Enfin chez soi [Gabriel H.]

Et voilà une bonne journée bien remplit était passée. Cette journée avait pourtant bien commencée, Saeko et Gabriel s’était quittés amoureusement puis retrouvés pour déjeuner ensemble le midi sur le toit. La matinée était passée relativement vite, Saeko se baladait, comme à son habitude, dans les couloirs et surveillait ces chères petits élèves. Certains avaient décidés de sécher les cours mais Saeko passa par là, elle n’aimait pas les rappeler à l’ordre mais, c’était son travail. Ils avaient beau la complimenté, elle ne l’ai laissait pas séché leurs cours, elle était gentille, mais prenait son travail au sérieux alors, elle ne laisserait pas certains élèves faire ce qu’il veulent comme ils veulent. Juste parce qu’ils n’aiment pas le cours, elle trouvait ça aberrant. Enfin, la matinée avait été relativement tranquille. Le lycée en fait était tranquille, surtout lorsque la plupart des élèves étaient en cours alors, tellement dans ses moments là, elle se permettait de regarder le ciel et d’être ailleurs.

Ce midi, elle avait retrouvée Gabriel comme convenue sur le toit. Ils avaient déjeunés ensemble. Ils étaient bien là haut. Cela lui rappela un peu la veille, après leur dîner. Cette soirée avait été magnifique et pleine de rebondissements. Et oui, Gabriel et Saeko s’étaient avoués leurs sentiments. Saeko était contente de le voir ce midi, c’était une sorte de bouffer d’air frais dans un monde renfermé. Ils avaient bien profités l’un de l’autre et ne furent pas dérangés. Mais, ils n’eurent qu’une heure pour eux et oui, la réalité les rattrapa rapidement mais ils s‘étaient donnés rendez-vous chez Saeko le soir même vers 19 heures. Elle reprit le travail à 13 heures. L’après-midi fut long, elle avait hâte de quitter le lycée cela lui rappelait trop son adolescence et ce n’était pas spécialement de bon souvenirs. Une fois le boulot terminer, elle récupéra ses affaires dans son casier et se dirigea chez elle après être passer dans le jardin pour se reposer un peu seule tranquillement le lycée étant vide enfin presque. Elle avait fait la connaissance de beaucoup d’élèves et en général, ils étaient tous assez gentils.

Elle rentra alors chez elle, à pied comme toujours tout en réfléchissant. Qu’allait-elle faire préparé pour ce soir ? Elle n’en savait rien, et puis, comment faire aussi bien que ce que Gabriel avait fait la veille ? Elle ne pouvait pas. Elle approchait de chez elle, elle sortit de sa rêverie et ouvrit la porte avec ses clés. Déjà en rentrant son téléphone lui indiquait qu’elle avait un message. Elle prit le temps de ranger ses affaires puis vint s’asseoir dans le canapé, appuyant sur le bouton de son téléphone pour écouter son message.

« Vous avez Un nouveau message; aujourd’hui à 15h34 > Allô Sae-Chan, c’est ton père, au cas où tu ne m’aurait pas reconnut … Il faudrait que tu me rappelle absolument quand tu aura finit ton travail, c’est par rapport à ta mère, c’est grave, enfin, ce n‘est pas la peine de s‘affoler non plus… J’attend ton coup de fil à bientôt. Bisous … ; Tapez 1 pour effacer, 2 pour enregistrer et 3 pour réécouter.»

Saeko raccrocha. Son père avait l’air inquiet et ce n’était jamais bon signe lorsque c’était lui qui l’était. Saeko se leva alors et prit le combiné du téléphone, elle composa le numéro de chez son père puis emmena le téléphone à son oreille, elle commençait à faire les cents pas dans son salon pendant que chez son père, le téléphone sonnait. Il décrocha alors, Saeko se stoppa sur place puis recommença à marcher alors qu’ils discutaient.

Seko -Allô Papa ? C’est Sæko, tu m’as dit que c’était grave ?
Son père - Oui … C’est ta mère … Elle est à l’hôpital …

Saeko ne cherchait pas à savoir, elle avait directement mit les pieds dans le plat, comme son père d’ailleurs qui lui annonça la nouvelle de bute en blanc. A l’annonce de cette mauvaise nouvelle, elle faillit lâcher le combiné, mais, elle continua de marcher tout en serrant fort le combiné dans sa main. C’était la première fois que des problèmes de santé apparaissaient dans sa famille et comme par hasard lorsqu’elle n’était pas là. Elle continua alors :

- Et … C’est si grave que ça … Une boule se forma dans sa gorge,
- Heu … Elle a des problèmes de cœur …Pour l’instant, elle reste à l’ hôpital sous observation …, un long silence s’installa.
- Que t’on dit les médecins ? ça va aller tu crois ?
- Je l’espère … Les médecins n’on rien voulus me dire …
- How … Et bien … Courage …
- Oui … ne t’en fait pas, je t’appellerais s’il y a du nouveau.
- Oui d’accord, si tu la revois, dit lui que … je l’aime …
- Elle le sait … Et puis, tout ira bien.
- Je t’aime toi aussi papa … Je doit te laisser j’ai … Des choses à préparées.
- Très bien. Je te rappellerai pour qu’on puisse parler plus longuement et que tu me raconte tout de ta nouvelle vie
- Avec plaisir … Au revoir …
- Au revoir.

Puis elle raccrocha, posa le combiné, elle était sous le choc, comment devait-elle réagir ? Elle n’avait jamais eu aucuns problèmes quel qu’ils soient auparavant, la vie ne lui réservait rien de très passionnant d’habitude à part Gabriel. Et là, cela lui tombait dessus comme ça. Elle s’assit dans son canapé et resta là, pendant une vingtaine de minutes sans rien faire. Son père avait essayé de la rasurer tant bien que mal, c'était gentil de sa part. Elle se leva ensuite d’un coup, il ne lui restait pas trop de temps avant l’arrivée de Gabriel elle alla donc se doucher et prépara les pizzas, les chips et les films. Elle n’avait rien trouvé de mieux qu’une soirée DVD. Cela était pas très élaboré, mais, tant qu’elle voyait Gabriel, peut importait le lieux, l’ambiance, elle avait besoin de lui, maintenant plus que d’habitude.

