Nostalgie

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Nana souriait , certes , elle ne s'était pas attendut a avoir une demande de renouveau immédiat , mais ça lui allait droit au coeur , tant c'était surprenant. Mais malgrès tout , la jeune fille lui avait prit la main et l'avait entrainné jusqu'aux escaliers froids , mais d'une chaleur plus acceuillante , qui décendait dans le lycée pour les ramener aux couloirs. Le bonheur s'était réemparé de la jeune fille , remplissant son prénom de toute sa réelle signification. Il la félicita enfin , et Nana se contenta de sourire en continuant de marcher rapidement le long des couloirs.
Mais en arrivant sur leur lieu de rencontre , Mehv s'arretta et extirpa sa main de celle de la jeune fille. Nana se retourna , surprise , et le regarda tousser , souffrant , l'air plutôt malade et qui semblait se retenir. Nana s'inquietta et posa une main dans son dos , le regardant dans l'attente que la crise soudaine se calme. Mais auqn Mehv sembla aller mieu , il se redressa , lui sourit maladroitement d'un air qu'il voulait certainement rassurant , et il lui reprit la main avant de la tiré dans les couloirs pour poursuivre leur chemin. Nana eut envie de le questionné , mais elle jugea bon de se taire pour le moment. Et puis , elle avait pas mal de questions à son sujet d'ailleurs. Mais elle laissa Mehv l'entrainé , le laissant dérigé. Arrivée a un croisement , elle le tira à elle , ils se retrouvèrent un court , très court intant , collé l'un à l'autre , mais déjà Nana reprenait sa marche dans le sens inverse à où le jeune homme comptait partir. En silence , ils marchèrent encore un peu , puis , Nana s'arretta devant une porte et lacha la main de Mehv. Sur la porte , il y avait juste une petite pancarte avec noté dessus : 45. Elle ouvrit sans même frappée et fut surprise , bien que celà ne se vit pas , qu'il n'y eut personne. Elle invita le jeune homme à rentrer , puis referma la porte sur eux et lui sourit. Elle tira ses draps , n'ayant bien évidament pas fait son lit le matin même , puis l'invita à s'assoir où il le désirait. Elle prit sous son lit sa valise dont la forme épousait celle de l'instument s'y trouvant. Elle l'ouvrit et en sortie une magnifique guitare électrique. Mais elle laissa sous le lit l'amplificateur , préfèrant jouait de la manière de la guitare sèche. Elle s'assit au bors de son lit et le regarda longment , en faisant des touts petits sons de guitare en la réacordant à l'oreille. Son regard vert était profond , indéchiffrable , mais laissait voir tout son interet pour le garçon.

- Okay ... T'es pret ?

Et sans vraiment plus attentendre , elle se m'y à jouer de la guitare. La musique était lente , douce , mais mélancolique. Elle avait comme une lueur de souvenir en air , et Nana joua un moment en restant silencieuse. Elle ferma les yeux un petit moment , laissant glisser ses doigts le long de ses cordes , les faisant vibrés de milles et un sentiments et se laissa plongé dans cette ambiance prenante faite seulement de sons et de musique. Enfin , elle réouvrit les yeux et son regard avait changé en tout. Le sintillement présent jusqu'à l'instant d'avant , avant qu'elle n'eut fermé les yeux , disparaissait pour laisser place à une sorte de pleurement sans larme. Elle fixait Mehv sans être sur de le voir , et si elle l'eut vu , elle ne doutait pas qu'elle aurait sourit au lieu de paraitre triste comme elle le souhaitait et le vivait à cet instant. Puis enfin , elle se mit à chanter. Ce n'était ni une plainte , ni un suppliment , ce n'était en fait que des paroles troublées , sans grandes significations , qui allaient dans le désordre pour faire comprendre une idée. Quelle idée ? Celle qui la rongeait depuis si longtemps et qu'elle ne perdait qu'en compagnie de sa guitare et d'un peu de musique. Les paroles étaient celle-ci , à moitié en anglais , à moitié en leur langue :

