When he met me at night.... [HIKARU] -|x|-

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Quoi de mieux que de se balader de nuit? On voit toutes les étoiles, quand le ciel est dégagé, et quand on tombe un jour de pleine lune, c'est encore mieux. L'esprit philosophique de Suze était à son apogée en cette nuit claire et dégagée. Elle était était en route pour le toit du lycée. Ce genre d'endroit est désert la nuit, car tout le monde est chez soi ou dans sa chambre à flâner avec ses amis. Mais Suze ne voulait pas faire partie de cette gente ordinaire. Alors elle allait sur le toit. Pour observer les étoiles. Elle en avait besoin. Au moins, elle se sentait accompagnée. Et puis au moins, elle n'était pas dérangée par des bruits banals tels que des claquement de portes ou des rires. Ce pouvait être considéré comme anodin, mais en pleine réflexion, c'est gênant comme un éléphant dans un magasin de porcelaine. Et puis, peut-être qu'elle rencontrerait quelqu'un comme elle là-bas, sur le toit. Elle grimpa les dernière marches qui la menèrent au toit. Comme elle l'avait bien prévu, c'était désert. Ou en tous cas, s'il y avait quelqu'un, il s'était rudement bien caché. Bon, elle ferait avec, si elle était observée, elle le serait. Et puis voilà. Elle n'avait pas envie de se priver d'un tel moment à cause d'une paire d'yeux qui ne sait pas se ranger dans ses orbites. Elle s'approcha du bord. Mine de rien, c'était plutôt haut. Et comme elle avait un peu le vertiges lorsque les mètres de hauteur devenaient un peu important, elle se recula, et alla se mettre sur la surface plane du toit. Le sol était fait de cette matière que l'on trouve sur les jeux pour enfants. Ni molle, mais pas pour autant très dure. C'était agréable. Suze se dénicha un endroit espacé et pas trop exposé à l'entrée. Elle s'y allongea et prit la position qu'elle appelait la "position Jésus". En fait, c'était prendre la position que la bible avait donné à cet homme tant aimé chez les catholiques sur la croix sacrée. De loin, on croirait qu'elle est morte. C'est ça le plus amusant. Quand les gens se font des frayeurs... Bref. Suze, toujours bras et jambes tendus, regardait le ciel avec fort intérêt. Comme d'habitude en fait. Ce soir-là, les étoiles n'était pas nombreuses. Ou alors Suze avait un problème de vue. La deuxième solution devait être la plus probable car ces derniers temps elle avait des maux de crânes au niveau de sa zone optique tellement douloureux qu'il lui arrivait de prendre quatre fois la dose préconisée... Le silence était de la soirée. Tant mieux. Elle ne serait pas dérangée, et pourrait passer une soirée un peu moins ordinaire..Mais en même temps, si elle avait la possibilité de rencontrer une personne, ce ne serait pas plus mal.

* Ca fait du bien de se retrouver comme ça... A remettre sa vie en question rien qu'à l'observation de petits points blancs dans un ciel noir.. *

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Ce soir, un soir de nouvelle lune, Hikaru Hitachiin était seul dans la chambre. Kaoru, son frère, étais occupé avec des amis, en ville. Ne restait plus qu'à espérer qu'il resterait décent jusqu'à la fin de la soirée. Mais bon, il a le droit de s'amuser. Hikaru, donc, étais seul dans sa chambre, sur le lit double. Dans lequel il dormait avec Kaoru. Mais ce soir, Kaoru n'était pas là, et Hikaru s'ennuyais profondément. Malheureusement, il avait encore du travail à faire quand son jumeau s’était éclipsé à regret... Il lui avait bien proposé de le rejoindre dès qu'il aurait fini, mais Hikaru sentait que son arrivée tardive cassera sans doute l'ambiance festive produite par le groupe à moitié saoul... Tant pis, cette nuit, il n'y avait pas de nuages. L'occasion rêvée d'aller voir les étoiles de plus près. Hikaru sortit alors de sa chambre après avoir bâclé la fin de son devoir. Tant pis, ce n'était pas une future mauvaise note qui allait l'entraver dans sa chambre, prisonnier de son bureau. Il grimpa alors les marches qui menaient au grenier. En chemin, il croisa deux-trois connaissances en train de se battre à coups d'oreillers. Malgré l’invitation de ces derniers, Hikaru ne dévia pas de sa trajectoire, comme un zombie. Rien ne pouvait détourner l'attention d'Hikaru de son but: le toit, les étoiles, et le silence. Enfin... peut être la fatigue due aux quatre pages manuscrites rayées de désespoir. Mais pour le moment, la lumière éclatante de la lampe du bureau l’incitait à fuir la clarté, et à préférer les étoiles nocturnes. Ce qu’il fit. Une fois arrivé dans le grenier, il ouvrit le velux, et se hissa sur le toit. Il semblait légèrement humide de la rosée du soir, mais peu importais à Hikaru. Les étoiles resplendissaient comme des joyaux, presque l’hypnotisant. Il marcha alors un peu sur les tuiles, s’allongea puis admira les étoiles. Un ange passa, le silence se fit. Ou presque. Hikaru entendit une faible respiration, provenant de derrière lui. Il se retourna, grimpa un peu et vit une jeune étudiante, légèrement plus âgée que lui. Elle regardait, elle aussi les étoiles d’un air absent, étendue en croix. Hikaru rougit un peu de la surprendre dans un moment qui était le sien, aussi il baissa la tête et tenta de se retourner, pour admirer les étoiles sans la déranger. Tenta. L’étudiante venait de tourner la tête, et le regardais de ces yeux d’un bleu magique. Hikaru releva la tête vers elle, et lui sourit un peu. Il ouvrit alors la bouche, et dit, sans trop penser à ces paroles :

- Euh… excuse moi si je t’ai dérangé, mais pourrais-je voir les étoiles avec toi ? J’ai l’habitude de ne pas être seul, alors bon…

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Des pas. Ce bruit régulier et feutré que Suze entendait depuis quelques minutes était des pas. Quelqu'un était là. Mais il était sûrement arrivé après elle. Pourquoi ce serait-il montré seulement maintenant? Quoique... il pouvait très bien avoir eu envie de bouger un peu, histoire de dégourdir ses jambes. Les solutions étaient multiples, et si Suze s'amusait à les trouver, elle en oublirait de regarder le ciel. Ce qui n'était pas vraiment au menu du jour (ou de la nuit plutôt). Puis, elle aperçut une silhouette, elle tourna la tête afin de mieux voir. C'était un lycéen. Il lui faisait face, et semblait perdu. Il ne savait peut-être pas quoi faire, et pensait sûrement l'avoir dérangée. Elle le savait car elle aussi aurait pensé ainsi. Mais, bien moins timide qu'elle, il releva la tête, ce qui, à la lune, dévoila un visage angélique et malicieux.

- Euh… excuse moi si je t’ai dérangée, mais pourrais-je voir les étoiles avec toi ? J’ai l’habitude de ne pas être seul, alors bon…

Quelle question. Suze ne réfuterait jamais telle demande. Les occasions de se faire des amis deviennent trop rares de nos jours. Les vrais amis quoi. Ceux que l'on recontre dans des circonstances exceptionnelles, ce sont ceux là qu'on arrive à garder.