Invité

Ce que Saeko ne savait pas est que Gabriel l’aimait vraiment, très fort, mais quand elle était partit il c’était tout d’un coup sentit gauche, ne savait pas trop comment agir. Il devait recommencer à être lui-même de nouveau. Il avait l’impression d’avoir deux faces, et cela le dérangeait un peu dans un sens, mais dans l’autre non, c’était un genre de protection. Le mur autour de son cœur était partit mais pas de son corps, pas devant les autres. Il devait rester l’insensible. Le matin se passa assez vite passa assez vite pour Gabriel, il fit ses études à son petit bureau dans son Loft. Ils se retrouvère le midi, barricadèrent la porte du toît pour se retrouver seule l’espace d’une petite heure. Bien sûr Gabriel fit certains que personne ne le voit y monter. L’heure se passa bien sûr trop rapidement. L’après-midi se passa plus ou moins sans anicroche avec les élèves. Il fit ses remarques comme à son habitude et se récolta quelques regards. Mais est-ce que ses regards le dérangeaient ? Non, pas du tout et sa n’allait pas changer. pour le moins pas sur l’immédiat. Peut-être qu’avec le temps il changerait, on ne pouvait pas demander à quelqu’un de changer d’attittude d’un seul coup, mais il devrait faire des efforts c’était une certitude.

Il était environs 17h00 lorsqu’il quitta l’école la tête trop pleines de questions envers lui-même. Il se déshabilla rapidemment afin de sauter dans la douche. Il y resta une bonne demi-heure les yeux dans le vague se mordant l’intérieur de la joue essayant de résister à son envie de gober du Vicodin. Il ne pensait qu’a sa depuis deux heures et sa jambe recommençait à le faire soufrir. Souvent lorsqu’il stressait ou bien pensait à un gros problème sont cerveau semblait ne penser qu’a prendre du Vicodin comme si cela allait tout régler. C’était ce qu’il croyait inconsciemment en quelque sorte. Le Vicodin était une solution à bien des chose, sa fidèle amie. Enfin il sortit puis fit son choix pour des vêtements. Ce soir il allait voir Saeko, il devait être propre. Il arrêta son choix sur une chemise de soie noire, des pantalons de velour noir et ses bonne vieille bottes de cuirs de la même couleur. Il rajouta une touche de couleur en se mettant une cravate lousse au cou de couleur blanche. À peine qu’il mit le pied dehors il sentit le froid lui glacer les os. Il entra en dedans et rajouta à son habillement un long manteau noir et une écharpe grise ainsi que ses gants de cuirsà l’aspect vieillot. Il soupira empoigna sa canne de nouveau et entreprit de marcher jusqu’au domicile de Saeko.

Une fois devant la porte il se sentit légèrement hésitant. Il avait peut-être l’air ridicule accoutré comme sa. Un sentiment étrange se fit sentir en lui. Il sentit ses muscles se raidirent puis tout d’un coup devenir moins forts, moins certains. Il sentit ses jambes se dérobé mais à la dernière seconde il s’accrocha à la porte. Ou plutôt lui tomba presque dessus. Il reprit son souffle puis sa contenance et se redressa tranquillement. Il avait le goût de lâcher un de ses jurons mais avec un air un peu fâché et décider il se redressa de tout son séant pour reprendre un air un peu plus normal et appropprié. Avec calme il appuya sur la sonette, attendant la réponse, un air nonchalent au visage.

Saeko espérait que a journée de Gabriel s’était bien passée. Lui travaillait en tant que futur Professeur. Elle n’était que Surveillante. Il n’avait pas les même horaires mais avait tout les deux un contact avec les élèves. Saeko savait qu’il était différent lorsqu’il était en cours que lorsqu’il était avec elle, elle le sentait, c‘était bizarre. Elle était pareil avec tout le monde, mais bien sûr, plus tendre et douce avec Gabriel cela va de soit. Le journée avait té relativement bonne alors, pourquoi tout s’était effondré d’un cou ? Pourquoi aujourd’hui ? Enfin, cela devait arriver tôt ou tard. Elle avait peur d’être différente ce soir avec Gabriel elle ne voulait pas l’impliquer là dedans, il n’avait rien a voir avec ça, c’est pour ça qu’elle devait paraître le plus naturel possible. Il fallait qu’elle oublie, au oins pour cette nuit. Elle prédisait déjà qu’elle allait mal dormir. Cela lui avait fait du bien d’entendre la voix de son père, mais, pour une nouvelle pareil, c’était pas très plaisant. Enfin, il fallait qu’elle fasse abstraction pour l’instant. Sous sa douche, elle resta un long moment, sans rien faire, elle on aurait dit qu’elle n’était plus de se monde, elle avait les yeux dénués de toutes expressions. Elle ne faisait que penser, elle avait l’impression que sa tête allait explosée. En sortant de la douche, elle prit donc une aspirine puis alla s’habillée, elle mit un simple jean large et un tee-shirt noir tout simple qui affinait sa silhouette. Elle était bien chez elle, elle ne pensait pas qu’il faisait froid dehors. Elle se dirigea alors dans la cuisine et mit à chauffer les pizzas, elle ne prit de toute sorte, elle ne savait pas ce que Gabriel aimait ou pas. Cela n’allait pas être très diététique mais bon, elle ne faisait pas sa souvent alors, un petit écart de temps en temps en faisait pas de mal à personne.

Penser qu’elle risquait de ne plus voir sa mère lui minait le moral, elle essaya alors de se concentré sur autre chose et arrangea le salon bien qu‘il n‘y avait pas grand-chose à faire. Elle observa la pièces, certains de ses dessins étaient accrochée, elle adorait les mangas. Elle avait déjà songer à faire le sien mais, elle avait un peu peur que cela ne marche pas, et puis, elle allait tout de même faire ces études de graphisme alors, cela allait plutôt l’aider. D’ailleurs, elle avait dessiner Gabriel lorsqu’il avait chanter sus le toit sous la lune, c’était de loin le dessin qu’elle avait le mieux réussi. Elle n’avait pas eu le temps de mettre les couleurs et hésitait à les mettre de peur que cela gâche le dessin. Voilà, elle ne pensait plus à ses parents, c’était bien ! C’était pour ça qu’elle adorait le dessin, grâce à ça, elle arrivait à s’évader et à tout mettre de côté. En plus, elle avait tendance à mieux réussir à dessiner ce qu’elle aimait, alors le dessin de Gabriel était superbement bien réussit.

Elle déposa la dernière pizza sur la table et se dirigea vers la porte. Elle l’ouvrit doucement et se retrouva face à Gabriel. Il était beau tout de noir vêtu avec sa cravate blanche et ses gants de cuir ainsi que son écharpe, le noir lui allait très bien. Il était appuyé sur sa canne et attendait dans le froid. Ce froid qui surpris Saeko, elle en frissonna. Elle ouvrit la porte en grand et fit signe à Gabriel de rentrer avec un petit sourire, son visage s‘illumina. C’était la première fois qu’il venait chez elle, elle était déjà venue deux fois chez lui, il fallait bien changer un peu. Et puis tôt ou tard il aurait été amené à y venir. Mieux vaux tard que jamais comme on dit !