- Encore un matin flambé dans l'espoir de vivre , Plus aucune nuit passées sans aucun désir , Encore des bras qui se referment sur du vide , Au cour des longues journées d'été aux longs cils humides , Encore leurs sourires mauvais et leur indifférence , Dans un monde qui n'est fait que de jugements et sentances.
Dans toute solitude , on perd aptitude , à sourire heureux , à être amoureux. Dans ma solitude , j'ai pour attitude , de voir mon passé , pire qu'il n'a été.
Encore un oiseau sans voix pour chanté , Mais dans ce cas à quoi bon exister , Encore un bateau qui vogue pour oublier , Que sur un iceberg il pourrait bien se briser , Encore une goutte d'eau perdu dans l'ocean , Seule et mal aimé mais qu'elle pauvre enfant , Encore une chanson faite uniquement pour se rappeller , Que demain n'est qu'un jour de plus dans le calendrier.
Dans toute solitude , on perd aptitude , à sourire heureux , à être amoureux. Dans ma solitude , j'ai pour attitude , de voir mon passé , pire qu'il n'a été.

Nana préfèra s'arretter là ... Elle ferma la bouche et sentit se yeux s'emplirent de larmes. Elle acheva merveilleusement sa musique , puis , retira la bandouillère de sa guitare , la pausa délicatement dans son étui , et n'eut même pas courage de regarder Mehv , préfèrant garder la tête baisser , ses yeux cachés par les mèches rebelles de ses cheveux tombant juste devant ses yeux. En fait , les larmes fusaient et coulaient en flots le long de ses joues. La solitude était toujours présente ... Elle n'avait toujours aucun bras pour la consoller , la cajoller , pour l'aimer. Pas d'amis , pas de famille ... Elle aurait tant aimer se jetter dans les bras de Mehv et lui demandé de bien vouloir lui accordé un peu de son existance , juste un peu pour exister elle même ... Mais elle n'y arrivait pas ... Elle était trop homme pour ça. Trop fière pour avoué ses faiblesses ... Et quand à foncer directement dans le tas et hurler que m**** , elle existait , non , elle était trop fille pour ça ... Mais qu'était elle au juste ? Rien , elle n'était rien ... Et c'est là que résidait le problème ...

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Nana rentra dans sa chambre, puis sortit sa guitare. Mehv pu voir un court instant son regard. Il ne comprend pas, et préfère rester passif. Elle commence à jouer, sans s'arrêter, le monde semble ne plus exister autour d'elle ; sa voix reste pour indéchiffrable. Cependant, mehv choisit de pas chercher, de s'apaiser avec la musique sur toutes ses plaies, qu'elles se referment ; il ferme les yeux, et n'arrive plus à sourire, car ses yeux le piquent. Une poussière dans l'œil...

Les paroles semblent sortir naturellement les unes après les autres, elles sont douces et mélodieuses. Elle avait l'air sous une autre forme, ce n'était plus la même. Il tente du coup de déchiffrer les paroles, elles semblaient le décrire, le comprendre, l'apprivoiser.

Quant soudain, la musique s'arrête, Nana a les yeux remplis de larmes, mehv aussi. Elle ne le regarde pas, et range sa guitare, mais lui, reste figé sur lui-même. Il s'est passé trop de choses dans la journée, et trop de choses lui étaient revenues. Il se lève, puis s'approche alors d'elle, enfin s'assit à côté d'elle. Il n'ose plus la regarder, car une émotion pénètre en lui. Il regarde droit devant, sans laisser percevoir son trouble, même si son visage devient de plus en plus expressive. Coupant l'atmosphère calme, il dit tout haut :
- Merci, c'était génial.

Ce n'est pas grand chose, mais les mots lui restent dans sa mémoire. Il tourne sa tête, et regarde ses yeux. Qui est-elle ? Il lui sourit, en espérant qu'elle le remarque.