- Mais bien sûr, fit Suze d'un ton enjoué en se redressant et tendant ses bras en arrière, de façon à s'appuyer dessus.Viens donc. Mais dis-moi, tu viens souvent ici? Je ne t'ai jamais croisé...

Il était vrai. S'il avait déviné que Suze regardait les étoiles, c'est qu'il le faisait. Ou alors, c'était flagrant... En tous cas, s'il venait souvent sur le toit, elle aurait du le croiser, ne serait-ce qu'une seule fois... Pourtant, à chaque fois qu'elle y venait, elle était seule et pouvait excercer son "rite" en toute impunité.
Comme elle lui parlait à visage ouvert, elle observa le sien. Il était vraiment mignon. Il aspirait à la tentation de toucher. C'était étrange quand même. Sa malice mélangée à son sérieux donnaient un résultat intéressant...

- Au fait... Appelle-moi Suze...

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Hikaru étais un peu géné de sa question, mais la douce lueur de la lune, qui venait de se découvrir, lui blanchit le visage, cachant sa gène. Il découvrit alors le visage de la demoiselle: De très beaux yeux bleus, un magnifique visage, des cheuveux oscillant dans le vert et le bleu... turquoise, sans doute... Elle portait une légère écharpe rose rayée, qui lui allait à ravir. Il sortit de ses pensées au son d'une voix douce et enjouée:

-Mais bien sûr. Viens donc. Mais dis-moi, tu viens souvent par ici? Je en t'ai jamais croisé...

A cette réponse, Hikaru se détendit un peu, et sourit à son tour. Il passa par dessus l'arrête du toit, et s'allongeat à la droite de la demoiselle qui l'observait... Après un moment de silence, cette dernière dit, après avoir souri encore une fois:

-Au Fait... Appelle-moi Suze...

Hikaru redevint un peu géné... il avait oublié de se présenter. Mais le regard de Suze le calma, et il répondit, un peu géné quand même:

-Enchanté... Je m'appelle Hikaru. Non, c'est la première fois que je vais sur le toit... D'habitude, je suis avec mon jumeau, le soir, mais aujour'hui, il est absent... alors je suis monté. C'est magnifique... dit-il, souriant, tout en regardant la voute étoilée au dessus d'eux.

Il sentit le regard de Suze, d'un bleu hypnotique, merveilleux se poser sur lui. Il tourna alors la tête, et leurs regards se croisèrent.

HRP= Désolé, je suis pas rop inspiré, aujourd'hui...

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On sentait toujours cette gêne en lui. On aurait vraiment dit qu'il était embarrassé, mais par quoi? Même Suze ne saurait le dire. Elle le regardait toujours. Elle avait ces yeux que tout le monde dit apaisants. Peut-être marcheraient-ils sur le beau jeune homme..

-Enchanté... Je
m'appelle Hikaru. Non, c'est la première fois que je vais sur le
toit... D'habitude, je suis avec mon jumeau, le soir, mais aujour'hui,
il est absent... alors je suis monté. C'est magnifique...

Hikaru... Suze aimait beaucoup ce prénom. Et comme ça, il avait un jumeau? Quelle chance deux beautés pareilles dans ce monde. Suze ne se l'était pas encore avoué, mais elle le trouvait vraiment très séduisant. Pourtant, elle n'était pas de celles qui sautent sur le premier venu. Mais là, avec ces grand yeux malicieux, elle était absorbée. Elle le regardait, éspérant croiser son regard. Elle était certaine que cela le gênait, d'être ainsi observé... Il s'était assis près d'elle. Et regardait le ciel ponctué d'étoiles pendant qu'il se faisait encore observer par Suze. Puis, surprenant Suze, il tourna la tête, faisant croiser leur regard. Suze piqua un fard. Dans la nuit, il ne s'en rendrait pas compte. Mais tout de même.. Pourquoi le piquait-elle ce fard? Etait-elle...charmée?

- Je monte souvent ici moi,dit-elle rêveuse. Surtout quand la lune est pleine. J'aime tellement la lune... Elle semble si pure. Comme toi...

La fin lui avait échappé. Elle se mordit la lèvre inférieure, car elle venait de faire une gaffe. Elle avouait déjà trouve quelqu'un beau alors que cela faisait seulement cinq minutes qu'elle le connaissait...

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Hikaru admirait le doux visage de Suze... il avait envie de le toucher, de le caresser doucement... A cette pensée, Hikaru rougit un peu. Comment pouvait-il penser à ça, alors qu'il venait juste de la rencontrer ? Alors il entendit Suze parler, d'un ton un peu rêveur:

- Je monte souvent ici moi. Surtout quand la lune est pleine. J'aime tellement la lune... Elle semble si pure. Comme toi...

A ces mots, Hikaru ouvrit la bouche de surprise. Les derniers mots lui résonnèrent dans la tête. Ainsi, se pourrait-il que le feeling passe entre deux ? Il referma rapidement son clapet, et tourna la tête vers le ciel. Il ne lui avouerait pas ce qu’il pensait. Qu’il la trouvait irrésistible, belle comme ce n’est pas possible… mais jamais il ne dirait ça… Il préféra donc ne pas remarquer les derniers mots de Suze, et de continuer sur la lune dans leur discussion. Il chercha un temps ses mots, puis se lança, sans penser à ce qu’il disait. Les pensées sur Suze lui tourbillonnaient dans la tête alors qu’il parlait d’une voix douce :

-Oui, c’est ce qui m’a tiré de ma chambre. Tu es vraiment irrésistible… euh…elle est vraiment irrésistible

Voilà ce qui arriverait quand on ne pensait pas à ce que l’on dit. Hikaru rougit très violement, et regarda du coté opposé à Suze… Quelle gaffe ! Il se releva à moitié sur le toit maintenant humide de rosée, puis se ré-allongea. Au moins, il l’avait dit…Maintenant, ne restait plus qu’à attendre sa réponse. Hikaru tourna alors la tête, et regarda Suze. Celle-ci le regardait de ces beaux yeux bleus envoutants. Sans le vouloir, il rapprocha son visage de celui de Suze. Ces yeux grandissait peu à peu, et semblaient devenir des abimes, dans lesquelles Hikaru se perdit.

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Suze semblait avoir dit une bêtise. Il est vrai que dit comme ça, lâché comme une pierre dans l'eau calme d'un lac pouvait provoquer les mêmes ondes que dans cette eau. Suze le remarqua car Hiraku avait ouvert la bouche, comme s'il était stupéfait de ce que venait d'avouer sans le vouloir sa nouvelle amie. Elle même était un peu sonnée de ses paroles involontaires, mais franches, ça...c'était certain. Suze se remit à regarder un instant la boule blanche qui les éclairait Hiraku et elle, quand ce dernier reprit la parole, songeur égalment...

-Oui, c’est ce qui m’a tiré de ma chambre. Tu es vraiment irrésistible… euh…elle est vraiment irrésistible...