-Bienvenue chez moi !

Elle était contente de le recevoir.

Invité

La porte s’ouvrit devant Gabriel sur une Saeko en vêtements large et qui semblait être fait pour une soirée confortable. Il c’était probablement mit un peu trop chic mais il s’habillait toujours plus ou moins comme sa. Un sourire illumina son visage mais il croyait que quelque chose semblait clocher un peu, mais quoi ? Il ne savait pas, il venait de se mettre en tête l’idée de trouver ce que c’était ou sinon savoir qu’il fabulait. Il sentit une odeur de pizza flotter, et surtout la chaleur de l’aintérieur comparé à l’extérieur. Ill la suivit du regard puis suivit ses mouvement en même temps. Donc il se trouvait face à elle puis referma la porte d’une main. Il resta comem sa sans bouger seulement à humer l’odeur des cheveux de Saeko, pendant un instant son esprit divagua et s’envola ailleurs puis il revint finalement sur * terre *. Ses muscle se crispère et il sursauta. Il avait probablement l’air d’un vrai fou à cet instant. Il toussota en articulant un faible désoler puis recula de quelques pas. Il enleva son manteau long puis chercha des yeux une place ou le déposer. Il laissa glisser son manteau pour l’attrapper d’une main et enleva ses gants pour les laisser choir sur une chaise non loin. Il oublia cependant d’enlever son écharppe. Il avait trop le goût de faire une chose. Il empoigna sa canne puis fit les quelques pas qui le séparait de Saeko. Il l’attira dans ses bras puis s’accota sur le mur laissant tomber la canne. Il la serra très fort dans ses bras nichant de nouveau son nez dans son cou. Ses mains descendirent à la taille de la jeune femme puis arrêtèrent son chemin et il enserra son emprise. Il sentait qu’elle avait peut-être besoin de lui autant que lui avait besoin d’elle mais sans trop savoir pourquoi.

Si tu n’arrête pas là Gabriel elle va te sortir à coup de pieds au derrière ma foi ! ARRÊTE !

Tu as faim ? Je sent une très bonne odeur…. mais elle ne viens pas uniquement de la cuisine.

Il venait de rendre compte qu’il était adossé au mur et qu’il serrait fort Saeko contre lui, donc aucune possiblitée de mouvement. Voulait t-il vraiment bouger ? Oui et non. Il venait de démontrer un peu trop violement son affection et cela le gênait quelque peu. Il devait rester calme quelques peu afin d’observer les réactions de Saeko à cette démonstration afin de savoir comment s’ajuster par la suite. Il relaxa toute la tention dans son corps et refit calmement de l’ordre dans ses pensées. Il recula son visage puis fixa intensément les yeux de son amoureuse pour essayer de voir ses émotions, peut-être qu'il n'y verrait rien mais savait on jamais. Il essayait de voir et même écouté toute inflections de voix qu'elle pourrait avoir.

Elle était contente qu’il soit là. Il ne pouvait quasiment rien faire pour l’aider à par être là, sa présence la rassurait quelque peu. Elle ne voulait pas lui en parler, c’était sa famille, ses parents, sa mère, son choc émotionnel. Elle ne voulait pas l’embêté avec ça, il n’avait rien à avoir là dedans, encore s’il les avaient déjà rencontrer, elle lui en aurait sûrement parler, mais, ce n’était pas le cas alors, elle resterait discrète sur le sujet pour le moment. Et puis c’était leur soirée, elle n’était pas du genre à se lamenter de son sort mais préférait profiter de ce qu’elle avait sous la main, et là, Gabriel était tombé à pic ou au mauvais moment ? Nan, il était là et elle allait en profiter, certes il y aurait des fois où elle serait absente mentalement mais elle allait tout faire pour que cela ne semble pas suspect. C’était un peu pour ça qu’elle c’était habillée sans trop d’élégance. Elle était chez elle et voulait lui montrer comment elle était lorsqu’elle y était; autrement dit un jean large et un tee-shirt noir moulant était normal pour elle mais la vérité était qu’elle ne savait pas trop comment s’habiller étant donner qu’elle n’allait nulle part et qu’elle allait sûrement passer toute la nuit chez elle. Enfin, on sonna à la porte, Saeko ouvrit sachant pertinemment qui se trouvait de l’autre côté. Gabriel lui sourit, Saeko trouvait qu’il s’habillait bien en général et le noir lui allait superbement bien. Saeko ne se doutait pas que Gabriel sentait qu’il y avait quelque chose qui clochait. Elle avait pour habitude de cacher se qu’elle ressentait, bien sûr, elle avait avouer ses sentiments à Gabriel mais, cela ne s’était pas fait d’un coup. Elle referma la porte une fois qu‘il fut rentrer. Le fraîcheur disparue, il faisait meilleur à l‘intérieur, il était face à face, Sæko lui fit un petit sourire elle le regardait, il semblait ailleurs et elle aussi. Puis soudain il eut comme un sursaut, Sæko revint sur terre aussi, elle le regarda un peu amusée lorsqu‘il s‘excusa, il n‘avait pas besoin de s‘excuser, cela arrivait à tout le monde et à Saeko la première. Il se débarrassa de son manteau et de ses gants elle l’observa, un léger sourire aux lèvres. Il les posa sur une chaise elle aurait fait pareil s’il les lui avait confiés. Donc il avait bien fait, elle le regarda. Saeko était rester bloquée sur les affaires posées sur la chaise et ne redescendit sur terre que lorsqu‘il la prit dans ses bras. Son cœur s‘emballa, comme si c‘était la première fois qu‘ils avaient un contact physique. Cela lui fit chaud au cœur, une boule se forma dans sa gorge, comme si elle allait pleuré, mais, elle ne voulait pas pleurer. Saeko avait l‘impression que Gabriel savait, du moins il avait réagit comme s‘il savait qu‘il était arrivé quelque chose. Gabriel tenait Saeko dans ses bras et était adossé au mur, il avait nicher son nez dans son cou, cela lui faisait du bien. Il avait fait glisser ses mains jusqu‘à la taille de Sæko, cela ne la dérangeait pas, ils étaient ensemble maintenant alors, elle lui appartenait en quelque sorte mais cela l‘aurait sûrement surprise mais elle n‘aurait pas protesté s‘il était descendue plus bas. Il la serra, elle le serra à son tour, elle ferma les yeux essayant d‘oublier. Elle savait que si elle en parlait elle risquait de pleurer et elle ne voulait pas pleurer devant lui mais elle savait que pleurer lui ferait du bien, que faire ?! Dans les autres relations sérieuse qu’elle avait eu, elle n’avait jamais été si câlin avec ces partenaires, avec Gabriel tout lui semblait différent et mieux. Il sentait si bon qu’elle ne voulait pas le lâcher et sentir son parfum, sa présence, son contact pour toujours.

