ne savait pas comment faire pour lui donner du plaisir. Le jeune sensei releva son regard. Elle était terriblement désolée.

Miyuki tourna alors sa tête sur le côté, fermant les yeux. Kaze sentit qu'elle s'en voulait, qu'elle était fâchée contre elle-même. Alors qu'il commença à se rapprocher d'elle, voulant la reprendre dans ses bras, elle ajouta après une excuse, qu'elle ne savait rien faire. Elle enchaîna en mettant son bras devant ses yeux, comme pour cacher ses larmes. Avec l'eau de la douche, impossible de le savoir mais Kaze le sentait.

Alors tout doucement, il se rapprocha d'elle, et retira ce bras qui cachait ce beau visage. Il avait vu juste, ses yeux étaient de nouveau rouge. Il ne chercha pas plus loin et la força à se mettre dans ses bras. Sentant alors son corps contre le sien, Kaze ne la lâcha plus, serrant l'étreinte de plus en plus. Il posa délicatement sa tête sur une des épaules.

" Ne t'excuses pas. Tu as voulu essayer et je vais te dire quelque chose... j'ai adoré pour le peu que tu m'as fait. "

Puis tout doucement, l'une de ses mains descendit le long du dos de Miyuki pour venir se glisser sur l'une des fesses bien douce de son amour. D'un geste de glissade, sa main vint se retrouver sous la cuisse qu'il leva de façon à ce qu'il puisse la pénétrer de nouveau. Il eut un nouveau frisson qui traversa son corps.

" Si tu ne peux le faire pour moi... alors ce sera à moi de te faire plaisir. "

Miyuki n'osait presque plus regarder Kaze maintenant, tellement elle avait peur de l'avoir vexé. Après tout, cela s'était déjà produit plusieurs fois. Lorsqu'ils avaient été devant le lycée par exemple, et que la jeune femme lui avait la ché la main sans prevenir. Ou encore quand elle lui avait demandé de continuer alors qu'elle était incapable de le supporter. Dans le fond, elle était toujours aussi maladroite, mais c'était peut-être le seul moment où elle regrettait le plus ce défaut.

Enfin, plus pour très longtemps. Lorsque son bien-aimé retira son bras, voyant ses yeux rouges, Miyuki fut d'abord très gênée de se montrer comme ça et chercha à détourner le regard, mais fut surprise lorsque le jeune homme la serra contre lui avec force, l'empêchant de partir et lui déclarant qu'elle n'avait pas à s'excuser, et qu'il avait aimé ce qu'elle lui avait fait :

- C'est... Vrai ?

La jeune femme eut alors un fremissement en sentant la main de Kaze glisser sur son dos avant d'atteindre une de ses fesse pour glisser sous sa cuisse, jusqu'à la lever. Au début, Miyuki n'y comprenait rien, excepté lorsque l'homme qu'elle aimait la pénétra en douceur. Ce qui redonna naissance à plusieurs cris répétés de plaisir pendant que ses bras s'accrochaient à son dos :

- Kyaaah ! Kaze !

Elle se mit alors à beaucoup transpirer, surtout avec l'eau chaude qui se déversait sous eux. Ses mains glissèrent assez facilement, et la sensei avança ses lèvres pour lécher le menton de Kaze, poussant quelques cris entre deux.

Kaze ne lui en voudra jamais de ces petites manies à vouloir se cacher lorsqu'elle était gênée. Au contraire, c'était ce qui lui donnait du charme et le jeune homme ne pouvait y échapper. C'est pourquoi, il adorait la serrer dans ses bras. Mais ce dernier contact avait éveillé en lui le désir de la rependre. Il n'avait pas demandé son avis et avait enchaîné les actions, la pénétrant une nouvelle fois en douceur.

Miyuki ne put laisser échapper quelques cris de plaisirs. Alors ses bras s'accrochèrent à son dos. Elle poussa un cri qui semblait être celui du plaisir en même temps que celui du prénom du jeune homme. Sentant que sa bien-aimée éprouvait de nouveau du plaisir, il la plaqua doucement contre le mur de la douche et fit quelques vas et viens. D'ailleurs, il sentit qu'il transpirait sur le moment, mais l'eau de la douche camouflait toute sueur. Et puis cela se sentait, les mains de Miyuki glissèrent dans son dos. Mais ce que le jeune homme ne vit pas venir était le geste de son amour : elle avança alors ses douces lèvres pour lécher le menton de Kaze, entre chaque petit cri de plaisir.

