Nuit avec la fille du lac [Elincia] - [Hentaï]

Invité

La nuit avait progressé. Et plus le temps défilait, plus les gens désertaient les rues, et d'autres venant prendre leur place. C'est qu'Eikichi avait noté en remontant la ville, accompagné d'Elincia, sa "nouvelle partenaire de jeu" qu'il avait rencontré au lac, quelques instants auparavant. Après une discution assez axée sur des sujets peu catholiques, les deux jeunes gens avaient décidé d'un commun accord de partir vers un hôtel, en ville, en passant par la rue commerçante, là où se trouvaient night shop où acheter de l'alcool librement et sex shop où acheter des accessoires intéressants pour lui et Elincia.

Durant le chemin, ils avaient retenu plusieurs magasins et boites. Dont un qui se nommait "Enjoy" et qui vendait alcool, nourriture et accessoires coquins, un vrai temple du plaisir si on peut dire. Ils n'y avaient fait qu'un bref passage, histoire d'emmener avec eux diverses bouteilles d'alcool, préservatifs, lubrifiant... enfin tout le barda, et même des menottes, au cas où l'un d'entre eux voulait s'enfuir en
pleine nuit ^^. Une fois leurs emplettes faites, ils se mirent finalement en route vers l'hôtel le plus proche. Enfin, plutôt l'hôtel où Eikichi réservait une chambre de temps à autre, quand il faisait le
mur au Lycée et qu'il ne parvenait pas à retourner dans les dortoirs. La secrétaire de l'hôtel le connaissait, à force, et ne tarissait pas d'éloges sur son autonomie et sur le nombre de femmes qu'il amenait semaines en semaines dans sa chambre.

Ils bifurquèrent au coin de la rue commerçante et tombèrent directement sur l'hôtel, on ne pouvait pas le manquer. Bon d'accord, ce n'était pas un Hilton ou le Ritz mais c'était convenable par rapport au budget détente de l'étudiant. Hôtel 3 étoiles et demi, correct et discret. En effet, ce lieu était habitué au débarquement de nombreux époux et chefs d'affaires qui s'amenaient avec leur(s) maitresse(s). Les chambres quant à elles étaient de tout confort, certaines contenant un mini bar. Mais ça, c'était pour les suites les plus onéreuses, ce qui en général n'entraient pas dans le budget du jeune homme.

Une fois qu'ils eurent franchi l'entrée, la secrétaire releva son nez de son livre et salua d'un signe de tête Eikichi et sa "compagne". Sur ce, il se dirigea vers le comptoir de l'accueil et salua à son tour la femme qui lui tendit les clés de sa chambre. On pouvait clairement y distinguer une étiquette avec "Eikichi" écrit dessus. Le jeune homme la saisit, fit un clin d'oeil à la femme en guise de remercient et prit Elincia par le bras pour se diriger vers l'ascenseur. Il appuya sur le bouton 4 et ils montèrent, montèrent... Pendant ce temps, Eikichi ne pouvait pas se retenir de regarder Elincia sous tous les angles, comme s'il examinait de la marchandise. Cependant, il n'y toucha pas et préféra attendre d'être arrivé à la chambre. L'ascenseur s'arrêta doucement et les portes s'ouvrirent, laissant place à un long couloir où plusieurs portes étaient disséminées. Eikichi et Elincia s'engouffrèrent à l'intérieur, cherchant le numéro de la chambre du garçon, la chambre n°87. Ils y entrèrent, Eikichi ferma la porte derrière lui, a clef et lança son sac sur le sofa qui était installé. La chambre ressemblait plus à une suite qu'à une chambre modeste, elle contenait un mini bar, des sanitaires, un lit deux personnes, un petit salon. Du "grand luxe", quoi.

Une fois qu'il eut bazardé tout ce qui était inutile à ses yeux, il parla à Elincia.

"Alors... ce n'est pas vraiment le grand luxe... mais tu vois, c'est ce que j'ai réussi à me payer; classe quand même hein !? Soit, tu veux boire quelque chose où on passe directement dans le vif du sujet..." dit-il.

Invité

Après leur conversation au lac, les deux jeunes gens s'étaient dirigés vers les lumières éblouissantes au loin : la ville.
Ils étaient passés par nombre de ruelles. Un sex-shop où elle avait acheté nombre de costumes.
Elincia se contentait simplement de suivre son partenaire, chaque tournant. Le jean lui tombait, elle décida de l'enlever en pleine rue. Puisque le pull était trop grand, il lui faisait une petite robe.
Elle ne conaissait pas l'hotel de destination. Elle conaissait tout les hôtels les plus luxueux où elle avait été emmenés par de riches hommes.
Elle avait pu se délecter de leur activités. Et avait pu soutirer de ces hommes plus qu'une nuit dans le luxe...Leur fortune tout entière.
Arrivé à leur lieu de plaisir. L'hotelier donna les clés et les salua. Elle lui rappelait étrangement quelqu'un mais elle ignora cette pensée qu'elle chassa d'un mouvement de tête. Ils étaient tout deux dans l'acsenseur.
Elle ne voulais pas croiser son regard. Elle ne voulait pas être de la viande.
Collé à l'acier froid, légèrement courbé. Le regard levé, son pull over un peu plus relevé aux niveau des cuisses.
La chambre était confortable mais sans plus.
Du moment que le lit était douillet. Elle passa son regard sur la suite.