Tu as faim ? Je sent une très bonne odeur…. mais elle ne viens pas uniquement de la cuisine.

Sæko sourit et ouvrit ses yeux. Tout était prêt, il n’y avait plus qu’à s’installer et à mettre un film enfin, encore fallait-il en choisir un. Ils avaient le temps, la soirée ne faisait que commencer, la journée avait été forte en émotions et maintenant c’était le moment de décompresser. Gabriel fixa Sæko dans les yeux, ils n’exprimait rien de particulier, elle espérait que Gabriel ne se doute de rien mais, ne serait-ce que la façon dont il l’avait prit dans ses bras, Saeko pensait malgré elle qu’il savait que quelque chose n’allait pas, comment pouvait-il la connaître aussi bien ? C‘était un bien ou un mal ? Sûrement un bien, Gabriel ne lui faisait que du bien. Elle se détacha de Gabriel avec regret, ramassa sa canne qu’il avait fait tombé, la lui rendit et lui attrapa l’autre main, l’entraînant dans le salon doucement.

J'ai commandé des pizzas et les ai fait réchauffées ...

Lui confia-t-elle, elle n'était pas vraiment fière d'elle. La soirée qu'il lui avait préparé la veille était beaucoup plus rafiné.

Invité

Le couple était de nouveau réunit, peu de mot, mais des regards et un peu de tendresse ici et là. Avait-il besoin de plus ? Pas pour le moment. Mais Saeko, elle peut-être, mais il ne pouvait pas le deviner. Si les gens pouvait savoir ce que les autres pensait vraiment, il y aurait peut-être moins de conflit sur terre. Elle semblait être plus ou moins là, partir dans la lune, mais elle el faisait souvent, et lui aussi dans un sens, donc il ne fit rien à ce sujet. Saeko semblait du type un peu lunatique et sa le faisait sourire intérieurement. Gabriel ne savait pas ou était les interdit envers elle, jusqu’ou il pouvait aller, sa limite en quelques sorte. Il l’apprendrait bien tôt ou tard. Bien sûr il espérait plus tôt que tard, il ne voulait pas faire de gaffe ou bien cause de mal entendu, ou bien la froisser de quelques sortes. Les début d’une relation avait toujours été quelque chose d’ambiguë pour lui, mais eune fois cette étape passé normalement sa allait. La prendre dans ses bras l’avait ressourcé l’espace de quelques seconde, tout ses problème intérieur c’était évaporé il n’y pensait plus, il ne pensait qu’a être avec elle, et oublier tout le reste et le monde autour. Il était dans un autre monde, celui de Saeko et de Gabriel, ou aucun problème ne se pointait à l’horizon, pour l’instant. Lorsqu’il la fixa dans les yeux, il n’y vit pas grand chose, si quelqu’un ou un événement semblait la préoccupper elle le cachait bien, cependantr4 intérieurement Saeko avait tout une tornade d’émotions de toutes sortes. Ensuite elle le prit par la main et l’entraîna dans la cisine il se laiss faire le léger sourire au lèvres.

Oh, chère, je ne t’avait pas dit que je n’avait aps fait les sushis ? Ils avait été acheté…. je n’ai fait que la présentation sur assiettes, c’est tout.

En effet, ils étaient de nouveau réunit. Leur étreinte semblait vouloir dire qu’il ne s’étaient pas vus depuis longtemps, elle semblait traduire de belles retrouvailles tant attendues. Mais ce n’était pas du tout le cas. Enfin si, Saeko avait hâte de le voir, mais, ils s’étaient quittés le midi pour se voir le soir, ce n’était pas une longue séparation et la chaleur des bras de Gabriel lui avait réchauffer le cœur et elle en avait besoin, d’où cette longue et belle étreinte remplit d’émotions. C’est beau l’amour ! Enfin, ce n’était pas ce que pensait Saeko avant. Mais depuis qu’elle avait rencontrer Gabriel et qu’entre eux, cela s’était concrétisé, elle y croyait plus, Gabriel lui donnait de l’espoir. Du coup, lorsqu’elle était dans ces bras à cet instant, tout lui semblait possible, même que sa mère se remette miraculeusement, qu’elle sorte de l’hôpital et que la vie reprenne son cours normal. Cela était tout à fait possible d’ailleurs. En repensant elle avait peur que son père la rappelle, non seulement parce qu’elle était avec Gabriel mais elle avait aussi peur de ce qu’il allait lui annoncé. C’est pour ça qu’elle se demandait si elle devait répondre ou pas, débrancher le téléphone ou non ? Nan ! Pas question, il fallait qu’elle sache, c’était sa mère quand même ! Elle voulait savoir ! Elle décrocherai, elle espérait juste qu’elle aurait des nouvelles demain matin au réveil et pas pendant cette soirée.

Elle voulait profité à fond et ne plus penser à ça. Cela allait mettre en l’air toute la soirée. Elle ne voulait pas être responsable de ça. Ils venaient de concrétisé leur relation, elle ne voulait pas tout perdre d’un coup, sa mère et l’homme qu’elle aime. Elle n’y pensait plus … Elle n’y pensait … Elle ne pouvait pas s’en empêché ! Elle essaya de ranger cette idée dans un coin de sa tête, dans un des tiroirs de ses pensées. Elle emmena alors Gabriel dans la cuisine, elle ne savait pas pourquoi, cela servait à rien qu’il vienne dans la cuisine ?! Enfin, elle était un peu confuse mais gardait le sourire, malgré tout, c’était un sourire sincère car, oui, elle était contente de recevoir Gabriel et elle le montrait.

Oh, chère, je ne t’avait pas dit que je n’avait pas fait les sushis ? Ils avait été acheté…. je
n’ai fait que la présentation sur assiettes, c’est tout.

Elle lui lâcha la main doucement et se dirigea vers le four. Elle se retourna vers lui et lui sourit.

Oui mais c’était plus … raffiné ^^

Elle ouvrit alors le four et pris la dernière pizza. Vous ne trouvé pas que quelque chose cloche ? Et bah, vous devriez ! Elle pris le plat et se brûla la main. Elle avait oublier de mettre un gant. Elle posa le plat sur le plan de travail et se tint sa main brûlée avec l’autre, la serrant très fort. Elle avait été vraiment bête sur ce coup. Elle se dirigea vers le lavabo et fit couler de l’eau froide. Elle souriait toujours, cette situation, elle l’a trouvait comique, elle rigola même un peu, cela la libéra un peu. Elle faillit pleurer de rire. Pleurer de rire ? Peut-être que les larme aurait plutôt symbolisées son angoisse et le rire le ridicule de la situation.