De sa main agile, Kaze tenait toujours la jambe Miyuki, lui offrant quelques caresses entre chaque mouvement, lui permettant ainsi une meilleure pénétration. De son côté, il se mit à gémir : C'était l'extase.

" Oh oui... Miyuki... je t'aime... "

Il lançait quelques mots, montrant ainsi son amour et son plaisir à la pénétrer. Il mit alors sa tête en arrière, laissant l'eau lui couler sur son visage. Il ferma les yeux pour un immense plaisir.

[HRP : T'inquiète pas, bye]

Miyuki n'en voulait pas à Kaze pour avoir réalisé cette action sans le lui demander. Après tout, elle n'aurait jamais pu le lui demander par elle-même. C'est pourquoi elle s'était totalement laissée faire et ne repoussa pas le jeune homme, préférant au contraire s'accrocher à lui, collant sa poitrine contre son torse.

Sa respiration devenait à chaque fois de plus en plus vive, et sa transpiration plus abondante, bien qu'elle se retire à chaque fois avec l'eau. Ses cris s'entendaient parfaitement, quoi qu'avec le bruit de la douche, peut-être fallait-il tendre un peu l'oreil pour bien entendre, mais ce n'était pas le principal.

Continuant de lécher son menton, Miyuki descendit au cou lorsque Kaze mit la tête en arrière, bien qu'il tenait toujours sa cuisse. Elle essayait de bien faire, ne serait-ce que maintenant. Peut-être qu'après, il serait trop tard :

- Je... Je t'aime... Ah...

C'était trop dur pour elle de prononcer ces mots sans avoir de difficultés. Et de toute façon, collée au mur, la jeune femme préféra se laisser aller au plaisir, encore une fois.

Les gémissements de Miyuki se faisaient ressentir, même si le bruit de la douche les couvraient, Kaze pouvait quand même les entendre. Mais cela ne le gêna pas, au contraire. Savoir qu'elle éprouvait du plaisir le rendait heureux. D'ailleurs, elle contiuait toujours à lui lécher le menton, le jeune homme trouvant sa exitant. Puis elle descendit jusqu'au cou. Il poussa alors de vifs gémissements, sentant le désir en lui à chaque mouvement.

Miyuki l'aimait et lui avouait en poussant des 'je t'aime' entre chaque cris d'extase. Voulant plus, et sentant qu'elle se cramponnait bien à lui, Kaze attrapa la deuxième jambe de sa bien-aimée et la redressa. Grâce à l'appui du mur, les vas et viens se faisaient de plus en forts mais gardant toujours leur plaisir. Il en profita alors pour lui baiser le cou. Et puis l'eau qui coulait le long de son corps l'invitait à la lécher. Il remonta alors doucement jusqu'à ses lèvres et l'embrassa langoureusement.

" Ca te plait là ? " demanda-t-il toujours sensuellement.

En tout cas, lui, il ne s'en pleignait pas. Il était aux Anges. Il respira fort, entre chaque mouvement de son corps, l'invitant à poursuivre son action.

Miyuki continuait toujours de lécher le cou et le menton de Kaze, comme si elle ne pouvait faire que ça, ce qui était un peu vrai, ses mains s'accrochant toujours au jeune homme en entourant son cou avec douceur, même s'ils étaient tous les deux en pleine extase à cause du moment.

Doucement, l'autre main de son bien-aimé descendit pour relever son autre jambe, ce qui voulait dire que Miyuki n'avait désormais plus aucun appui au sol. Timidement, et afin egalement de pouvoir tenir, la jeune femme croisa ses jambes à l'arrière afin de pouvoir tenir accrochée à Kaze, etourant sa taille.

Elle essayait d'y mettre toute sa force, c'est à dire peu de chose. Après tout, même si elle avait passée une bonne nuit de sommeil, elle n'était pas encore tout à fait reveillée, quoi que ce qu'elle était en train de faire avec Kaze était plutôt un bon reveil. D'autant plus que celui-ci lui demandait si elle aimait ce qu'il faisait avec une voix qui la fit frémir en plus des doux baisers qu'il déposait dans son cou :

- Ah... Oui...