A croire que c'était la soirée des gaffes pensées si fort qu'elles finissaient par être dites. En tous cas, cela avait rudement gêné Hikaru parce que sa tête tourna de l'autre côté où Suze se trouvait. Etrange. Il bougea quelque peu, puis se remit comme initialement. Suze était toujours absorbée par lui. Lui. Même s'il ne la regardait plus, elle, elle le fixait toujours. Puis, elle réalisa l'espace entre eux. Il semblait s'être réduit. Mais quand? Elle ne le saurait jamais. Elle fixait toujours le coin de visage qu'elle apercevait d'Hikaru, quand, subitement, il tourna sa tête. Suze fut surprise d'un tel revirement de situation, car sans se rendre compte, ses yeux étaient plus noyés que plongés dans le regards attrayant et malicieux d'Hikaru. Que voulait-il faire..? Que voulait-il dire ainsi...? Suze ne clignait pas des yeux...Elle ne le ferait pour rien au monde. La luminosité presque absente, la proximité... tout était là pour la faire craquer. Elle avança son visage, entrouvrit la bouche. Mais que faisait-elle..?? S'en rendait-elle seulement compte? Elle était hypnotisée par ses yeux, par ce visage... Arrivée presque nez collés, elle s'arrêta. Elle prit une inspiration et colla sa bouche contre celle d'Hikaru. Elle espérait tellement n'avoir pas fait de bêtises... Cela se faisait-il ? Etait-ce permis?
Lorsque qu'elle se redécolla, elle sentait qu'elle avait volé un baiser.

- Je...Je m'excuse, fit elle rapidement en se reculant aussi vite.

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Cette soirée était magique. La lune, le silence, les étoiles... tout y étais pour quelque chose. Mais là, cela ressemblais à un feu d’artifice. Au moment ou les lèvres de Suze se posèrent sur les siennes, Hikaru ferma les yeux et savoura l’instant présent. Plus rien n’étais dans sa tête, comme si ses pensées s’étaient tus pour préserver ce moment. Hikaru sentit alors la douceur des lèvres de Suze, leur léger gout envoutant… Cet instant s’estompa alors, Suze se retira du visage enflammé de Hikaru, et parla un peu précipitamment :

- Je...Je m'excuse.

Elle semblait vraiment gênée, et paraissait culpabiliser son acte. Hikaru rouvrit alors les yeux, et se reperdit alors immédiatement dans ceux de Suze, qui disaient le contraire de sa bouche. Hikaru aussi était en proie de ses pensées, qui venaient de se réveiller. Que faire ? S’excuser à son tour ? Ne rien dire ? Partir ? Le goût de Suze encore sur ses lèvres, Hikaru ne sut que faire. Il regrettait déjà cet instant passé, mais le désirais à nouveau, et plus fort, plus vibrant. Il regarda alors le visage de sa jeune amie, et prit sa décision. Il s’approcha alors, lentement, mais tout entier, cette fois là. Arrivé à coté de Suze, il approcha ses lèvres des siennes. Il regarda Suze, mais elle semblait immobile, comme attendant qu’il se passe, qu’il se fasse quelque chose. Alors il prit sur lui, ferma les yeux à nouveau et appuya ses lèvres contre celles de son enchanteresse. Il sentit alors celle-ci le brûler, sentit le goût enivrant de Suze sur les siennes. Mais que faisait-il ? Ne s’était-elle pas excuser peu avant ? Il chassa alors toutes ses pensées contradictoires de sa tête, et revint sur Terre. Il s’écarta un peu de Suze, leurs lèvres se séparant avec lenteur. Il ouvrit alors les yeux, et sans voir le visage de Suze, qu’il regardait pourtant, il murmura :

-Moi aussi… je suis désolé.

Il vit alors les yeux de Suze, qui répondirent alors avant elle. Il sourit alors d’un air malicieux, et attendit alors sa réponse.

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Lorsque Suze s'était précipitemment reculée, elle avait observé Hiraku. Ses yeux étaient encore fermés et quand il les rouvrit, son regard fixait encore celui de Suze. Allaient-ils se chercher longtemps? Ils allaient vraiment s'y perdre s'ils plogeaient trop le regard dans celui de l'autre. C'est un piège à mauvais tournant. A peine Suze s'était-elle retirée, ce fut Hkaru qui avança vers elle. Que faisait-il...? Ne venait-elle pas de dire qu'elle était désolée...? Et il allait faire la même erreur que lui? Son visage ne pouvait être aussi tentant que celui d'Hikaru. Leurs lèvres n'étaient plus qu'à quelques centimètres l'une de l'autre. Suze était sensée faire quelque chose? Mais quoi? Son coeur battait un peu trop vite. Elle avait peur. Pourtant, rien ne devait lui procurer ce sentiment. Tout était pour elle ce soir. Et comme pour chasser cette sensation désagréable, Hikaru brisa le dernier espace qui les séparait l'un de l'autre. Leurs lèvres se touchèrent une nouvelle fois. Encore mieux cette fois-ci, car le contact buccal était plus long que le premier... Cela voulait-il dire quelque chose? Hikaru venait-il de lui dire que ses excuses n'étaient finalement pas inutiles et que tous les deux seraient alors dans le besoin d'un pardon dispensable...? Suze était restée droite pendant le baiser. Elle ne savait si elle pouvait agrémenter cela avec ses mains...

- Moi aussi... je suis désolé.

Haha. L'avait-il fait pour jouer un jeu? Pour la prendre au fait? Son sourire malin laissait entrevoir une touche d'amusement. Pour lui, sa bouche savait se taire pour parler, et pour Suze, ses yeux avaient la parole. Dans certains moments, comme celui-ci, les mots dits ne valent pas vraiment la peine. le language corporel silencieux préserve ces instants où une ambiance douce et entichée est naissante... Mais Suze ne voudrait pas rater ce qui pourrait suivre. Elle était jeune et devait profiter. Hikaru aussi. Mais peut-être ne le voulait-il pas en fait...

- Hikaru... A quoi bon s'excuser, puisque nos excuses ne seront pas acceptées? fit Suze dans le creux de l'oreille de son récent "ami".

Alors, elle remit sa tête face à celle d'Hikaru en effleurant sa joue d'une façon bien sensuelle. Que devait-elle faire? L'embrasser, le toucher...? Elle ne pouvait se l'autoriser...! Et de quel droit faisait-elle cela d'une manière si...douce? Suze se posait trop de questions ! Elle aimerait tellement ne plus s'en poser du tout, et agir sans pensées, ni penser tout court ! Prenant sur elle, sa main alla caresser la joue droite d'Hikaru. Sa peau était douce et claire. Même à la lueur nocturne, on le voyait.

- Tu sais...Hikaru..., commenca-t-elle...sans finir.

Elle ne sut pas pourquoi ses voix avait refusé de sortir pour le reste de sa phrase. Peut-ête que ce qu'elle voulait dire, elle savait qu'elle regretterait? Mais maintenant... Il fallait se décider à agir... Son ventre la chatouillait, elle ne comprit pas pourquoi. Elle tremblait. Mais de quoi ? Suze ne savait plus quoi faire, ni dire, ni penser. Elle ne savait plus rien. Comme si les environs étaient devenus flous, elle inclus, mais que ses yeux ne percevaient qu'Hikaru de façon très nette et précise... S'en approchait-elle sans s'en rendre compte?