"Alors... ce n'est pas vraiment le grand luxe... mais tu vois, c'est ce que j'ai réussi à me payer; classe quand même hein !? Soit, tu veux boire quelque chose où on passe directement dans le vif du sujet..." dit-il.

Elle ria...

"Que tu es direct, voyons. Un peu de respect, si je suis venue avec toi. C'est que je savais que si nous avions parlé, la fin aurait été la même.
Sinon j'aimerai bien prendre beaucoup d'alcool..ça va m'aider"

Elle alla se servir et but une petite bouteille de martini. Elle se prit une autre bouteille de crème de cassis. Puis elle trifouila dans son sac d'achat puis en sortit son visage d'ange.

"Alors tu as beaucoup de choix, pour les costumes.."

Un sourire amusé se dessina sur ses lèvres parfaites.

"Alors, qu'avons nous là. L'infirmière, l'institutrice, la mènagère, le chaton marin, l'écolière, la prostituée espagnole de 1920, je l'adore celle-là elle me ressemble..sinon il y a la geïsha très douce et faible. Tu as du choix. Alors"

Son long regard l'interrogeait.

Invité

HJ : la prostituée espagnole de 1920 x'D Trop délirant !

Cette fille était étonnante, tant bien dans l'inventivité que dans l'imagination. Il s'en rendit compte lorsqu'elle eut fini d'énumérer la liste des costumes qu'elle avait acheté dans deux/trois boutiques en ville. Eikichi ne le savait pas, elle avait voulu garder la surprise. Et quelle surprise ! Une vraie panoplie de costumes plus alléchants les uns que les autres, dont certains préférés d'Eikichi. Car oui, il avait un faible pour certains costumes. Comme par exemple celui de l'écolière, l'institutrice ou encore l'infirmière. Oui, du classique et encore du classique mais c'était les pêchers mignon du jeune homme.

Il fit mine de réfléchir, posant sa main droite sur son menton et mimant le mouvement d'un professeur chipotant dans son bouc. Les costumes étaient un vrai fantasme pour lui, depuis toujours. Mais pourtant, il n'avait jamais vraiment essayé. Et, pour l'instant du moins, il désirait Elincia dans n'importe quelle de ces tenues. Peu importe l'emballage, le plus important est le cadeau à l'intérieur, comme on dit. Après deux petites minutes de réflexion, il prit sa décision.

"Et bien, c'est super intéressant tout ce que tu as acheté là... J'ai un petit faible pour l'infirmière et l'écolière... Cependant, je te laisse le choix. Que voudrais-tu ?" dit-il

Invité

HJ : Arrete, c'est mon préféré. =}

Elle attendit sa réponse patiemment en l'observant sous toute les coutures.

"Et bien, c'est super intéressant tout ce que tu as acheté là... J'ai un petit faible pour l'infirmière et l'écolière... Cependant, je te laisse le choix. Que voudrais-tu ?"

Elle ne s'attendait pas qu'elle ait à faire le choix. Elle battit de ses longs cils et réflechit.

"Tu as choisi les plus classiques. Tu aimes la chaire tendre. Bon, je dirai l'infirmière, elle me va mieux."

Elle passa dans la salle de bain. Il y avait là tout un kit de maquillage. Elle enfila son costume "hard".
Elle ressortit, sa blouse blanche ultra courte laissant voir les porte jartelles roge. Le décolleté trop plongeant où l'on pouvait apercevoir le soutien gorge en dentelle et accordait aux porte jartelles aussi. La blouse était hyper transparente et moulante ce qui la rendait plus attrayante.
Une sucette entre ses lèvres devenut rouge de sucre. Sa bouche était rmplie de sucre. Autour de son cou blanc était accroché un stétoscope, le bout qui plongeait fatalement dans le décolleté. Elle retira sa sucette et lui dit d'un ton langoureux et attrayant.

"Patient, veuillez vous allonger sur le lit"

Invité

Elincia venait de lire dans les pensées d'Eikichi, il souhaitait vraiment jouer le patient gravement malade. C'est vrai, quoi, il qui devait toujours revêtir le costume du gynécologue, auparavant... Enfin, hum hum, passons ce détail.