Même pour un seul mot, il était difficile pour Miyuki de pouvoir parler entre ses cris et gémissements. Mais que faire dans cette situation ? La jeune femme préférait ne pas le savoir et fit durer le baiser avec Kaze, ses mains caressant lentement son dos.

Les vas et viens ne faisaient que s'accélerer et les cris se faisaient de plus en plus forts. impossible de les arrêter, ils étaient de nouveau unis. Lors des baisers que lui donnait le jeune homme, Miyuki faisait monter la tension en caressant le dos de son amant. Il aimait ses caresses, ses baisers dans le cou. Le jeune sensei lui rendait également par les siens, toujours aussi tendrement.

" Oh... Ah... Oui... "

Les vas et viens se firent de moins en moins rapides maintenant mais le jeune homme, s'aidant du mur, augmentait sa pénétration. Il se pencha alors un peu en arrière, permanttant ainsi de continuer son avancée. Il entendit alors les cris de Miyuki qui devinrent encore plus forts, dûs à sa nouvelle pénétration plus pousée en elle. En faisant cela, la jeune femme se trouvait un peu plus haute que lui, et ainsi, il en profita pour lui lécher la pointe des seins.

Sentant qu'elle était bien en elle, il la décola du mur et mit alors ses mains sous ses fesses, pour la maintenir, lui offrant toujours quelques caresses en compansation. Ils se trouvèrent alors bien en dessous de la douche, qui leur versait toujours de l'eau chaude. Le jeune homme ferma les yeux, ne voulant se les brûler, et pour faire ainsi durer le plaisir.

Miyuki ne pouvait pas s'empêcher de respirer avec une rapidité qu'elle n'avait jusque là jamais subie. Les vas et viens ayant acceleré, la jeune femme n'arrivait pas à tenir, ayant presque envie de lâcher tout mouvement, mais avec tous le plaisir qu'elle recevait, cela lui était pratiquement impossible pour le moment. Elle s'accrochait donc toujours à lui en lui fournissant des caresses sur le dos et des bisous dans le cou.

Puis à un moment donné, la jeune homme ralenti alors le rythme. Miyuki crut d'abord qu'il commençait à s'arrêter pour se retirer ensuite, mais il n'en fit rien, et augmenta alors la poussée de ses pénétration pour aller plus loin, ce qui lui arracha un nouveau cri de plaisir bien plus fort. Se retrouvant alors un peu plus haut que la tête de Kaze, la sensei put sentir qu'il léchait les extremités de ses seins, ce qui rendait le plaisir encore plus grand et plus insoutenable.

Fermant brusquement les yeux, Miyuki remarqua alors que son bien-aimé l'avait décollé du mur pour qu'ils se retrouvent tout deux pile sous la douche, ressentant alors la chaleur de l'eau rajoutée à leur chaleur corporelle. Les mains de Kaze venaient de glisser sur ses fesses pour les caresser, ce qui augmenta encore une fois le désir. Mais elle ne pouvait à présent plus faire grand chose vu sa position, et ses propres mains se dirigèrent vers ses cheveux humides qu'elle commença à ebouriffer doucement.

Kaze sentit alors l'eau qui coulait le long de sa peau et puis les doigts de Miyuki dans ses cheveux lui faisaient du bien. Toutes ces caresses lui donnait du plaisir, le contact de leur peau... Il continua les montées de pénétration, s'aidant toujours de ses mains bien positionnées, entendant toujours les cris de plaisir poussés par sa bien-aimée. Il l'accompagna par des gémissements incontrôlés, lancés entre chaque respiration forcée.

Il resta un moment comme ça, tant qu'il avait encore de la force dans ses bras. Mais sentant que cela devait prendre fin, il ne put cependant se séparer d'elle. Il continua, se poussant jusqu'au bout des choses. Il n'avait pu se contrôler : il éjacula une nouvelle fois. Il redressa alors sa tête, rougissant de plaisir. Non, il ne voulait pas la quitter maintenant ou de devoir arrêter leur moment de plaisir. Il voulait essayer, aller plus loin. Alors doucement, il se sépara d'elle, la reposant doucement. Une fois les pieds de la jeune femme touchèrent le sol, il l'embrassa langureusement, la caressant dans le dos.