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Les larmes coulaient silencieusement et la jeune fille n'essaya même pas de les retenir. Nana pleurait et essayait de la dissimulé en détournant le regard , mais après tout , elle s'en fichait un peu qu'on la voit dans un tel état. Elle était un être humain , et pleurer était son droit. Mehv était silencieux et Nana ne le regardant pas , elle ignore que le gaçon également à les larmes aux yeux. Elle s'en voulait de pleurer ainsi , sans aucune raison apparente ... Mais elle n'ose pas s'en excuser , sa aurait surment fait fuir Mehv.
Elle sentit alors des petits vibrations du matelas. Elle comprit alors que le garçon était venus s'assoir à ses côtés. Elle en fut quelques peu réconfortée par cette présence proche , et ses sanglots diminuèrent. Elle essuya avec le bas de son tee-shirt ses yeux , dévoillant un court instant son petit ventre plat et blanc , comme la neige qui tombait au dehors. Elle continuait de contempler dans le sens contraire du jeune homme. Elle voyait un paquet de ciguarette sur sa table de chevet. Elle n'avait même plus envie de fumer. C'est alors que le silence fut romput par Mehv. Elle tourna son regard vers celui-ci et le dévisagea , longment , yeux dans les yeux. Lui souriait , elle , elle restait indéchiffrable , comme presque toujours. Enfin , elle se décida à parler , et elle fit se qu'elle s'était promit , un peu plus tôt , de ne pas dire.

- Je suis désolé ...

Puis elle baissa les yeux , honteuse de s'etre laisser aussi facilement emporter par ses sentiments. Au fond d'elle , elle avait envie de le prendre dans ses bras , de le serrer , de sentir sa présence encore plus proche , comme le contact de leurs mains se tenant , mais elle n'en faisait rien.

- Je dois te parraitre idiote , faible ... Comme toutes les autres ...

Nana n'avait pas envie d'être comme les autres filles , elles étaient trop bètes , elles se souciaient trop de choses peu importantes , étaient égoïstes ou trop généreuses , se plaignaient toujours , ne voyaient pas se qui les entourraient ... Elle n'aimait pas ces autres filles , elle voulait juste être quelqu'un , juste être elle ... Juste être Nana.

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Désolé pour le retard : j'étais en vacances

Au moment où il l'avait félicitée, il était encore sous le charme de la musique, impressionné par sa voix, et son talent, comme si la personne à côté de lui méritait tout de lui, et qu'il doit se sentir son esclave, simplement parce qu'elle l'avait conquis, tout au fond de lui. Il était donc subjugué par elle, jusqu'à ce qu'il se rend compte qu'elle pleurait. Il comprend alors qu'elle est comme lui, un humain ; qu'elle a besoin des autres, comme il a besoin d'elle. Il s'en veut alors de ne pas pouvoir la rendre heureuse, qu'elle pleure, et que lui, il reste sans rien dire, incapable de tout.

Il la regarde, essaye de trouver un moyen de la faire sourire, ou rire. Mais rien ne lui vint à l'esprit.
Cependant, elle rompte cette ambiance, et dit qu'elle est désolée, faible et idiote, comme les autres. Il s'en veut qu'elle puisse penser cela. Elle l'a rendu heureux, et lui, il ne fait rien en retour. Cette idée lui torture l'esprit. Il voudrait lui dire plein de choses, mais tout lui paraît bête, inutile, et ne pourrait qu'empirer la situation. Il ressent son cœur qui bat de plus en plus vite, le stress venir en lui, sa gorge se nouée. Il ferme les yeux. Il comprend enfin qu'il l'aime, qu'il l'aime depuis le moment où elle a posé un regard sur lui, qu'il a comprit qu'elle est unique, qu'il regrette de ne pas l'avoir connue depuis le début de sa vie. Mais pourquoi alors il ne peut pas l'aider ? Il pourrait la prendre dans ses bras, mais elle semble fuir son regard, et il ne veut pas non plus la brusquer. Néanmoins, il faut qu'il fasse quelque chose, parce qu'il sait que le temps qui passe, détruira tout ce que les liens qui existent entre eux.

Il lui dit enfin :
- Non... Ce n'est pas vrai... Ne dis pas ça, tu es...
Un frisson l'arrête, mais il reprend :
- Tu es belle.