Lorsqu'il la vit ressortir de la salle de bain, en tenue d'infirmière à peine transparente, le porte jarretelle bien en vue et accordé avec le soutien-gorge également bien en vue. Le détail qui venait tout tuer dans la situation et qui fit "craquer" Eikichi était le ton avec lequel elle venait de lui demander de se coucher sur le lit. Si elle continuait à parler comme ça, elle pourrait limite lui demander n'importe quoi... Veinarde. C'est alors que, sans discuter, il se coucha sur le lit, attendant son infirmière dévouée. Il décrit tout d'abord les symptômes : une douleur incessante a la gorge et au bas-ventre, peu commun comme douleur, mais c'est tout ce qu'il avait dans la tête pour l'instant...

Invité

[HJ : le gynécologue, ça m'a fait bien rire]

Alors qu'elle détaillait son patient. Elle sortit le strétoscope de son soutien gorge. Avant à des pas de félin, s s'assit à califourchon sur son patient. Une jambe de chaque côté. Il lui parla d'un mal de gorge puis un mal (dont on lui parlait toujours lorsqu'elle mettait ce costume).
Elle tâta le torse du jeune patient à l'aie du strétoscope en se baissant volontairement dévoilant une belle partie de son corps à l'intérieur de la blouse.

"Respirait bien fort, je vous prie."

Dit-elle de sa voix provoquatrice. Elle reprit sa sucette enroulant et déroulant sa langue de la boule de sucre.
Elle rangea l'instrument à nouveau. Et passa à la douleur à la gorge.
Ses lèvres se posèrent sur le cou d'Eikishi. Une lègère odeur de miel se dégagea de l'endroit où le baiser avait été déposé.
Puis sa langue parcourant le petit trajet du cou à la bouche.
Ses lèvres veloutées prirent feu au contact de ceux du jeune homme. Le sucre lui montait à la tête.
En même temps que la langue s'enroulait et se déroulait. Dansant, claquant avec celle d'Eikishi.
Se détachant lentement, laissant place à un manque incensé d'un doux contact.

"Voyons voir, votre douleur..au bas du ventre vous dites."

Elincia laissa ses doigts blancs se balladait le long du corp pour arriver à la destination finale. Ses doigts restèrent un instant à tater, à caresser et à effleurer jusqu'a qu'elle s'interrompit à cette exploration et descendit tout son corp lentement mais sûrement. La blouse, le corps de la jeune femme effleurait celui du patient. C'etait une douce et fragile caresse celle du corps d'Elincia sur celui d'un homme.
Elle déboutonna le jean aec les dents et le lassa glisser avec une intensité qui frôlait celle de la folie. Puis se redressant légèrement, un regard envoutant.

"Veuillez retirez votre vêtement que je puisse examiner..."

Elle laissa en suspens le dernier mot avec un désir grandissant de ressentir la bête. Sous sa blouse, les formes qui se mouvait telle un serpent.

Invité

Eikichi se laissa maintenant faire. Se retenant presque de lui sauter
dessus. Autant jouer le rôle jusqu'au bout, et ne pas les inverser.
C'était à elle de l'examiner, et non le contraire. Ce qu'elle faisait
avec un talent fou, à croire qu'elle en avait, de l'expérience... Le
jeune homme, quant-à-lui, se laissait faire. Tout son corps était
relâché, et il ne cherchait pas à riposter. Non, il n'aimait pas
forcément être le "dominé". Mais c'est vrai qu'être sous les mains
"expertes" d'une fille déguisée en infirmière était quelque chose
d'excitant, et donc d'envoûtant, presque pétrifiant.

Lorsqu'elle plongea sa langue dans la bouche d'Eikichi, il ne put
s'empêcher d'apprécier le gout de la sucette que "l'infirmière"
s'amusait à consommer depuis son entrée en scène. Il adorait le sucre,
depuis tout petit, c'était quelque chose qui le rendait dingue. Et
d'assez aphrodisiaque pour lui... La réaction ne prit pas longtemps de
faire le voyage de la bouche au cerveau et du cerveau jusqu'au reste de
son corps. Ca l'emplissait d'une certaine forme de chaleur, quelque
chose qu'il appréciait et qu'il semblait avoir oublié, pourtant.
Ensuite, Elincia s'occupa de la "douleur au bas-ventre" qui faisait
tant souffrir Eikichi, et s'appliqua à faire une examination
"classique" de cette zone. Mais apparemment, il fallait absolument
qu'elle aille voir de plus près. Elle descendit alors tout le long du corps de son patient, déboutonna assez "sauvagement" le jean d'Eikichi et demanda à ce dernier, tout en le regardant dans les yeux, de l'enlever.