Invité

Saeko avait l'air plus ou moins dans son assiettes il voudrait bien la réconforté mais en même temps en ne sachant pas pourquoi il ne pouvait pas vraiment aidé. Et, plus il y pensait, plus il savait qu'il n'était vriament pas la bonne personne pour réconforté les autres. Il était encore un peu trop renfermé pour sa. Il pourrait le faire probablement mais sans parler. De toute façon dans un sens elle semblait avoir l'air de bonne humeur et il ne voulait pas être cause de mauvais sang ou mauvaise humeur.
Elle se retourna puis prit la pizza qu'elle avait fait préalablement réchauffé, elle se brûla bien évidemment le bout des doigts puis eu un petit rire du genre nerveux. Étant derrière elle il ne vit que son dos, donc il ne put voir sa vrai réaction, son visage. Au lieu de s'approcher, il recula un peu puis continuait de l'observer, de la fixer tandis qu'il s'appuyait non loin, déposant sa canne dans un coin de mur. Il ne devait pas se montrer faible devant elle. Mais en même temps il ne voulait pas s'asseoir et se laisser servir. Plusieurs pensées tourbillonnait das son esprit et dans ses yeux ont pouvait y voir une hésitation tandis qu'aucun mots sortait de sa bouche légèrement pincée.

Je, tu, je...je...aide?

Et voilà il n'avait pas vraiment réussit à dire ce qu'il pensait et il s'en aperçu sur le coup. Sa fierté masculine venait d'en prendre un vent. Il pensait à plusieurs autres situations auparavent avec d'autre personnes qui l'aurait fait rire, mais ont aurait dit qu'il avait souvent de la misère à s'exprimer. Effectivement il avait de la difficulté aussi banale que le sujet pouvait être. Un jour sa se règlerait. Il replongea dans ses pensée et pensa à de l'eau, des étendues d'eau.

Un jour il faudrait se baigner... oh! Oui, hum, veut tu un peu d'aide?

Tout allait bien ! Il n’y avait pas de raison de s’en faire. Sa brûlure la fit retomber sur terre. Il ne fallait pas qu’elle s’évade, ce n’était pas le moment. Mais en même temps, elle avait du mal à ce concentrer en présence de Gabriel. Elle ne pensait qu’à lui alors lorsqu’il était à ces côtés, c’était encore pire. Enfin, non, c’était mieux ! Elle en profitait pleinement et elle ne voulait pas que cela s’arrête à cause d’un quelconque problème que qu’il soit. L’eau fraîche lui fit du bien. Elle laissa sa main durant quelques minutes -mais pas longtemps non plus- sous l’eau. Elle regarda alors droit devant elle et se mit à réfléchir ou du moins, à penser à ce qui lui venait premièrement en tête : la soirée. Il ne fallait pas qu’elle gâche tout ! Elle ne se le pardonnerais jamais ! Elle redescendit alors sur terre, coupa l’eau et sortit la pizza du four en prenant soin cette fois si de se protéger les mains. Qu’elle idiote elle avait fait, elle en rirait encore durant des années. Gabriel balbutia alors :

Je, tu, je...je...aide?

Saeko se retourna vers lui, il avait l’air d’avoir perdue tout ses moyens, elle était surprise. Il sembla alors se reprendre après quelques secondes :

Un jour il faudrait se baigner... oh! Oui, hum, veut tu un peu d'aide?

Saeko lui sourit puis secoua la tête pour lui faire comprendre que cela n’était pas la peine. Elle s’en sortirait très bien toute seule, ce n’était pas très compliqué en plus. Elle sortit un couteau d’un tiroir, coupa la pizza une fois fini elle s’écria avec bravoure:

Et voilà ! J’espère que tu n’ai pas allergique au fromage ou quelque chose dans le genre !

Elle mit le couteau dans l’évier, prit le plat qui contenait la pizza et avança en direction du salon. Sur le chemin, elle se retourna :

Tu viens, je te laisse l’honneur de choisir le film !

Elle sourit. C’était comme si elle avait tout oublier de ce qui c’était passé plus tôt et qu’elle savourait l’instant présent, ce qu’elle faisait d’ailleurs ! Cela lui rappelait le début de leur rencontre. Le fait qu’elle oublie tout et ne pense qu’à lui, cela était exceptionnel, venant de Saeko, de ressentir ça encore après 2 ou 3 jours de côtoiement.
Saeko avait beaucoup de DVD, vue qu’elle était seule, elle passait souvent ses soirées à regarder des films et même des dessins animés parfois. Elle se demandait quel genre de films regardait Gabriel, si toute fois il lui arrivait de regarder des films. Elle apprendrait à mieux le connaître comme ça, enfin c’était ce qu’elle espérait. Elle déposa le plateau sur la table basse qui se trouvait entre le canapé et la télé. Puis elle se mit à réfléchir. Gabriel lui avait offert une superbe soirée la dernière fois, elle n’était visiblement pas très douée pour ça. Elle se retourna alors vers Gabriel pour lui demander son avis d’un ton enjoué :

Sauf si tu veux faire quelque chose en particulier !

La soirée sur le toit l’avait marqué. C’était tellement beau en même temps qu’elle ne voulait pas l’oublier. D’ailleurs en rentrant chez elle le lendemain, elle était monté sur son toit pour la première fois mais constatait que sans la nuit et sans Gabriel, cela n’avait pas du tout le même effet.

Invité

Tout semblait aller bien tout de même, certes il y avait un peu de gêne mais c'était tout à fait normale. Saeko soigna sa douleur en laissant sa main sous l,eau froide quelques temps.Après un moment elle l'enleva puis sortit le repas du four avant que Gabriel eu l'idée de le faire lui-même.En effet il avait perdu ses moyens mais il fallait dire qu'il ne les avaient pas souvent non plus! Wink

Elle s'exclama alors d,un air bravache qu'il trouvait franchement mignon qu'elle espérait qu'il n'était pas allergique au fromage ou autres chose qui semblait être sur la pizza.

Il prit un air tout a fait sérieux et la suivit. Il ne savait aps trop quel genre de film elle avait mais il la suivit un mince sourire aux lèvres. Une fois arrivé devant la * collection * de films que Saeko avait il en choisit un au hasard, sa avait l'air d'un film d'ction mais il n'était pas trop certains.

Ta proposition du film m'enchante, ont peut voir après cela si l'on est fatigué ou non, si on ne l' est pas ont peut toujours faire autre chose, comme sa, pas de pression ni de tracas.

Il plaça le film dans l'appareil mais ne partit pas le film immédiatement. il se retourna l'air tout à fait sérieux.