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Nana fixait les jambes de Mehv. Ca n'avait , certes , rien d'interressant , mais son regard était tombé là , et puis , elle ne voyait pas vraiment se qu'elle regardait. Elle songeait plutôt à sa propre image , seule dans le noir , sa guitare dans les bras , éveillée , silencieuse , à demi vivante , à demi mourrante , comme une fille abbandonnée par la vie comme par la mort. C'est vrai qu'elle n'avait toujours pas d'amis , elle n'avait plus sa grand mère , elle n'avait plus de logement à part ce dortoir ... Elle n'avait plus rien. Même la vielle qu'elle aimait pas forcément , elle lui manquait. Plus rien auquel se rapprocher.
Nana sentait une nouvelle vague de larmes arrivée mais celle-ci n'arriva pas , car la voix de Mahv se fit alors entendre , coupant le cour silence qui les avait séparé. Nana leva les yeux lentement pour plonger son regard dans celui du garçon. Il lui dit de ne pas dire cela car se n'était pas vrai. Puis , il hésita et la jeune fille remarqua qu'un frisson le parcouru. Puis , il acheva se qu'il avait commencé à dire.
Nana se paralysa et le regarda , toute étonnée , surprise , émue. Son coeur s'était d'abors imobilisé , puis avait reprit ses battements plus vite et plus fort que jamais. Un élan de tendresse l'envahit et son regard s'emplit à nouveau de larmes. Jamais on ne lui avait dit qu'elle était belle , jamais. Elle était toujours ignoré , rabaissé , on cherchait la baguarre , on la prennait pour une prostituée , mais jamais on ne lui avait dit juste comme ça qu'elle était belle. Peut être y avait il une mauvaise idée derrière cela ... Non , elle ne le pensait vraiment pas. Mehv était quelqu'un de trop gentil , doux , simpathique. Elle le connaissait même pas depuis une heure et déjà , elle l'adorait.
C'est alors que sans réfléchir et sans demandé permission , elle se tourna un peu sur le bord du lit , pour être un peu plus fasse à lui , puis elle passa avec douceur ses bras autour de son cou et se colla contre lui en fermant les yeux. En l'enlacant ainsi , elle se sentait appaisée , libéré , elle oubliait tout ce qui la blessait , elle oubliait toute la solitude qui l'entourait. Son coeur tambourrinait , les larmes coulaient , mais combien elle était bien. Pourquoi était elle si bien ? Elle l'ignorait. Est ce que ce sentiment de bien être soudain portait un nom ? Peut être ... Vous pensez que c'est ça ? Nana l'ignorait , elle n'y pensait même pas. Elle ne cherchait pas à cromprendre autre que Mehv était pour elle comme un baume. Elle restait ainsi , la tête sur son épaule , les bras autour de son cou , son visage tout près de celui-ci.

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Hj : Excuse c'est court ...

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Il attendit sa réaction, le cœur battant très vite. Chaque seconde lui paraissait interminable, quand tout à coup, elle le regarda, et elle se posa délicatement sur son cou ; mais lui, il restait immobile face à l'émotion qui l'empoignait, son expression était vide, perdue.
Il sentit sa respiration, son cœur, et son parfum. Mais surtout, c'était de savoir que sa tête était à côté de la sienne qui le déliait son cœur. Elle avait pénétré au plus fond de lui-même, et il en frissonna de plaisir. Il sourit, il était l'homme le plus heureux.

Alors, il mit ses bras autour d'elle, et la serra ; comme s'il ne voulait pas qu'elle parte. Qu'elle finisse de l'achever. Mais il réalisa qu'il était déjà tout à elle. L'émotion lui bloqua la gorge, il ne pouvait pas parler ; ou est-ce qu'il ne le voulait pas, pour rendre ce moment éternel ? Il essaya de réfléchir, de reprendre possession de lui-même. Cependant, il ne comprenait pas, tout s'était pas si vite qu'il ne pouvait répéter la scène dans sa tête ; les éléments se mélangeaient entre eux, tournaient autour de lui, l'écrasaient, si bien qu'il chassât toutes les idées de son esprit, et ne pensa plus à rien. Il n'entendait que les battements du cœur.

Il était si bien, il aimait cette inconnue, comme il n'avait jamais aimé.

Mais elle restait une inconnue. Il ne connaissait rien d'elle, même s'il voulait tout connaître. Mais elle lui restait étrangère. C'est pour cela qu'il n'osa pas l'embrasser, alors qu'il en avait envie ; il préféra regarder droit devant, et laisser le bonheur coulé en lui.