" Reste comme ça... ne bouge pas... ", dit-il, un peu essoufflé.

Alors doucement, Kaze se baissa, toujours en caressant les membres de Miyuki. Il s'arrêta alors devant son intimité, rougit sur le moment et se lança. Au début, il s'y aida avec ses doigts mais les retira, ne laissant que sa langue. De ses mains libres, il les posa sur les fesses de sa bien-aimée et les caressèrent.

Miyuki n'arrivait pas à savoir quand cela s'arrêterait. Non pas qu'elle ait hate d'y arriver, bien au contraire. Seulement, le plaisir reçu en bloque de cette manière lui faisait perdre tout contrôle sur le temps, ce qui était une chose tout de même très etrange. Continuant ses grands cris de plaisirs, ses mains se perdaient toujours dans les cheveux de Kaze, continuant ses docues caresses alors qu'elle n'en pouvait presque plus.

La fatigue devenait incontrôlable, et la jeune femme avait du mal à le supporter, même si c'était son bien-aimé qui la portait, et non le contraire, et c'était donc lui qui fournissait le plus gros effort. A chaque fois qu'il allait plus loin, ses cris redoublaient d'efforts, et Miyuki sentit bien lorsque Kaze ejacula une nouvelle fois, même si cela ne se voyait presque pas avec toute l'eau de la douche.

Puis celui-ci la déposa alors au sol en douceur, s'étant retiré peu avant. Il lui demandait de ne pas bouger, mais pourtant, c'était encore un supplice de rester debout, et elle se demandait qu'est-ce que Kaze souhaitait :

- Kaze...

Miyuki ne savait pas non plus quelle question elle pouvait bien poser, tout était tellement embarassant. Elle sentait encore les mains de Kaze qui se glissèrent une nouvelle fois vers ses fesses, jusqu'à sentir quelque chose d'étrange au niveau de sa partie intime. Puis lorsqu'elle s'en rendit compte, ses gemissements reprirent de plus belles, allant même jusqu'à crier. Ses jambes flanchaient un peu, mais elle essayait de tenir debout :

- Ah.. Kaze !

Elle n'avait même pas de mur où s'appuyer, et de toute façon, elle doutait que cela lui soit utile pour le moment. La jeune femme ne fit donc qu'essayer de rester immobile.

Il n'avait même pas attendu une quelque réplique de Miyuki quand il lui avait demandée de rester comme ça, immobile. Il était tellement en extase qu'il pourrait faire n'importe quoi, mais parvint à calmer par ailleurs ses ardeurs, ne voulant la pousser à l'extrème. Et puis, si elle n'était pas d'accord et que lui si, ce serait un peu comme un viol ? Il ne voulait pas être le seul à exprimer tant de plaisir. Il le faisait aussi pour elle, pour qu'elle oublie le monde extérieur, ce monde qui les entour pour ne penser qu'à lui.

Le jeune sensei avait commencé par des doigts, voulant savoir si elle accepterait qu'il passe par là. Puis, y avait mis sa langue. Les gémissements de la jeune femme reprirent de plus bel et se changèrent alors par des cris. Il sentit alors que ses jambes flanchaient mais il continua à mélanger sa langue dans sa partie intime. Sentant le désir monter en lui, il enchaîna les actions. C'était étrange, l'eau qui coulait le long du corps de Miyuki se mélangeait avec le liquide se trouvant dedans. Ce n'était pas désagréable pour autant.

Sentant que la jeune femme aimait cela, Kaze remonta alors ses mains qui se trouvaient sur ses fesses pour lui caresser le dos, avant de les passer devant. Il caressa un moment son ventre avant de les remettre dans sa partie intime, annonçant qu'il terminait. Il se doutait bien que la jeune Miyuki n'était pas bien dans cette position et que le mieux aurait été de l'allonger, mais pouvait-il ce le permettre ? Alors il passa son bras devant sa bouche avant de se redresser.

" Désolé, je n'avais pas pensé que tu serais mal à l'aise dans cette position. "

Kaze l'embrassa langoureusement, remontant ses mains vers ses cheveux, pour les mélanger avec.