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Toujours la sensation de douceur sur ces lèvres, Hikaru vit Suze s’approcha de son oreille, et chuchota :

- Hikaru... A quoi bon s'excuser, puisque nos excuses ne seront pas acceptées?

Elle s’écarta d’Hikaru, délicatement, en laissant courir sa joue sur la sienne. Elle revint droite, puis, après un petit temps d’hésitation, elle leva la main, et lui caressa sa joue droite. Hikaru fut un peu surpris sur le coup, puis ferma les yeux, profitant un maximum de cette douce sensation. Il entendit alors la voie de sa jeune amie :

- Tu sais...Hikaru..., commença-t-elle...sans finir.

A ces mots, Hikaru comprit ses sentiments il se rapprocha alors de Suze, mit doucement sa main droite sur la main de Suze, comme pour l’empêcher de s’enfuir. Celle-ci était douce et fraîche. Il ouvrit alors les yeux sur le visage de Suze, la prit tout doucement par le menton, et l’embrassa délicatement. Cette fois-ci, il entrouvrit légèrement ses lèvres et sa langue explora les lèvres de Suze, se délectant de leur léger et délicat gout sucré. Lentement, il tenta de percer un passage vers la langue de sa demoiselle. Au même instant, sa main droite lâcha la main de Suze, et caressa ses longs cheveux, légèrement humides par la rosée nocturne. Sa main descendit alors, et il caressa doucement le dos de sa nouvelle amie. Il passa alors sur une légère résistance, et su ce qu’il s’agissait. Il s’arrêta alors, et leurs lèvres se séparent. Il ouvrit alors les yeux, et s’aperçut qu’ils étaient collés l’un l’autre, comme enlacés instinctivement. Il revint à une position droite, et caressa la joue de Suze de sa main droite. Les doigts de sa main gauche, doigts délicats, revinrent sur les lèvres chéries, qu’ils essuyèrent tendrement, puis allèrent vers le menton, qu’ils saisirent tendrement, le levant vers son visage éclairé par les étoiles au dessus-d’eux.

-Suze… Veux-tu… Dit-il lentement, admirant encore sa nouvelle amie, agenouillée sur le toit du lycée Shimizu, sublimée par la pleine lune, unique témoin de cette idylle naissante.

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Suze était spirituellement perdue. Hikaru avait décidément un effet mauvais sur la jeune fille. D'ordinaire, Suz savait toujours quoi faire et dire. Mais là, elle avait préféré se laisser faire, à défaut de savoir. Ses yeux restaient fixés sur l'unique chose qui l'absorbait, Hikaru. Ce dernier, après que Suze ait maladroitement parlé sans finir, il avait posé sa main sur celle de Suze qui sillonnait sa joue. Même la paume de ses mains était suave, et fraîche aussi... Et de son autre main, il approcha le visage de Suze de façon à l'embrasse. Mais cette fois-ci, il chercha à approfondir le baiser tout en léguant le droit à ses mains de courir sur Suze. Elles passèrent en premier par ses cheveux, puis descendirent délicatement dans son dos. Suze consentait ces caresses. Elle fit même glisser son bras derrière le dos d'Hikaru qui venait se pencher vers elle. Il étaient à présent presqu'entièrement entrelacés, comme des amants de longue date. Puis, Hikaru, ayant laissé sa main descendre dans le dos, finit par arriver au sous-vêtement. Il cessa alors tout mouvement et se mit en position droite. Ses mains dansaient toujours sur le visage de sa nouvelle amie. Ses doigts gauchers passèrent furtivement sur la bouche de Suze qui en frémit. Maintenant, tout était imminent. Cela avait même déjà presque commencé...Ils en étaient encore aux préparatifs...

- Suze...Veux-tu..., chuchota Hikaru, alors que personne ne pouvait les entendre.

La suite et la réponse de cette question étaient logiques. C'est ce que se dit Suze avant de prendre les devants et d'aller, pour une énième fois, poser ses lèvres sur les pulpeuses de son amant. Elle nommer Hikaru comme son amant à présent. Ils allaient faire la choses interdite. Elle le sentait.. Pour l'embrasser, elle s'était mise à quatre pattes, appuyée sur ses jambes et bras, et cou tendu pour atteindre les lèvres magiques et divines. Elle avança ses jambes, de façon à ce qu'elles puissent supporter son poids. Ses braas étaient donc libres de tout mouvement. Ils passèrent alors derrière le cou d'Hikaru, toujours pendant que Suze l'embrassait. Elle avait déjà passé le stade du baiser approfondi en douceur. Maintenant, leurs langues entremêlées dansaient un slow distingué. Elle poussa délicatement Hiraku vers le sol, pour qu'il s'y allonge afin qu'elle puisse être - encore - plus proche de lui. Puis, elle s'arrêta en "chemin". Elle releva la tête, fixant toujours son amant, et bougea la tête d'un coup vif vers la droite pour y déplacer ses cheveux lâchés sans avoir besoin de se défaire de sa position. Elle avait récupéré l'assurance qu'elle avait perdu, et maintenant, impossible de faire marche-arrière. Sauf si un souci venait à se présenter.

- Reste à savoir si toi aussi...Hikaru..., lui sussura-t-elle à l'oreille, une fois rapprochée de ces dernières.

Et avant qu'il ne puisse agir ou dire quoique ce soit, elle lui vola, pour le plaisir du geste, un baiser lent et rempli de désir de suivre la route....Mais quelle route choisirait-il de leur faire prendre?

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Pour toute réponse, sa douce demoiselle, à quatre pattes, s’approcha de lui et l’embrassa langoureusement sous la lune. Elle s’agenouilla alors, et Hikaru, déjà assit, en profita pour l’entourer de ses bras et la serrer contre son corps. Leurs langues opéraient déjà une savante alchimie amoureuse. Alors Suze le poussa gentiment sur le toit. Il était alors allongé, sans défenses contre elle, sur le toit. Elle fit alors déplacer d’un geste ses magnifiques cheveux, qui caressèrent le bras et le visage d’Hikaru. Suze fixa alors Hikaru, yeux dans les yeux, et s’approcha jusqu’à son oreille, pour y murmurer :

- Reste à savoir si toi aussi...Hikaru...

Et sans attendre, elle l’embrassa lentement. Un baiser emplis de désirs et d’envies, aux quelles Hikaru ne dirais pas non. Elle sépara alors ses lèvres des siennes, pourtant brulantes du besoin des siennes. Il se releva sur ses coudes, approcha son visage de celui de Suze, et lui embrassa un œil, délicatement. Il lui répondit alors, du bout des lèvres :

-Crois tu que je ne suivrais pas ?