Il ne se fit donc pas prier. Même si en général il n'était pas du genre rapide, même dans le feu de l'action, son jean ainsi que son boxer furent retiré en un quart de seconde, presque. Il se retrouvait donc pour ainsi dire nu, devant son infirmière privée qui lui faisait un effet fou. Et ça commençait à se voir, dans le sens propre du terme. La bosse qui auparavant déformait son jean et son sous-vêtement, se symbolisait en... quelque chose d'autre de... comment dire, bien plus intéressant ?

"Ah ben voilà...Vous voyez, ça fait encore plus mal lorsque je ne suis pas habillé... Je sais vraiment pas ce qu'il se passe, vous avez une idée ?" dit-il en feignant la douleur et en regardant Elincia droit dans les yeux.

Invité

Lorsque Eikishi enleva son boxer, sa seule pensée fut "Elle est...grande et tendu...c'est...".
Elle restait ainsi à regarder la "bête" pendant un certain temps qui aurait paru une éternité au jeune homme.
Elle se reprit, chassant cette pensée désireuse en toussotant.

"Ah ben voilà...Vous voyez, ça fait encore plus mal lorsque je ne suis pas habillé... Je sais vraiment pas ce qu'il se passe, vous avez une idée ?"

Elle aurait éclaté de rire si son désir charnel n'était pas en ébullition. Elle soupira.

"Je vois, ms patients sont en manque d'amour apparemment. Je vous proscrit..."

Elle se mordit la langue, et commenca à déboutonner très lentement sa blouse.

"Bon, le patient est prier d'utiliser son remède...sans modération"

Elincia lança la blouse derrière elle.
Elle s'allongea sur le lit, ses cheveux long s'éparpillant sur la totalité du matelas. Les yeux pétillants, la peau douce et brillante.
Une main sur sa poitrine une autre dans les cheveux.

Invité

Eikichi était toujours là, en bon malade qui se respecte, en train feindre la douleur. Il attendait quelque chose d'Elincia, une parole, un geste. Enfin, quelque chose qui lui indiquerait qu'elle avait trouvé un remède à son "mal" qui le faisait tellement "souffrir". Et voilà, le moment était venu, elle avait identifié son mal - un manque d'amour apparemment - et venait de lui prescrire un médicament. Le genre de médicament se prenant le soir (quoique... enfin, en règle générale) et possédant une posologie très très longue... Surtout, il ne faut pas hésiter à reprendre de ce doux médicament dès que c'est possible, dès que les symptômes reviennent.

Elle déboutonna alors sa blouse blanche à peine transparente et la lança derrière elle, au sol. Ensuite, elle se coucha sur le lit, laissant ses cheveux s'éparpiller à tout va sur les draps, sur toute la largeur du lit, presque. Elle semblait attendre Eikichi, ce dernier - une fois de plus - ne se fit pas prier et se rapprocha de la jeune fille. Il rapprocha son visage de celui d'Elincia, leurs lèvres allaient bientôt se toucher. Il se rapprocha encore plus d'elle et embrassa assez passionnément sa "partenaire", insérant sa langue pour qu'elle puisse jouer avec celle d'Elincia. Ensuite, il se retira, regarda son infirmière dans les yeux avant de descendre vers la poitrine de la fille, prenant soin d'y déposer quelques baisers en chemin... Puis, il la regarda à nouveau dans les yeux.

"Il n'y avait pas de notice... Mais je m'en sors bien avec ce médicament ?..." dit-il, l'oeil plutôt coquin.

Invité

Elle attendait, le regard vide vers le plafond blanc.
Il se mit sur elle et commenca à l'embrasser ..un peut partout.
Elle se laissa faire, elle était le médicament après tout.

"Il n'y avait pas de notice... Mais je m'en sors bien avec ce médicament ?..."

Elle répliqua mi-provoquatrice.

"Oh, mais il n'y a pas besoin de notice. Il peut être utilisé comme bon semble son propriétaire"

Elle était en dessous, donc ne pouvait faire aucune geste.
Elle avait laissé des menottes en dessous d'elle.
Les prenant rapidement, elle attacha Eikishi au barreau du lit.

"Pris au piège"

Elle lui tira la langue dans un sourire sadique.
Qu'allait-elle faire de lui?
Enlevant ses portes-jartelles, elle parcourra tout ce corps la langue embrassant chaque infime partie de peau.
Puis arrivé à la bête.
Elle prit du miel qu'elle avait déposé sur la table de chevet et le versa sur la partie intime du jeune homme.
Entreprenant de la lêcher comme une sucette, elle se délecta du miel et d'un liquide blanc.
Un gémissement de plaisir sortit de sa gorge.
Puis après, l'avoir sucer jusqu'à épuisement de sucre.
Elle se prépara à enlever le soutien-gorge puis retira les menottes...