Hum... Saeko, en fait je... suis allergique au fromage, c'est mortel pour moi tu voit?

Il avait un de ses airs, très sérieux, le visage aussi, sauf qu'après quelques secondes... il dévisagea Saeko puis ses yeux se plissère, avec au moins 50 onces de moquerie dedans puis il ne pu de se retenir puis rit.

Mais non, ne t'inquiète pas je peut manger tout ce qu'il y a là. De plus, je te remerçit de m'offrier de la nouritture!

Il returna près d'elle puis l'attira vers lui en l'amenant vers la petite table puis la regarda d'un air coquin.

Bon appétit?

Oui, tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Elle était vraiment décider à profiter de cette soirée. Elle espérait que Gabriel n’allait pas trop s’ennuyé avec elle. Un film, c’était tout ce qu’il y avait de plus banal et encore plus pour la pizza alors … Elle commençait à s’inquiété pour autre chose ! C’est fou ça ! Elle ne peut pas se contenter de ce qu’elle a, il faut qu’elle s’inquiète ou voit ne serait-ce qu’une petite chose négative. Il faut en plus que se soit de sa faute ! Oh là là ! C’est pas possible ! Il faut vraiment qu’elle change cette partie d’elle ! Comment ? Elle n’en savait rien. Il fallait qu’elle essaye de positivé ! Elle en était incapable !! Bon, elle n’avait qu’à penser à autre chose, ou ne plus penser du tout tien ! Cela résoudrai tout les problèmes ! Mais, encore une fois, cela faisait partie des choses incapable à réaliser pour elle.

Une fois dans le salon, elle posa la pizza sur la table basse qui se trouvait donc entre le canapé et la télé. Gabriel la suivit sans broncher. Elle avait toute sorte de films, il lui arrivait même parfois de regarder des dessins animés. Elle aimait bien, et alors ?! (xD) certains étaient même plus élaborés que de vrais films. Tout genre de films si trouvaient sauf ceux à l’eau de rose bien sûr, ce n’était pas son truc, mais alors pas du tout. Elle espérait que cela ne manquerait pas à Gabriel. En même temps, vu comment il avait choisit le film, il aurait très bien pu tomber sur un film cochon qu’il ne l’aurait pas remarquer. Saeko sourit intérieurement, elle n’avait pas non plus ce genre de film, elle n’en avait pas spécialement besoin, la réalité lui suffisait amplement …

Ta proposition du film m'enchante, ont peut voir après cela si l'on est fatigué ou non, si on ne l' est pas ont peut toujours faire autre chose, comme sa, pas de pression ni de tracas.

Saeko fit un large sourire franc, il disait ça pour être poli ou il était vraiment content ? Elle s’évada un très court instant, quelques secondes ayant juste pour simple pensée :

*J‘ai de la chance …*

En un sens, c’était vrai. Côté sentimental et social, elle n’avait pas à se plaindre, tout était rose même si cela était dur à admettre. Elle se rendait compte petit à petit qu’elle avait de la chance d’avoir trouvé un travail dans ce lycée, d’avoir été se balader dans la foret, d’avoir rencontrer Gabriel, d’avoir acceptée de boire un café avec lui et surtout, d’apprendre à le connaître et à l’aimer. Tout allait bien aussi côté familiale juste avant ce soir, mais bon, tout allait bien dans ses relations avec ses parents alors, elle n’avait pas à se plaindre. Pourtant, il y avait ce petit quelque chose qui avait tendance à noircir le tableau en locurence ici, c’était la santé de sa mère. Mais bon, pour une fois, et sûrement grâce à Gabriel elle arrivait à positivée. Elle ne voulait pas qu’il la voit en train de pleurer ou de se plaindre, ça jamais ! Alors, elle essayait de se raisonner, et puis dans un sens, c’était vrai, elle ne savait pas ce qu’avait précisément sa mère. Alors, pas de quoi s’inquiété, juste une peu …
Gabriel mit le DVD dans le lecteur mais ne le mit pas en marche tout de suite, il se retourna vers Saeko, il semblait plus sérieux qu’à l’ordinaire. Cela fit un peu peur à Saeko sur le coup.

Hum... Saeko, en fait je... suis allergique au fromage, c'est mortel pour moi tu voit?

Saeko le regarda, interdite. Elle était prête à faire chauffer une autre pizza sans fromage, ou a en commander une s’il le fallait ! Elle ne voulait pas qu’il mange du fromage !!! Elle ne voulait pas qu’il meurt et surtout pas par sa faute !! Elle ne voulait pas d'un deuxième mort potentiel. Alors qu’ils se regardaient yeux dans les yeux très sérieusement et Saeko avec une pointe d’inquiétude, Gabriel céda enfin en riant :

Mais non, ne t'inquiète pas je peut manger tout ce qu'il y a là. De plus, je te remercie de m'offrir de la nourriture!

Saeko resta un instant sous le choc puis finit par sourire. En tendant son bras, elle donna une petite tape « gentiment » sur le bras de Gabriel, comme pour le punir.

C’est malin, j’y ai cru !

Elle ria, cela faisait du bien d’entendre le rire Gabriel et de voir son sourire, alors si en plus il la faisait rire elle, c’était que du bonheur. Elle avait marcher à sa blague, elle avait même courue pour ainsi dire. Et puis, pour la nourriture, elle trouvait ça normal, il n’avait pas besoin de la remerciée, c’était normal qu’elle le nourrisse nan ? Elle n’allait pas laisser son Gabriel mourir de faim quand même ! Il revint alors vers elle.

Bon appétit?

Saeko sourit de nouveau en lui faisant face.

J’ai l’impression que c’est moi que tu as l’intention de manger !

Elle ria de nouveau. Alors qu’elle allait proposé à Gabriel de s’asseoir, le téléphone sonna. Il fallait qu’elle le débranche, mais elle prendrait cet appel, avec un peu de chance, celui-ci apportait de bonnes nouvelles. Elle leva les yeux aux ciel.

Installes-toi, fais comme chez toi ! Je reviens dans quelques minutes. Excuse moi !

Elle se dirigea vers le téléphone -en se pressant un peu- qui se trouvait être accroché dans l’entrée de la cuisine puis décrocha. Elle reconnue la voix de son père. Un ou deux minutes plus tard, elle revint vers Gabriel et lui sauta littéralement dessus. Oui apparemment, c’était une bonne nouvelle qu’elle avait eu là. Elle était tellement contente et donc libérée d’un grand poids qu’elle voulait faire partager sa joie. En effet, son père lui annonça qu’on avait trouvé un donneur pour le cœur de sa mère. C’était une excellente nouvelle ! Pour l’opération, Saeko ne se faisait pas de soucis, du moins, pas encore. Elle profitait à fond de la bonne nouvelle, et puis l’opération était pour quelques jours, elle s’inquiéterai le jour même de l’opération telle qu’on la connais.