Un sourire, promesse d’amour infini, apparut alors sur le visage de Hikaru. Il embrassa alors fougueusement Suze, introduisant sa langue, la faisant danser. Il se ré allongea, décidant que cette nuit serait pour elle. Néanmoins, Suze suivit son mouvement, et ils furent tous deux allongés l’un sur l’autre, dans une étreinte amoureuse passionnée. Il fit alors courir ses mains sur le corps chaud de Suze, caressant chaque détail, chaque relief. Arrivé en bas de son tee-shirt, il passa ses mains, puis ses bras sous le tee-shirt de sa demoiselle. Il caressa alors le doux ventre chaud de Suze, puis ses doigts courrèrent sur les côtes à peine sensibles. Ils arrivèrent alors à la base des seins de son amante, qu’il embrassait passionnément, les yeux fermés. Il savourait ce moment tendre et délicat. Ses doigts, ses mains escaladèrent les monts miniatures, et arrivèrent à la base du cou de Suze. Leurs bouches se séparent d’un commun accord silencieux. Il fit alors passer son tee-shirt sur ses bras, et il tomba juste au dessus de la tête de Hikaru. De son coté, il sentit qu’elle s’affairait à autre chose. Ne la dérangeant pas, il en profita pour caresser une nouvelle fois le dos brulant de son amante, puis remonta sur les joue de son nouvel amour, qu’il caressa tendrement.

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Se relevant sur les coudes de la manière la plus séduisante qui soit, Hikaru rapprocha son visage de celui de Suze afin de lui toucher des lèvres l'oeil. Suze en frémit de surprise. Il lui souffla alors, de façon presque imperceptible:

- Crois-tu que je ne suivrai pas ?

Suivant cette question, un baiser fougueux. Départ d'une étreinte fanatiquement amoureuse. Les mains commencèrent à danser comme de vraie déesses. Hikaru se réallongea sur le sol de macadam souple et Suze se laissa conduire sur lui. Maintenant, leurs corps encore habillés se touchaient. Les mains et leur détenteurs prenaient plaisirs à se glisser un peu partout, visitant et revisitant l'anatomie, pendant ce temps encore cutanée, de l'autre. Hikaru caressait avec douceur et passion le ventre plat de Suze, jusqu'à arriver à la frontière de sa poitrine. Elle s'arrêtèrent un instant pour continuer plus loin, jusqu'au cou de la belle. Pendant ce temps là, Suze faisait de même, mais un peu plus, juste aux limites de la zone pelvienne de son partenaire. Cette zone qui lui avait toujours été montrée comme érogène... Elle ne voulait pourtant pas éveiller trop rapidement la masculinité d'Hikaru, si celle-ci venait à prendre conscience. Alors ses mains allèrent rendre une petite visite au torse d'Hikaru. Elle sentait les bosses des muscles abdominaux. Emmenant avec elle le tee-shirt, elle le fit seulement retrousser car le sien se fit en premier enlever. C'est pour cela qu'elle abandonna pour l'instant l'idée en cours. Les baisers perpétuaient leurs mouvements, toujours avec plus de persévérance amoureuse. Maintenant qu'elle était seule à demi-déshabillée, elle se persuada de "l'injustice" vestimentaire et retira, entre caresses et embrassades langoureuses, le haut de son partenaire. Maintenant, libre à elle et ses mains de toucher, sentir et idolâtrer le corps à demi-découvert d'Hikaru. Suze s'autorisa une visite buccale dans ces endroits-là. Elle déposa des bisous et encore des bisous un peu partout sur une ligne imaginaire qui descendait jusqu'au bassin. Puis elle releva la tête pour regarder Hikaru d'un air amusé et malicieux. Tant d'idées peu catholiques s'étaient éprises pour sa conscience.
Elle se redressa, tout en restant appuyée sur ses genoux et commença à déboutonner son pantalon. Juste déboutonner, elle laisserait à Hikaru l'honneur de le lui enlever, comme elle allait le lui faire. Elle défit également les boutons de métal du bas d'Hikaru, et le fit glisser jusqu'à l'avoir entièrement en mains.

- Ne pas me suivre ? Quelle mauvaise idée tu aurais là ...

Elle reprit alors son ascensionde bisous en partant de la fermeture du jean de son amant. Arrivée à son cou, ses lèvres chaudes retrouvèrent les pulpeuses et acidulées d'Hikaru, pour une énième rencontre délicate et langoureuse. Puis sa bouche glissa le long de la joue douce et alla se réfugiée dans le commencement de la nuque, un endroit qu'avait bien parfumé Hikaru. Rien que pour cette raison, Suze serait restée respirer son doux parfum masculin. Puis, ils roulèrent. Ce n'était même pas Suze qui en avait pris l'initiative. Alors il la suivait vraiment...?

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- Ne pas me suivre ? Quelle mauvaise idée tu aurais là ...Sur ces mots, Suze avait déboutonné son jean, puis celui d’Hikaru, qu’elle avait baissé. Elle remonta alors sur tout son torse, l’embrassant sur chaque centimètre de sa peau. Elle arriva enfin à la base de son cou, embrassa langoureusement Hikaru, puis se dirigea vers le commencement de sa nuque. Ces lèvres quittèrent sa peau, et elle s’arrêta dans ses mouvements. Puis, mu par un réflexe quelconque, ils roulèrent, Hikaru se retrouvant en haut, elle allongée sur le revêtement moelleux du toit de l’internat. Alors Suze le regarda d’un air un peu surprise, ce qui fit sourire Hikaru. Un sourire mutin. Il fit alors subir le même supplice qu’elle lui avait fait. De sa langue, à peine sortie d’entre ses lèvres, il se fraya un chemin sur sa peau. Il longea la tempe de son amante, descendit jusqu'à la clavicule gauche, revint vers le milieu de sa poitrine, et passa dans la minuscule vallée que creusait ses seins. Hikaru la sentit alors frissonner. Il descendit alors, et fit de lents tourbillons passionnés autour du nombril de Suze. Après avoir atteint son but, il descendit encore, sentant Suze frissonner encore un peu. Arrivé à la base de la culote de sa nouvelle amie, il prit alors conscience de ne pas être à égalité… il enleva alors entièrement le jean de ses jambes à lui, puis s’attaqua à celui de Suze. Il saisit deux boucles ou passait la ceinture, et le descendit lentement, jusqu'à le faire passer sur les jambes galbée de son amour. Lorsqu’il s’enfuya par ses pieds, Hikaru posa ses lèvres sur la chaude intimité de sa maitresse, et y déposa un baiser, à travers le fin bout de tissus. Sans s’y attarder, il remonta lentement, et, après l’ascension du mont Vénus, revint sur le doux et brulant ventre de Suze. Sa nuque frissonna alors. Il adorait cette sensation. Il quitta alors la peau de sa bien aimée, et comme pour reprendre sa respiration, l’embrassa tendrement. Leurs langues entamèrent alors un merveilleux ballet, puis Hikaru sortit. D’une main, il releva alors la tête de son amante, et plaqua ses lèvres sur les siennes, sucrées d’amour et d’envie. Ce parfum, ce goût l’enivra, et, de sa main gauche, tenait toujours la tête de Suze, il descendit dans son dos. Lorsqu’elle lui attrapa la nuque, pour prolonger leur baiser, ils s’accroupirent dans leur étreinte. Les deux mains d’Hikaru descendit alors dans le dos nus de Suze, et arriva à la fine agrafe de son soutien gorge, qui empêchait leur égalité vestimentaire, comme elle tentait de l’établir… Il la défit délicatement, par respect pour cette étoffe soyeuse. Il bâtit alors des cils, et admira son amour, qu’il embrassait avec passion sous les étoiles. Leurs langues, puis leurs lèvres pulpeuses se séparèrent l’espace d’un instant. Un instant où il sourit, heureux et coquin à la fois. Ils roulèrent encore une fois au sol, de manière à ce qu’il se retrouva dos au sol. Elle allait maintenant choisir la suite de leur aventure, sur le toit de leur lycée endormis.