Miyuki serrait ses poings avec force pour essayer de tenir debout et obeir à Kaze, même si tout cela était bien difficile. Elle sentait ses jambes devenir de plus en plus lourde à chaque instant, poussant toujours ses cris de plaisir entre deux respirations, ce qui était tout de même fort difficile.

Depuis le début, la jeune femme appreciait beaucoup ce que lui faisait son bien-aimé, même si elle avait toujours eu un peu peur, mais c'était bien normal. Elle avait comme franchit un cap avec lui, et ne le regrettait pas. Car après tout, elle était amoureuse de lui, et quoi qu'il arrive, essaierai de toujours le satisfaire.

Même maintenant, bien que cela soit dur à supporter, Miyuki appreciait l'action de Kaze, ressentant bien tout ce qu'il faisait. L'excitation elle-même était trop forte, et la jeune femme ne put empêcher un peu de liquide de couler, même si cela ne se voyait pas avec l'eau de la douche. Trop embarassée, elle tourna alors la tête vers le côté, toute rouge.

Puis le jeune homme s'arrêta en douceur, avant de se relever en s'essuyant la bouche. Il s'excusait de l'avoir mit dans une telle position, mais la sensei ne lui en voulait pas :

- Non... Ce n'est pas grave...

Puis Kaze l'embrassa langoureusement en caressant ses cheveux. Miyuki fit alors durer le baiser, ses mains passant dans son dos, avant de se détacher de lui pour éteindre l'eau :

- Hum... il faut que je prépare quelque chose, sinon... Il faudra aller au lycée le ventre vide.

Car il ne fallait pas sous-estimer les petits déjeuner, cela prenait tout de même du temps à préparer, et surtout à manger.

Miyuki lui avoua alors que cela ne la dérangeait pas cette position mais Kaze l'avait un peu senti. De plus, elle devait être encore fatiguée, vu la nuit qu'ils avaient passé ensembles et les émotions qui l'accompagnait, et en même temps,celles de ce matin ! Il s'en voudrait qu'elle soit fatiguée en classe, et que les élèves devinent leur relation. Il lui sourit, avant de lui déposer un dernier baiser.

Un dernier puisque la jeune femme se dégagea de son étreinte pour lui annoncer qu'elle devait préparer le petit déjeuner. Sur le moment, il n'avait pas faim et pensait à autre chose mais le fait de lui avoir rappelé cela, lui donnait envie. Il la laissa alors quitter la douche. Il sortit de même, ramassa alors son caleçon qu'il remit tout de suite.

Il en profita alors pour prendre une serviette et commença à essuyer le doux corps de Miyuki. Il l'enroula dedans avant de la reprendre dans ses bras et de lui déposer un baiser sur sa joue.

" As-tu besoin d'aide pour le préparer ? " demanda-t-il.

C'était la moindre des choses de l'aider. Il venait de penser à quelque chose, il faudra qu'un jour il l'invite dans son appart'. Bon, peut-être que pour le moment, elle attendra encore avant de refaire une nuit pareille. Il ne put s'empêcher de sourire.

Miyuki était déjà sortie de la douche quand Kaze la quitta à son tour. Elle tenta de chercher une serviette, jusqu'à ce que le jeune homme l'attrape par derrière pour en enrouler une autour d'elle, ce qui la surprit enormement.

Il lui proposait de préparer le petit déjeuner avec elle tout en frottant sa peau pour la sécher. Au début hésitante, la sensei fini par trouver une réponse :

- Je vais essayer de me débrouiller cette fois, ne t'inquiète pas. Mais tu as tes affaires pour les cours au moins ?

C'est vrai ça. Etait-il directement partit du lycée Shimizu jusque chez elle, ou bien était-il passé chez lui avant cela ? Miyuki n'en avait strictement aucune idée et espérait que Kaze ne soit pas dans l'embarras.

Elle retourna dans l'autre pièce pour se changer et enfiler une autre robe bleue et blanche. On pouvait remarquer tout de même qu'en haut de son placard traînait des vêtements blancs. Il s'agissait des kimonos qu'elle ne mettait que lorsqu'elle n'était pas en ville ou en train de travailler :

- Fais ce que tu veux. Comme ça, le petit déjeuner sera une surprise.