Invité

Il aurait pu tout prévoir, sauf les menottes. Il ne s'attendait pas à se faire attacher aux barreaux du lit, lui qui pensait que ce serait lui qui devrait attacher Elincia au lit. Cependant, et malgré toutes ses convictions, il se laissa faire et apprécia chaque contact entre lui et la fille. C'est alors qu'elle se dirigea vers les parties intimes du jeune homme, examinant comment s'en servir, elle prit ensuite du miel qu'elle versa allègrement sur "la bête". Puis, se régalant de ce délice, elle gémit de plaisir alors qu'Eikichi, lui, soupirait de plaisir. Le fait d'être sous contrôle, alors qu'une fille le suçait comme il n'avait jamais été sucé, l'excitait beaucoup. Il attendait avec impatience qu'elle le détache, pour qu'il puisse assouvir une sorte de "vengeance" en s'occupant d'elle.

Lorsqu'elle eut fini de consommer le jeune homme, elle le détacha en ayant préalablement retiré ses jarretelles et son soutien-gorge, dévoilant une poitrine des plus généreuses. Eikichi, une fois totalement détaché, se jeta sur elle, l'allongeant sur le lit et plongea sa tête dans sa poitrine, alors que ses mains s'occupaient soit de ses tétons, soit de son intimité. Il plongea ses doigts entre ses lèvre, dans un mouvement de va et vient qui se fit de plus en plus vite. La jeune femme semblait aimer cela, à entendre ses gémissements de plaisir et le liquide qui commençait lentement à s'écouler là où s'enfonçaient les doigts d'Eikichi. Il continua sur sa lancée, commençant à mordiller les tétons d'Elincia. Puis, il descendit plus bas, encore plus bas, jusqu'à arriver à l'endroit où ses doigts étaient encore en action. Il les retira et entreprit un "travail de nettoyage" à l'aide de sa langue, commençant à l'enfoncer comme l'avaient fait ses doigts auparavant, il se délecta du goût sucré de ce liquide...

"Tu aimes ?..." dit-il, relevant un peu la tête en regardant Elincia droit dans les yeux. Ensuite, il se remit au travail.

Invité

Tandis qu'il accomplissait ses gestes, les uns après les autre.
Sans laisser de répit à Elincia. Qui, bien que, très endurante et silencieuse dans des moments comme ceux-ci.
Dans ces situations.
Poussait des cris gutural se tirant dans les graves.
Il semblait qu'il ne se fatiguerait jamais et se rassasierait d'elle comme un ogre.
Le regard mi-clos et brillant tourné vers le plafond blanc.
Le lit grincait légèrement lorsqu'elle se convulsait de plaisir.
La langue du jeune homme explorant sa partie intime avec tant de délicatesse qu'elle en riait.

"Tu aimes ?..."

"Si j'aim..."

Elle ne put finir sa phrase qu'en poussant un hurlement, ne s'y attendant pas.
Il recommencait inlassablement ce travail.
Elle releva la partie inférieuse du corps. Et empoigna le visage du jeune homme.
Elle plongea sa langue. Oui, tout deux avait pu goûter à leur sexe.
Il ne faisait que donner le compte rendu. De leur corps...
Ils étaient assis tout les deux sur ce lit mou. A s'enlacer, à claquer leur langue.
Elle retira les main du visage d'Eikishi et entreprit de lui enlver son tee-shirt (c'est bien ça?).
Ils étaient égal, tout les deux nus.
Qui allait sauter en premier?

Invité

Il se retrouva donc totalement nu, un léger gout assez agréable dans la bouche devant une Elincia maintenant assez excitée, également nue. Maintenant, cela ce jouait comme dans les western : chacun des adversaire attendait le mouvement de l'autre, prêt à dégainer son revolver... Sauf qu'ici, c'était à celui qui allait se lancer le premier sur l'autre. Eikichi, dans un esprit joueur et surtout emmerdant, décida de ne rien faire. Il mordit donc sur sa chique et ne réagit pas/plus à la vue du corps nu de la jeune fille. Il attendait sa réaction, voir comment elle allait agir pour "la suite des opérations".

C'est alors que le téléphone portable de Eikichi sonna. On entendait très clairement les premières notes du riff de guitare électrique de la chanson "Are You Gonna Go My Way". Chanson de Lenny Kravitz au riff très connu et engagé. Eikichi ne savait pas quoi faire par rapport à ce genre de situation. Il attendait donc la moindre réaction d'Elincia pour réagir...

Invité

Lorsqu'ils se retrouvèrent tout les deux nus.
Eikishi s'assit attendant que Elincia fasse un mouvement.
Quand une sonnerie retentit.
Le portable d'Eikishi...
Il ne bougeait pas. Elle se préparait à ce qu'il se lève pour répondre mais il ne fit rien.
A l'écoute du son de la musique, la température descendit.
Descendit jusqu'a à un froid mortel. Qui se ressentait...
Elle mit le visage au creu de sa main.
Elle cligna des yeux, prit sa robe et l'enfila.
Sans gestes inutiles, elle prit les sacs. Jeta les costumes dans la poubelle.