Invité

Sa avait bien commencé, bien sûr il flirtait avec elle, mais quoi? Il pouvait bien se le permettre, de toute façonm personne ici ne pouvait le voir ou l'entendre. Il pouvait tenter d'être vraiment lui-même. Sa povait faire différent, et il trouvait sa étrange dans un sens, mais un mal pour un bien. De voir Saeko tournoyer dans un sens et l'autre l'amusait, il pinça sa cuisse discrètement, celle avec la blessure afin de calmer une petite douleur qui commençait à le torumenter, il n'allait pas commencer à prendre du vicodin devant elle.... malgrès que... il aurait peut-être l'air d'un drogué.... quoi que souvent il c'était demander si en effet il n'en était pas un. Le sourire de Saeko lui fit un blanc un certains temps, il avait enfin arrêter de penser au vicodin, ou à quoi que ce soit d'autre.
Il fallait qu'il apprennet à apprécier le moment présent ( ce qu'il savait déjà ) et le garder en tête ( ce qu'il oubliait souvent en effet ).

Lorsqu'il vit la réaction à sa petite blague ( qui finalement n'était vraiment pas bonne ) , il s'aperçu de la figure interdite de Saeko, aussitôt il s'en mordit l'intérieur de la joue, il avait poussé un peu fort. Lorsqu'il reçut la petite tape il ne protesta pas, il l'avait bien mérité! Il prit un air normal et dit d'une petite voix : Désolé madame, plus jamais madame!

J’ai l’impression que c’est moi que tu as l’intention de manger !

Peut-être bien!

Elle s'excusa, le téléphone semblait avoir sonné. Il venait de reçevoir l'invitation de faire comme chez lui lorsqu'elle fila dans une autre salle., Il ne la voyait plus. Il se coucha sur le fauteil afain de s'étirer puis fit mine de se rasseoir convenablement lorsqu'il venait de replacer son pantalon il reçut une Saeko dans ses bras qui lui avait littéralement sauté dessus, elle était tout sourire, un certaine lueur semblait briller dans ses yeux.

Que, sa va? Qu'est-ce qui se passe qui te rend si joyeuse? Disont que je ne suis pas celui qui va s'en plaindre!

Bien sûr qu’il pouvait se permettre de flirter avec Saeko. Certes, leur relation n’était pas tellement officielle mais, cela était amplement suffisant pour l’instant. Et puis même, ils étaient bien à vivre comme ça, que pouvaient-ils changés ? En tout cas, Saeko trouvait que sa relation avec Gabriel était très bien comme ça. Elle était sérieuse sans trop l’être. Elle était difficile a définir en fait. Saeko pouvait passer des heures à plancher dessus mais bon, ce n’était certainement pas le bon moment et elle le savait très bien. Il n’y avait rien de bien compliqué a comprendre de toute façon, elle l’aimait, point barre. Maintenant, c’est vrai que le lycée faisait partit des obstacles mais, pour l’ instant, cela n’avait pas posé tant de problèmes. Sauf la fois où elle lui était tombée dessus dans le jardin sans faire exprès. Cela la faisait rire lorsqu’elle y repensait. Un jeune homme se présenta peu après les surprenants mais Saeko trouvait qu’ils s’en étaient bien sortis dans l’ensemble. Gabriel et Saeko semblaient doués pour faire illusions. Pour Saeko en tout cas c’était une certitude c’était un caméléon, elle ne montrait que ce qu’elle voulait qu’on voit. Si par malheur elle était découverte, c’est qu’elle n’allait vraiment pas bien ou qu'elle n'avait plus la force de se cacher. Un jour, lointain certainement -ou peut-être pas tant que ça- elle ne cacherai plus ce qu’elle ressent à Gabriel, au sujet de tout. De toute façon, montrer ses sentiments était montrer que l’on était faible. C’était pour ça qu’elle avait eu un peu de mal à lui avouer qu’elle l’aimait. C’était un fait rare chez Saeko de l’entendre dire de telle choses.
Gabriel s’excusa de la blague qu’il lui avait faite, Saeko l’avait tapé avec un sourire, elle avait trouvé ça drôle, mais avec un temps de réflexion. Oui, le temps qu’il lui annonce que cela avait été une blague. Revenons à nos mouton !

Le téléphone sonna et Saeko laissa avec regret Gabriel qui l’avait menacer de la manger peu avant (Ho le méchant ! ). Saeko réalisa bien vite les effets que les paroles de son père eurent sur elle. En effet, en revenant, alors que Gabriel s’était installé sur un fauteuil comme elle le lui avait suggéré en l’invitant à faire comme chez lui, elle lui sauta dessus. Heureusement, il n’y eu pas de casse, quoique, elle s’en fichait un peu. Cela l’aurait plus fait rire qu’autre chose. Elle était contente, heureuse, elle ne pouvait pas définir la sensation de bien être qui l’envahissait alors. C’était un peu pour ça qu’elle avait sauté sur Gabriel, c’était tout aussi incompréhensible que sa situation. Mais en même temps, lorsqu’elle allait bien, elle voulait que Gabriel le voit, elle n’avait trouvé que ça, c’était triste certes, mais Saeko était quelqu’un de spontané. Elle ne réfléchit qu’un peu plus tard au sujet de son attitude. Gabriel lui demanda alors :

Que, sa va? Qu'est-ce qui se passe qui te rend si joyeuse? Disont que je ne suis pas celui qui va s'en plaindre!

Saeko le serra un peu entre ses bras puis le lâcha et s’assit à ses côtés en tailleur. Elle resta calme durant une fraction de secondes puis explosa de rire. Cette fraction de seconde était le temps que l’information monte à son petit cerveau tout vide, qu’elle se rende compte de se qu’elle venait de faire. Et oui, Saeko était spontanée, au grand malheur de Gabriel qui se faisait écrasé. Elle agissait souvent sous le coup des émotions. C’était comme pour la tape de tout à leur après la blague de Gabriel, c’était sous le coup de l’émotion, elle lui en voulait un peu mais cela l’avait tout de même fait rire.

Désolé !

Elle se trouvait ridicule d’avoir fait ça et de rire maintenant. Elle était seule a comprendre et passait pour une folle, comme d’habitude en fait. Elle se calma un peu. Elle aurai compris que Gabriel soit partit en courant. D’ailleurs, elle ne lui en aurai pas voulu. Elle se faisait peur à elle-même parfois alors, elle pouvait lui pardonner. Elle tourna son visage vers Gabriel puis finit par lui sourire et lui répondre avec beaucoup d’enthousiasme :

Oui, tout va bien !