Il restait encore du temps pour en préparer un. Miyuki se mit donc aussitôt au travail. Elle allait préparer des oeufs au plat. C'est toujours bon, ça, le matin. Et c'était assez rapide. Elle allait egalement rajouter du bacon.

Visiblement, Miyuki voulait se débrouiller seule pour le petit déjeuner. Il n'insista pas et la laissa finir de s'essuyer. Puis, elle lui demanda s'il avait ses affaires de cours, si au moins il les avait préparés la veille. Il eut un temps d'arrêt mais se retourna, la regadant toujours souriant.

" Ne t'en fais, j'ai tout préparé hier soir. Je finissais plus tôt. "

Elle semblait inquiète sur ce sujet mais regagna alors l'autre pièce pour se changer. Kaze, ne la suivit pour le moment, s'essuya alors à son tour. Une fois la jeune femme habillée, il put voir qu'elle portait une belle robe bleue et blanche. Il ne put que sourire devant tant de beauté. Après cette douce réflection, la jeune sensei se retourna vers lui, l'annonçant qu'il pouvait faire ce qu'il voulait pendant que celle-ci préparera le petit déjeuner : ce sera la surprise.

" Très bien. Je vais d'abord commencer par me rhabiller. "

Le jeune homme déposa un nouveau baiser sur ses lèvres, avant qu'elle n'aille dans la cusine. Lui, prit la direction du lit, cherchant ses affaires : il réccupéra alors son jean. L'enfila. Puis il reprit son pull noir. Kaze l'approcha alors de ses narines et put constater qu'il sentait un peu le doux parfum de Miyuki. Il n'hésita pas à l'enfiler, avant de reprendre sa montre.

Le sensei ouvrit alors la fenêtre, histoire que la pièce puisse s'aérer. Il ferma alors les yeux et respira un bont coup : il y avait quelques brises qui caressaient son visage. Aujourd'hui allait être encore bien belle journée. Mais l'odeur de la cuisine le réveilla et quitta alors la chambre, pour se rendre dans la cuisine.

Miyuki savait à peu près comment faire des oeufs et du bacon, c'était une chose facile. Seulement, elle commençait déjà à manquer d'ingredients, ce qui voulait donc dire que le petit déjeuner ne serait pas trop abondant.

La poële allumée et deux oeufs à l'interieur, la jeune femme cherchait pendant ce temps dans son frigidaire où il pouvait y avoir des restes de bacon. Vidant quasiement tout ce qu'il y avait à l'interieur, elle finit alors par retrouver le petit paquet et le posa sur la petite table avant de tout rangé. Puis elle les plongea egalement dans la poële.

Maintenant, il fallait attendre, mais la bonne odeur de la cuisine se répendait partout, même dans l'autre pièce du studio. Mais Miyuki ne s'en rendit alors pas compte et ne remarqua pas que Kaze était rentré, continuant de cuisiner. Elle mettait parfois un peu de sel partout, sans pour autant en mettre trop.

[HRP : Pas trop d'inspi, désolée]

Alors ça pour une surprise, Kaze ne s'attendait pas à ce que sa jeune campagne lui prépare des oeufs au bacon. Il adorait ça, comme la plus part des gens d'ailleurs, mais n'avait encore jamais eu la chance de s'en refaire depuis qu'il était dans cette ville. Il ne quitta pas la jeune sensei, finissant les préparatifs. Il sourit, sur le moment, lorsque la jeune femme versa un peu de sel sur le côté.

" Je te sens stressée, non ? "

Le jeune homme prit une position décontractée, fixant la petite maladroite qu'il aimait. Il ne put s'empêcher de s'approcher d'elle, l'enlaçant tendrement. Il déposa alors une série de baisers dans le cou, caressant son dos. Puis, finit par se redresser, la regardant intensément.

" Que dirais-tu de sortir ce soir, après les cours ? Nous pourrions aller en ville. ", lui proposa-t-il.

Il ne connaissait pas vraiment la ville, en réalité, il n'avait pas vraiment eu le temps de se promener depuis sa venue ici. Et puis, faire une balade en compagnie de sa bien-aimée ne pouvait être qu'agréable. En espérant qu'elle n'ait pas un empêchement.