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En position de faiblesse, car allongée en dessous, Suze subit avec plaisir le même supplice qu'elle venait de faire vivre à Hikaru. Ce genre de supllice qui fait monter en vous les vagues du désir. Ces vagues si puissantes qui détruisent toutes onces de doute sur leur passage. Hikaru fit naviguer sa langue de partout sur le ventre et la poitrine de Suze ce qui provoquait en elle beaucoup plus que ce qu'il aurait pu imaginer. Ses gestes en devenaient divins et magiques. Il se balada suavement, partant à la découverte d'une nouvelle terre encore inconnue pour lui. Il descendait encore, tout en prenant le temps de créer contact avec chaque parcelle de la peau chaude de Suze, puis, il arriva aux hanches de Suze, où son dessous subsistait toujours. Ce jour-là, elle n'avait pas choisit la plus jolie, mais en même temps, elle ne savait pas qu'elle aurait à la monter, comme ça, et à une telle personne. Hikaru retira à son tour son jean, puis celui de Suze, à une vitesse telle que Suze ne s'en aperçut pas. Elle ne sentit rien. Sa vitesse était peut-être rapide, mais lui était doux dans ses mouvements, comme s'il ne voulait blesser ou brusquer son amante. Un fois presque tous deux dénudés, Hikaru posa ses tendres lèvres sur l'intimité de Suze, encore gardée par ce vigil de tissu. Cela surdosa le désir de Suze. Il l'avait réellement réveillé. Elle ne pouvait plus tenir, elle devait le toucher, l'embrasser, lui aussi avait le droit d'être chéri. À croire qu'elle avait pensé très fort, car Hikaru revint près d'elle. D'abord près de son ventre chaud et chatouillant (de l'intérieur). Puis ensuite, leurs visages se firent de nouveau face, et leurs bouchèrent fondirent l'une dans l'autre pour y jouer une danse fougueuse et attachante. Cette danse close, Hikaru redécolla ses lèvres de Suze. Une chose qu'elle regrettait : qu'il se décolle d'elle. Leur séparation ne fut que brève, vu qu'Hikaru releva la tête de Suze d'une main pour caresser son dos de l'autre. Ils replongèrent dans l'impétuosité obscène de leurs baisers, et pour ne pas être "abandonnée", elle plaça sa main autour de sa nuque, pour approfondir encore et plus leur contact buccal. Une telle tenue de Suze les firent s'accroupir et dans le mouvement, Hikaru fit glisser ses mains le long du dos de sa maîtresse. De telles caresses étaient fatales pour notre aimée, mais elle continuait à résister, ce qu'elle ne pourrait plus faire bien longtemps, s'il jouait encore avec son désir... Hikaru fit un nouvel arrêt sur la résistance que provoquait son soutient-gorge. La première fois, il y avait encore le haut. Là, plus rien ne la séparait de la nudité (presque). L'agrafe se dégit lentement et les bretelles tombèrent le long des épaules fines et douces de Suze. Pendant que Suze s'occupait de tout retirer, Hikaru lui retomba sur les lèvres, et lui demanda un nouveau baiser. A demi-nus tous les deux, enfin à égalité, ils roulèrent derechef. Suze était de nouveau arrivée en califourchon sur le bassin de son bien-aimé. Ses seins n'étaient plus la propriété exclusives des bonnets de tissus... Toutes les caresses y étaient acceptées. On n'attendit pas bien pas longtemps pour en voir les effets. Suze s'appuyant sur ses bras qui touchaient les épaules d'Hikaru, se baissa, les pliant. Elle lui effleura le visage et tout ce qui le constituait. Elle descendit les échelons du corps masculin qui s'offrait à elle. Quelques caresses par ci, quelques autres baisers par là. Elle s'attarda davantage sur la partie pelvienne, surtout les os du bassin, que la minceur d'Hikaru faisait ressortir. Avec ses dents, elle fit descendre de quelques centimètres le caleçon à attache élastique. Suze jeta un regard empli d'idées si peu catholiques que le décrire malicieux relèverait de l'euphémisme. Elle voulait éveiller le désir en lui aussi. Quoique cela commençait à se faire voir. Etant donné que le tissu du caleçon se faisait de plus en plus déformé... Suze se rapprocha de cette déformation sexuelle, et la baisa. De quelques doux et précieux bécots. Irait-elle s'attarder sur cette zone, ou prendrait-il la situation, plutôt à son avantage, en main ?

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Alors que Hikaru s’était encore une fois retrouvé sur le dos, il ne pus qu’admirer la poitrine, jusqu’alors cachée, de Suze. Sa virilité durcit alorrs presque instantanément. Son amante se retourna alors, puis baissa sensuellement son boxer, lui dévoilant toute son intimité. Hikaru était à présent nu, et Suze s’amusait dans son entrejambe, picorant son sexe de doux baisers. Pour sa part, Hikaru ferma les yeux, et gémissais en savourant les vagues de bonheur qu’apportait son amante. Il sentit alors que Suze venait de s’asseoir sur sa poitrine. La sensation de la base de ses jambe sur son ventre et sa poitrine était merveilleuse… et, comme emportée par un délire d’amour, il tira gentiment les jambes de manière à ce que Suze soit allongée sur lui. Alors, il lança ses mains à la conquête du dernier territoire non exploré, le mont Vénus, comme il s’amusait à l’appeler. Un bout de tissus gênait encore sa progression. Alors, lentement, il mordit délicatement dans la culote de Suze, dégageant de douces effluves divines, et la tira. Il la fit descendre le plus possible que lui permettait les muscles de son cou, et admira la fleur des plaisirs de son amante. De sa main droite, il passa quelque doigt sur cette terre inconnue, qui s’humidifia au toucher. Hikaru sourit alors lentement, et gémit de plaisirs alors que Suze s’affairait. N’y pouvant plus, il caressa l’intimité de Suze avec ses doigts. Puis ils les frottas doucement dessus, avec délicatesse et amour. Puis, sentant qu’il était temps, pour lui, de passer à d’autre chose, il leva légèrement la tête et embrassa la zone sensible. Puis, comme leurs pulpeuses, il fit courir sa langue sur les douces lèvres intimes. Il entendit alors un gémissement, un gémissement de Suze. Alors il se permit un acte chargé d’amour et de conséquences. Lentement, sa langue pénétra l’inimité de Suze, dévoilant un goût salée dont Hikaru se délecta. Il sortit alors sa langue du vagin, et murmura, d’un air coquin :

-J’ai faim, Suze… je peux… ?