Elle embrassa alors Gabriel (Non le Pape -_-‘) sur la joue en tenant son visage dans une de ses mains. Elle se recula, le lâcha et lui sourit de nouveau. Elle n’avait répondu que partiellement à ses questions :

C’est parce que j’ai eu des nouvelles de mes parents.

Elle sourit. Elle aimait ses parents et ne pouvait pas et ne voulait pas le cacher à Gabriel. Surtout que maintenant la santé de sa mère était devenue plus faible, cela prenait plus de place dans sa vie. C’est sûr quelle les appellerait plus qu’auparavant. Elle leva ses fesses et tendit son bras jusqu’à pouvoir attrapé les télécommandes, elle se rassit normalement puis les confia à Gabriel :

Cadeaux !

Sûr, ils auraient été mieux dans un cinéma mais bon, Saeko n'y avait pas pensé avant. Elle était vraiment ridicule, la joie n’était pas bonne pour elle apparemment. Mais en même temps, comment empêcher quelqu’un d’être heureux ?

Invité

La soirée commençait mieux qu'il l'aurait cru, cette jeune femme était tout un numéro,
ce qui bien sûr lui plaisait plus qu'autrement jusqu'ici! La voire sourire, chez elle
, elle semblait comme un poisson dans l'eau, dans son élément. Il jalousait peut-être
même un peu ce côté chez elle. Mais il se dit bien assez rapidement que si il voulait
être plus comme lui-même il devait s'y mettre. Sa ne se ferait pas en criant ciseau. Avec
elle et le temps, probablement qu'il y arriverait! Avec l'espoir ont pouvait tout faire...
du moins il espérait que cette chose était vrai. Pour l'instant ce qui devait se faire
était avoir du bon temps! Le baiser lui fit un bien immense.

Minutes après minutes le temps passait une fois qu'il mit le film,
s'en occuppait il vraiment? Oui, mais de temps en temps il jetait un
coup d'oeil discret vers Saeko, sans oser vraiment bouger. Il sortiat
maintenant avec elle, certes, mais en même temps il ne savait pas toujours
comment agir, il pouvait être très discret comme tout à fait passionnée la
minute d'après.

En parlant d'impulsion vers la fin du film il se rapprocha d'elle puis lui
prit la main pour y faire une pression peut-être un peu forte. Pourquoi? Il
ne savait pas trop, il en avait simplement besoin. Le repas avait été bon,
mais son cerveau allait à cent mille à l'heure. Tout c'est émotions qu'il
cherchait à refouler, à montrer il ne savait plus trop comment lui montrer
qu'il l'aimait, il devait se donner le droit d'aimer, il l'avait bien fait
au Cap Enragé comme il l'appelait, il pouvait bien le refaire ici. Il blottit
son front dns le creux de l'épaule de Saeko quand le film finit puis soupira doucement.

Saeko était installé dans le fauteuil à côté de Gabriel, il mit le film en marche et il le regardèrent. Saeko sentait que parfois, Gabriel posait les yeux sur elle, cela la faisait sourire inlassablement. Elle essayait de se concentrer sur le film mais n’y arrivait pas spécialement. Ça, c’était à cause de Gabriel ! Cela lui faisait prendre conscience que lorsqu’elle était avec lui, elle ne voyait vraiment que lui et se fichait du reste. C’était … Effrayant. Elle qui s’intéressait à tout, était curieuse de tout savoir ne s’intéressait qu’à une seule chose à présent : un certain homme, en stage dans un lycée pour devenir professeur de musique, un peu cynique et dont Saeko est tombée amoureuse. Si quelqu’un l’avait prévenu dans sa jeunesse qu’elle tomberai sous le charme de cet homme, elle ne l‘aurai pas cru une seconde. Mais, c’était bel et bien le cas. Et vous savez le pire ? Elle s’y était fortement attachée à ce p’tit vieux ! Elle qui blâmait l’Amour, l’attachement à une personne, les couples en général, était finalement tombée du côté obscure. Obscure ? Non, justement, c’était un monde merveilleux duquel elle avait perdue la route depuis longtemps.

Gabriel se rapprocha d’elle vers la fin du film et lui prit la main. Saeko se laissa faire. Il la pressa, Saeko était contente, cela lui prouvait qu’il était là. Elle n’en revenait toujours pas, ils s’étaient avoués leur sentiments, cela se voyait-il ? Elle se souvint alors de se moment, zappant complètement le film. Cela avait été une soirée magnifique, inoubliable. D’ailleurs, elle avait dessiné à ce sujet. Elle avait dessiné Gabriel, regardant le ciel, en train de lui chanter une chanson, sur le rebord du toit. C’était l’un de ses plus beaux souvenirs et elle voulait absolument l’encré, pour ça, elle le dessina, tout simplement ! D’ailleurs, elle était plutôt satisfaite du résultat.

La fin du film arriva bien vite. Elle était totalement dans son monde lorsque Gabriel posa son front sur l’épaule de Saeko et souffla. Saeko sourit en le regardant. Apparemment, il avait hâte que le film se finisse. Saeko caressa sa joue doucement. Comment pouvait-il continuer a l’aimer après cette soirée minable ? Saeko avait de gros progrès à faire, il fallait tout réapprendre, avec Gabriel elle aurai le temps.

Tu es fatigué ? Tu veux faire quelque chose en particulier ? Tu veux que je te sert quelque chose ?

Trop de questions tuent les questions. Et c’est encore Gabriel qui en faisait les frais. Elle voulait juste être présente pour lui, lui montrer qu’elle était là. Une chaleur se dégageait du corps de Gabriel, comme la première fois qu’ils s’étaient rencontrés et cela continuait de donner des frissons bizarres à Saeko, c’était rassurant. Son cœur battait toujours aussi vite lorsqu’elle le voyait, que leurs regards se croisaient, qu’ils se souriaient. Elle avait complètement oublier de lui faire visiter son Loft, d’apporter à boire. Elle s’en voulait de ne pas avoir été à la hauteur de ce que Gabriel lui avait préparé la soirée passée. Elle était vraiment tête en l’air, aujourd’hui plus que d’habitude. Elle mis cela sur le compte de ses inquiétudes familiale par rapport à la santé fébrile de sa mère. Mais maintenant que cela était passé, tout lui revint en tête d’un coup. Elle jeta un coup d’œil par la fenêtre, il faisait nuit et les étoile et la lune brillaient.

» Partir de chez soi, pour rentrer chez nous.[Libre]
» Le silence, pourquoi faire ?[ PV Gabriel Lin ]