"Je te remercie de cette soirée"

Ces mots avaient été prononcés dans un regard silencieux, sans voix.
Dans un dernier souffle, elle claqua la porte derrière elle.

Invité

Comment foutre en l'air une soirée parfaitement commencée ? En laissant son téléphone allumé, et surtout s'il sonne en "pleine action". Eikichi avait fait cette erreur, et comme par hasard, un idiot s'était décidé à l'appeler. Elincia le prit mal et s'en alla, jetant les costumes à la poubelle et claquant la porte de la chambre. Ni une ni deux, Eikichi se rhabilla et courut à la suite de la jeune fille.

Heureusement pour lui, elle n'était pas partie loin. Elle venait juste d'appeler l'ascenseur lorsque le jeune homme arriva à ses côtés. Il lui prit la main, la retourna et la regarda en face. Son coeur battait à toute allure, il devait parler à Elincia. Il le devait ! Il avait l'obligation de s'excuser de cet incident fâcheux, et il devait, en tant qu'homme, la mettre en garde sur le quartier.

"... Elincia. Je suis désolé pour le portable, je n'avais pas prévu qu'il sonne et je l'avais totalement oublié... Ecoute, je peux pas t'obliger à faire quoi que ce soit mais... Enfin, je voudrais que tu reviennes avec moi dans la chambre, qu'on puisse oublier ça... Il ne se passera des choses que si tu en as envie, et pas autrement. Je ne peux vraiment pas admettre le fait que tu sortes dehors en pleine nuit et que tu risques de te faire agresser, ou pire encore. Et tout ça par ma faute. Reviens, juste pour cette nuit, nous aviserons..." dit-il, en une seule expiration.

Dès cet instant, il sembla qu'il en avait gros sur le coeur. Il semblait aussi qu'il rensentait des choses pour Elincia. En tout cas, il tenait à elle, il tenait à leur rencontre aussi. Et pas parce qu'ils jouaient à des jeux d'adultes ou parce qu'Eilincia était divinement belle ! Il y avait quelque chose de spécial entre eux, comme quelque chose qui se produisait dans Eikichi... Enfin... Il ne lui restait plus qu'à attendre la réaction de sa "compagne" d'un soir. Il espérait plus que tout qu'elle accepte de passer la nuit avec lui.

"Je... tiens à toi... et j'aimerais que tu m'offres la chance de passer cette nuit en ta compagnie..." murmura-t-il doucement, presque intentionnellement. Pour qu'elle ne l'entende pas, ou presque...

Invité

La porte de l'ascenseur s'ouvrait et lui était arrivé.
Parlant sans s'arrêter sur un air de regret.
Tout cela était absurde. Comment pouvait-elle en avoir après un portable?
Il lui avait juste rappeler le monde extérieur.
Sa fâcheuse tendance à aimer séduire.
Et elle se rendait réellement compte de sa stupide erreur.
Celle d'avoir mis en avant son physique avait son mental.
Celle d'avoir pu accepter, et sceller son destin en se retrouvant dans une chambre d'hotel.
Jamais, elle n'avais pensé faux. Jamais douté sur ses actes.
Elle assumait en plénitude tout. Ene attitude d'animal,ut tout lui semblait juste et banale.
Mais cette nuit, que c'était-il passait?
Habitué à être animal, à être traité comme de la viande.
Elle répugnait tout ces hommes qui l'invitaient, elle se dégouté elle-même de l'amour sans grand A.
Même sans grand A...Que se passerait-il si elle découvrait le véritable.
Dans sa confusion, ses yeux verts resplendissait d'un éclat brillant sous la faible lumière de l'ampoule.
Elle qui n'aimait pas faire l'amour, manger, boire...Oui elle devenait humaine.
A ressentir ces désirs humains, elle vivait.

"Je... tiens à toi... et j'aimerais que tu m'offres la chance de passer cette nuit en ta compagnie..."

Elle cligna des yeux. Son regard se radoucit.
Qui était-il pour prononcer des mots aussi profond à une parfaite inconnue qui n'était là que pour combler les désirs charnels du jeune homme.
Soit il se moquait d'elle soit elle avait trop bu de vodka.
Bien qu'ils avaient étaient dits si bas, elle n'hallucinait pas.
Une passion douce et dévorante lui emplit le cœur, une chaleur que l'alcool ne pouvait délivrer.
Un réconfort. Elle ne se prêtait pas aux jeu des grands mots. Il la désirait encore surement mais il lui avait donné un choix.
Et c'était rassurant. Maintenant, le destin lui offrait une chance.
Elle pénétrait l'ascenseur et ne reverrait plus jamais l'individu qui lui avait faire ressentir qu'elle était humaine ou elle passait une nuit en humaine.
C'était se réfugier dans l'ignorance à vie ou affronter quelque chose d'inconnu.
Elle s'agrippa à lui, gracieuse et chétive.