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Hikaru avait abordé la zone gardée par le dessous restant de Suze avec insistance avant de prendre congé de ce fameux vigil de tissu. Maintenant, l'égalité vestimentaire était parfaite. Eh oui, il n'y avait plus de quoi parler vêtements, puisqu'il n'y en avait plus. Sur le toit de leur lycée, partageait un moment intime d'amour deux jeunes internes. C'était tellement sympa. Suze adorait ce moment plus que tout autre chose. Ce qu'elle ne soupçonna pas, c'est qu'elle l'aimerait encore plus au moment où Hikaru avait, avec ses doigts fins, frôlé son intimité pure et sensible. Des petits roucoulements de plaisir se firent entendre. Qui résisterait à cette attention si personnelle ? Après que les doigts y soient allés en "éclaireurs", ce fut la langue qui embrassa les secondes lèvres de Suze. C'était encore mieux que les baisers ordinaires... Puis, dirigeant sa langue un peu plus bas, Suze découvrit la sensation que donnait une langue à l'intérieur d'elle... Des chatouilles de bonheur. Rien d'autre ne pouvait aussi bien le décrire. C'est tellement formidable, que Suze se demanda comme une unique langue pouvait-elle créer autant de sensations... Lorsque que l'organe buccale d'Hikaru se retira d'elle, ce dernier releva la tête et lui lança, chuchoté, avec un air encore plus malicieux qu'avant...

-J’ai faim, Suze… je peux… ?

- Et comment...

Elle l'avait soufflé...Elle ne savait même pas si il avait été capable de l'entendre. Des telles vagues s'étaient éprises de son corps que ses cordes vocales n'arrivaient plus à se joindre afin de former un unique son convenable. Elle voulait lui crier qu'il devait encore et encore continuer. Mais qu'après, elle lui serait redevable de tant.... Elle lui caressa alors les cheveux tout en finesse et en rythme. Alors qu'il reprenait sa tâche si singulière et pourtant si bonne. Ses sourcils se fronçaient de plaisir, et sa respiration devenait saccadée par les flots de bien-être qui l'envahissaient peut à peu Hikaru persévérait dans son acte charnel. Les jambes de Suze se crispaient, et se détendaient. Se rendait-ils seulement compte de ce qu'il lui faisait?

- Ne te gêne absolument, je veux assouvir ta faim...

Elle l'avait dit un peu plus fort, il avait sûrement entendu. Maintenant, elle se laissait aller au gré du courant sexuel qu'elle pouvait ressentir en ces instants mêmes. Lorsqu'il eut provoqué en elle l'extase sensorielle, Suze se cambra, signe d'ivresse de plaisir. Elle s'agrippa à lui, pour les ramener bassin à bassin. Elle ne savait toutefois pas si elle devait lui rendre son dû, ou si elle pouvait faire en sorte qu'il comprenne une pénétration... Lorsque le face à face était, elle en profita pour dégourdir ses lèvres et les projetter sur les zones du corps Hikaru qu'elle pouvait alors atteindre. Elle le caressa avec sa bouche, le mordilla avec ses dents et lui enfonça ses ongles dans le dos. Leurs corps respectifs étaient en sueur et dégageaient deux chaleurs qui s'entremêlaient entre passion et dévouement. Suze les fit tourner, pour qu'elle se retrouve de nouveau sur lui. Elle se tenait toujours à califourchon, mais cette fois-ci, décida de descendre ses jambes écartées vers les siennes où jonchait une masculinité bien affirmée. Arrivée près d'elle, Suze se souleva d'elle-même, et chatouilla la pointe gonflée d'Hikaru avec ses lèvres intimes d'entre ses jambes. Serait-elle assez claire?

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- Ne te gêne absolument, je veux assouvir ta faim...

Suze avait répondu à sa question, d’une voix pleine d’amour et de plaisir… Après quelques instants de pure bonheur, et de découverte du goût, Hikaru vit la fleur s’éloigné de lui, laissant une traînée humide de salive et de nectar salé sur son sillage. Suze se retourna, et Hikaru vit alors son visage, ivre de bonheur. Elle se pencha alors, et le caressa de ses lèvres pulpeuses. Elle le mordilla, et enfonça ses ongles dans son dos jusqu’au sang, mais peu importait. Hikaru aimait ça, tout comme Suze. Celle-ci écarta alors les jambes, libérant son entre jambe humide au dessus de son sexe, pointé vers le ciel en recherche du puit d’amour tant souhaité. Elle rougit alors, mais cela ne se voyait pas. Ils étaient rouges, essoufflés, et luisant de sueurs. Dans les derniers instants, ils avaient glissé l’un l’autre. Bref, elle plaça son bassin au dessus de celui de son amant, et chatouilla la pointe de l’intimité masculine d’Hikaru, du bout de ses lèvres intimes. Hikaru sourit alors, et, voulant faire une surprise à sa maîtresse, se redressa légèrement sur ses coudes. Et là, lentement, il souleva son bassin, délicatement. Elle parut surprise su contact. Hikaru ferma les yeux, et la pénétra. Il ne put retenir un cri de plaisir, qui se mêla au silence des étoiles, spectatrices de cette idylle intime qui se déroulait sous leurs yeux. Puis, n’en pouvant plus de la tension qu’il exerçait sur ses bras, peu musclés, son bassin retomba au sol dans un petit bruit. Il étouffa un petit cri de douleur, et son visage se crispa, le temps d’une seconde. Il n’avait qu’une envie, fusionner avec elle. Il ferma les yeux, et, dans un souffle qui ressemblait plutôt à un râle, il murmura :

-Viens… viens…

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Aux chatouilles que devait provoquer cette tendresse frôlante, Hikaru sourit. Il semblait préparer quelque chose. Suze lui rendait son sourire complice lorsqu'elle fut surprise d'un mouvement du bassin de son partenait. Partant du sol, il se souleva et dépassé le stade d'effleurement : il laissa son plaisir gonflé imprégner celui de Suze. Telle ne fut pas sa surprise à cette dernière. Elle ferma les yeux et inspira d'une façon ébahie. En fait, elle ne s'attendait à cette sensation là. Pourtant, Hikaru avait prit son temps pour se tremper en Suze. Après un cri de plaisir, Hikaru retomba au sol, et donc se retira aussi vite qu'il était rentré. Son visage laissait voir qu'une plainte de douleur avait été étouffée. Suze ne préféra pas en faire cas, c'était inutile car sans qu'elle n'ait eu le temps de penser quoi que ce soit d'autre, il lui été soufflé de venir. En effet, y faire attention aurait donné une conséquence. Suze se replaça alors bien droite et alignée, son désir était toujours aussi présent en elle. Il n'allait pas partir de suite de toute façon, il faudrait attendre encore un peu pour ça. Elle approcha son entre-jambe comme précédemment, au dessus de celui d'Hikaru, toujours pointant ces étoiles et cette lune, seul public du spectacle. Cette fois-ci, s'il pénétrait en elle, il n'en ressortirait pas de si tôt, à moins que cela ne soit voulu. Alors, d'elle-même elle se fit pénétrer par Hikaru. L'effet était aussi bon et plaisant. Des mouvements pelviens commencèrent à se voir et des sourires s'échangèrent. Suze, tout en roulant le bassin, s'allongea sur le torse de son nouvel amant, faisant glisser ses mains en premier. Elles s'attachèrent à ses épaules assez minces mais fortes, pendant que sa bouche, à Suze s'affairait à occuper le palace de celle d'Hikaru. La danse était assidue, qu'elle se trouve au niveau des bassins, où s'organisait un remous rotatif constant, ou au niveau facial, où là, des bouillonnements langoureux prenaient place. Leurs souffles se mélangeaient et créaient alors une ambiance chaude et sexy. Parfois, des cris de plaisirs retentissaient. Suze ne pouvait pas tous les retenir. De plus, Hikaru avait posé ses mains sur ses fesses, ce qui lui permettait de la maîtriser. Puis, pour lui faciliter la tâche (autant à elle qu'à lui) elle les fit rouler de nouveau sur le macadam souple et chaud. Dessous, elle avait tendance à plus écarter les jambes, pour laisser assez de place aux reins de son amant pour lui envoyer ces secousses sexuelles, qu'elles soit fortes et tendues ou profondes et puissantes. Et de plus, il était plus facile pour elle de ressentir le plaisir, et le faire savoir à son autre... Soudain, Hikaru lui envoya une décharge telle qu'elle ne put retenir un grand...