"Pourrions nous manger? J'ai ...faim"

Elle fut simple. Elle avait mal à la gorge. Il lui avait dit que elle représentait quelque chose.
Elle s'en contre-foutait que ça soit vrai ou faux. Mais c'était la première fois, la première fois qu'elle aimait les entendre...

Invité

Eikichi n'était pas d'un naturel optimiste. Il avait d'ailleurs imaginé une scène plus tragique que celle qui se déroulait devant ses yeux. Elle venait de dire "oui", enfin, elle venait d'accepter de rester ce soir en compagnie d'Eikichi, ce qui était une chance quasi inespérée pour lui. Il ne put retenir un soupire de soulagement ainsi qu'un petit sourire. Pas satisfait ni moqueur, un sourire tout ce qui a des plus normaux. Car oui, il était heureux. Il était heureux qu'elle ait dit oui à l'invitation du jeune homme. Elle lui proposa alors d'aller manger. Lui, n'avait pas tellement faim, a part une soif de chair typiquement macho et masculine. Mais il se décida et accepta.

"Bien, tu voudrais manger où ? Y'a un restaurant assez sympa dans cet hôtel, ou on peut se faire livrer quelque chose dans la chambre, ils accepteront si je leur demande." dit-il.

Non, ce n'était pas une tentative de détournement dans le seul et unique but de l'attirer dans la chambre à nouveau. Il se tâtait vraiment sur le menu et l'endroit où manger avec sa compagne d'un soir. Dans les deux cas, il ne mangera pas énormément et ce concentrera sur une discussion entre eux deux, il voulait en savoir plus. Cela pourrait l'aider à, qui sait, entamer une relation dans l'avenir. Il n'en était même pas sûr. C'est alors qu'une décharge électrique passa dans son corps, du cerveau jusqu'au bout des nerfs se répartissant dans sa chair. Il avait une soudaine envie de l'embrasser, peut-être pour la dernière fois de la soirée. Mais, un baiser sans arrière pensées, quelque chose de réfléchi, de voulu...

".. euh, tu permets ?" dit-il doucement.

Il s'approcha, ne laissant pas beaucoup de temps à Elincia pour réfléchir et/ou agir. Il posa une main sur le bassin de la jeune fille, comme pour la prendre dans ses bras, l'attirer vers lui, et il déposa un léger baiser sur ses lèvres encore sucrées par le miel et la sucette ayant servi à leur "petit jeu"... Ceci était vraisemblablement la réelle "réussite" de cette soirée, espérons que ce soit partagé...

Invité

"J'aimerai quelque chose à manger dans la chambre. C'est tout."

Elle ne voulait pas être exigeante dans ses souhaits.
Bien sur, elle se sentait vivante mais mal.
Très mal et le seul remède à cette douleur c'"était la chaleur d'Eikishi.

".. euh, tu permets ?

Il avait brisé le silence et elle n'eut pas le temps de réagir.
Il mit une main sur son bassin et l'embrassa.
Contrairement au baisers précédents. Celui-là était "vrai".
Du bout de sa langue se diffusa une douce chaleur qui se propagea dans tout son corps.
Elle ressentit cette sensation comme le premier baiser d'une adolescente, tout simplement beau et léger.
Qui laisse une marque sur les lèvres à jamais.
Il semblait que le laps de temps était éternel.
Bien sur, elle adorait mais elle ne put s'empêcher de se détacher.
Reculant de quelque pas. Un halo lumineux l'entourant.
Tout devait être lent, tout cela était si nouveau dans cet esprit.
Elle prit la main du jeune homme. Douce et lumineuse.
Puis elle se redirigea vers la chambre.
C'était comme si on avait fait marche arrière et que l'ouveture de cette porte était un nouveau départ.

"J'aimerai..."

Elle ferma les yeux, mordant sa lèvre inférieur.

"Je voudrai goûter à des figues."

Invité

Le baiser, en effet, sembla avoir eu un effet positif sur la jeune fille, si bien qu'elle ne lâchait plus la main d'Eikichi qui, lui non plus, ne se décidait pas trop à la lâcher. Cependant, elle s'était reculée, comme si elle paraissait un peu "choquée", ou du moins troublée par l'acte un peu inattendu du jeune homme. D'ailleurs, il ne savait pas si ce baiser avait eu un effet déclencheur, chez elle comme chez lui, et en un quelconque domaine. Ce qu'il savait pertinemment, c'est qu'ils retournaient doucement vers la chambre qu'ils venaient à peine de quitter quelques instants plus tôt.