- Ouii, Hikaruuu...Continue !

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Alors Hikaru, après s’être lamentablement cassé le dos, eut le plus beau moment de sa vie. Suze, qui avait compris ses paroles, venait de l’introduire en elle. Très vite, il retrouva la sensation de plaisir, mais cette fois-ci prolongée. Il ne put s’empêcher de gémir quand Suze s’allongea sur lui, et fit lentement bouger son bassin. Il la prit alors dans ses bras, et l’embrassa tout en accompagnant ses mouvements de légers coups de hanches. Il ressentait alors les battements effrénés du cœur de Suze contre sa poitrine, leurs corps qui glissaient l’un l’autre d’une liberté totale, leurs sueurs qui se mêlaient, leurs langues qui dansaient… Hikaru ouvrit alors les yeux sur le ciel étoilé, et cria le nom de Suze. Celle-ci le fit alors rouler, pour qu’il se retrouve finalement sur elle. Alors, leurs bustes transpirants se quittèrent, et Hikaru releva les jambes de sa maîtresse pour qu’elle arrive au niveau de son nombril. Comme des serpents, elles s’enroulèrent autour de son thorax. Hikaru profita alors de cet instant magique pour brusquer un peu les choses, et donna de puissants coups de reins tout en accélérant un peu le rythme d’aller et venues. Suze ne résista pas très longtemps, et hurla bientôt son nom aux étoiles, spectatrices muettes :

- Ouii, Hikaruuu...Continue !

A ces mots, Hikaru ne se retint plus. Il prit Suze par la taille, et la ramena à lui. Il la sentait alors vivre contre lui, son cœur à cent battait furieusement. A ce moment, elle accompagnait presque instinctivement ses mouvements. Il ne put alors se retenir de crier le nom de son amante.

-Oh, Suuuze… mmh…

De bonheur, et de plaisir, il se pencha en arrière, laissant Suze prendre le dessus. Elle le méritait plus que tout...

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Les mains d'Hikaru eurent l'air d'être indépendantes de lui. Elles prirent subitement Suze par sa taille dénudée et brillante et la ramenèrent collée à Hikaru. Leurs coeurs battaient comme s'ils ne formaient qu'un. Suze ne se souvint plus comment ils en étaient venus à vivre une telle...chose..., expérience? Juste le commun d'aimer les étoiles et les voilà à leur faire partager un spectacle qui est normalement réservé aux deux paires d'yeux de ceux qui en sont acteurs. Et pour profiter pleinement et dans la totalité du moment, Suze fit suivre son bassin avec les mouvements d'Hikaru. C'était comme une danse, leurs corps synchronisés sur la musique de leurs respirations saccadées mais pourtant régulières et de leurs gémissements soufflés.

- Oh, Suuuze… mmh…

D'un mouvement lâché, il se laissa tomber en arrière. Son plaisir était-il tel ? Suze ne l'aurait jamais ne serait-ce que pensé, déjà, ça ne l'aurait pas traversée... Autre chose la traversait en ce moment, et elle préférait penser à la deuxième que de se tracasser avec la première. Elle suivit alors Hikaru dans son allongement et ses lèvres attrapèrent les siennes suavement. Elle tentait d'accélérer le rythme donné par son amant, car c'était maintenant que tout commençait à se développer vraiment. Etait-il prêt pour ce qu'il allait vivre...? Etaient-ils prêts pour ce qu'ils allaient vivre? Toute la question était là. Suze n'était pas du genre à ne pas finir ce qu'elle commençait, ni à le faire qu'à moitié. Mais elle laissait aussi le partenaire donner du sien. Donner sans recevoir ne faisait pas partie de cette façon de sa façon de voir la vie, à Suze.

- Est-ce que tu es....prêt...? Hikaru...? lui dit-elle entre deux ou trois caresses et baisers. Je n'aimerai pas te surprendre...

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Hikaru commençait à sentir que cela montait. Une force imperceptible, mais puissante, qui envahissait peu à peu son corps et son esprit. Il entendit alors Suze, qui, tout en le caressant et l’embrassant, accélérais le rythme

- Est-ce que tu es....prêt...? Hikaru...?Je n'aimerai pas te surprendre...

Hikaru comprit alors qu’elle désirait plutôt qu’il prenne les choses en main, pour finir en beauté, si l’on peu dire. Il passa alors, comme par réflexe, les bras derrière le cou de sa maîtresse adorée, et releva son dos en sueur du macadam. Ils luisaient tous deux, d’amour et de désir. Leurs corps se collèrent l’un l’autre, et il sentit Suze, son buste brûlant, danser avec le sien comme en rêve. Ils en vivaient un d’ailleurs. Nus, sur un toit, offert aux yeux de l’univers, à corps perdu, dans tous les sens du terme. Hikaru leva alors les yeux au ciel, et regarda encore une fois le public céleste. Puis, il baissa les yeux vers le visage de Suze, qui le regardaient passionnément. Il l’embrassa alors, se collant à elle, et donna des coups de reins puissant et rapidement. Elle ne voulait pas le surprendre ? Lui non plus. Aussi il calqua sa respiration sur celle de son amante, respirant le même air. Le ballet moite de leurs langues s’emballa alors, et Hikaru sentit le moment proche. Comme parcouru d’un frisson, il donna un coup de rein puissant, pénétrant totalement Suze et la plaquant contre lui. Là il ne put contenir son fluide vital, qui explosa dans sa maîtresse, au même moment de son cri de bonheur, de pure volupté :

-Suze !! Suuuze !!!!!!!!!!!...

Il donna encore quelques coups de reins, puis le silence se fit sur le toit du lycée Shimizu. Il voulait rester comme ça pour l’éternité, au plus proche son être, de son âme. Une légère brise fraîche se leva, comme caressant le couple en extase, comme le remerciant d’avoir donné un si beau ballet d’amour au monde nocturne et infini. Comme son amour envers elle, née de ce moment intime d’amour pur.

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