Elle disait avoir envie... de figues. Des figues ? C'était bien un des seuls fruits qu'Eikichi n'avait jamais gouté, et pourtant il en mangeait couramment des fruits. Il voulut alors tenter le coup. Et, qui sait, peut-être qu'il aimera ! Bref, dès qu'ils eurent franchi la porte de la chambre, Eikichi la referma derrière eux. Il se dirigea ensuite vers le téléphone, appelant l'accueil pour voir s'il était possible d'avoir de quoi manger, des fruits pourquoi pas...

"Allô ? Ouais c'est Eikichi... Mais siiii... Maeda. Ah, tu vois maintenant ? Bien, en fait c'était pour savoir si y'avait des fruits en stock... Ah y'en a ? Cool ! On saurait m'en apporter dans ma chambre ? Genre... fraises, bananes, kiwis... ah oui, rajoute aussi des figues et de la crème fraiche... Ah, génial, j'attends sagement dans la chambre alors... Merci bien, salut !" dit-il à la réceptionniste de l'hôtel, qu'il semblait vraiment bien connaître, pour la tutoyer ainsi.

Il se retourna ensuite vers Elincia. Son regard ne put s'empêcher de passer par le lit, où les draps étaient défaits et où l'ont pouvait encore apercevoir un bout de soutien-gorge. Cette vue rappela certaines choses, en particulier le fiasco total qui eut lieu il y a quelques minutes, tout ça à cause d'un putain de téléphone. Il regarda ensuite la femme droit dans les yeux, s'apprêtant à parler.

"Bien, tes figues vont être livrées ici. J'ai pris la liberté de prendre des fraises, et de la creme fraiche pour moi. Si tu en veux... tu n'auras qu'à me le dire..." dit il, en lâchant ces derniers mots en un léger petit air pervers, totalement non intentionnel. Il ne s'en rendit compte que lorsque la connerie était déjà faite... Qu'allait-elle répondre ?

Invité

Elincia avait écouté attentivement la conversation sans s'y soucier réellement.
Elle s'était assis sur la chaise. Ses yeux étaient rivés vers la place libre face à elle sans y vraiment penser.
Le jeune homme parlait très librement avec quelqu'un au combiné.
Il raccrocha et se retourna. Se retour

"Bien, tes figues vont être livrées ici. J'ai pris la liberté de prendre des fraises, et de la creme fraiche pour moi. Si tu en veux... tu n'auras qu'à me le dire..."

Elle remarqua à peine le ton quelque peu pervers qu'avait adopté eikishi. Trop habitué à ce genre de remarques, elle avait appris à les ignorer tout simplement. Elle répondit délicatement d'un ton tout à fait candide en posant les yeux sur le lit non fait.

"Oui, je verrai..."

Elle entreprit d'enrouler une mèche autour de son doigt tout en laissant son regard vagabondait sur la chambre qui toutefois luxueuse laisait froid et neutre. La pièce n'avait aucun caractère, aucune personnalité.
Quelqu'un toqua à la porte. Le service de chambre...
Il déposa un plateau où de nombreux fruits y étaient disposer. Dont les figues tant attendus.
Aussitôt la personne partit, aussitôt elle attrapa une figue du bout de ses longs doigts blancs.
Passant sa langue sur la peau de la figue sans la mordre, la laissant fraiche et intacte.
Une pensée futile et stupide traversa son esprit, "comme cette figue me ressemble, elle est si sombre à l'extérieur et si éclatante et rougeoyante quand on l'ouvre".
Contrairement aux autres jeunes filles, elle ne s'était jamais comparé à une rose ou à quelquonque belle oeuvre de la nature qui se fanait en un jour. Elle préferait se comparait à quelque chose de bien plus éternel et profond. Une chose qui pouvait modeler le coeur, le regard à jamais. Une rose n'a jamais rien pu faire d'autre que d'être observer puis jeter et oublier. Elle se plaisait à rêver de son opposé masculin.
Quel rêve pauvre en imagination. Tout en pensant, ellle ouvra la figue en deux laissant la pulpe jaillir.
On dit que la figue est le fruit le plus vieux que l'homme est pu se nourrir dans l'humanité. Elle haussa les épaules, elle aimait se délectait de cet excés de couleur. Elle avala la chaire du fruit en posant ses paupières aux longs cils
Tout ce temps, elle avait délaissé son compagnon.
Elle lui demanda rouvrant ses yeux profonds et allumé d'une lumière de chaleur qui n'y était pas auparavant:

- Tu veut goûter?

Elle tendit son bras blanc et laissa la figue à porté des lèvres d'Eikishi.
Puis un déclic s'effectua dans son esprit si fermé. Elle lui adressa un sourire éclatant qui déclenchait un vague de douceur dans les mètres environs. Toute personne aurait pensé à un ange.

» une nuit chaude dans les bains... [pv Elincia] [ hentai]
» La fin de la nuit... [Over]