Invité

Hj : Je m'excuse ! T'as le droit de me taper à coup de baton pour cet infernal retard !

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C'était si étrange , elle se sentait libéré de tout fardeaux. La mort , la solitude , les rumeurs ... Plus rien ne pouvait l'atteindre ! Pourtant , cette barrière de protection que formait les bras du garçon était un moyen inconnu , incertain , invérifié ... Etait-ce celà qui lui donnait cette sensation de légèreté ? Son coeur battant aussi vite que si elle était entrain de gratter sa guitare en un rythme éfreinné , pourtant , elle avait la tête reposé et les mains libérées. Etait-ce le fait qu'elle ne connut rien de cet homme qui la charma autant ? Ou était elle devenue trop faible pour protégé son coeur d'un compliment flatteur ? On en savait rien. Mais ne rien savoir de notre bonheur , celà portait un nom ... Un nom tout doux , rimant avec toujours ... Amour.
Ses yeux fermés et humides avaient cesser de déverser leur torent de larmes. Elle calmait peu à peu son chagrin , et laissait naitre peu à peu l'exitation de cette douce musique silencieuse. Elle en crevait d'envie , lui dire des mots jettés sans les trier , sans en faire un bouquet ! Lui dire des phrases qui ne voulait rien dire , mais qui disaient tout. Elle s'en fichait de l'heure , du lieu , du temps. Elle était là au paradis. Pour combien de temps ? Tant qu'elle continurait de sentir le coeur du garçon battre , d'un rythme plutôt rapide , mais qu'importait , il était là , elle le sentait.
Nana finit pas murmurer ... Murmurer des choses qu'au fur et à mesure qu'elles fuent dite , elles furent aussi tôt oublier par la jeune fille. Juste parler , tout dire. Tout dire ? Non , dire moins , mais assez pour comprendre.

- Merci d'avoir été là à m'écouter. Merci d'avoir été là et d'avoir éclaircit ma vie de notre rencontre. Merci de t'interressé à moi. Merci pour tout se que tu as dit , et tout se que tu n'as pas dit. Merci. Même si je ne te connais pas , je sais à présent une chose que je veux : je veux continué à te voir , apprendre à te connaitre , je te veux dans ma vie ... Peux être que ce n'est pas réciproque , mais merci de ne pas me couper et de ne pas t'enfuir à toutes jambes. Peut être la vie en décidera autrement , mais alors , merci de m'avoir accordé ce présent si précieu que cet enlacement.

Nana avait déjà tout oublier de se qu'elle avait dit. Elle ouvrit les yeux , décolla un peu sa tête , assé pour pouvoir le regarder. Et lui , que voulait il ? Elle priait de tout son être pour qu'il ressente les mêmes choses.

" J'ai besoin de lui ... J'ai besoin de ses bras , ses yeux , son être ... Sa présence ... Ne me l'enlevez pas aussi vite que vous m'avez permit de l'avoir ... "

D'une voix incertaine , elle dit alors simplement.

- Mehv ...

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Désolé aussi du retard... Je n'ai pas trop eu le temps dernièrement !

C'était si étrange, le sentiment qu'il pouvait ressentir. Il avait peur, et était calme ; les choses paraissaient elles-mêmes simples et compliqués à la fois. C'était un tourbillon d'émotions, qui dévastait son esprit. Mais il se laissait faire, car c'était si agréable.
Il se sentait amoureux, amoureux d'une inconnue. Mais qu'importe, il savait qu'elle n'était pas comme toutes les autres filles, qu'il pouvait lui faire confiance. Néanmoins, il se rappelait qu'il s'était promis d'écarter tout sentiment de lui, il en voulait à l'Amour de l'avoir fait souffrir de nombreuses fois, et surtout, il s'en voulait de s'être trompé de personnes. Il eut alors un doute. L'aimait-il parce qu'il avait besoin de tendresse, ou l'aimait-il parce qu'il savait que cette fille le rendrait heureux, et qu'il en ferait pareil pour elle ?
Ce doute persistait, mehv n'osa bouger, faire quoique ce soit.

Mais elle vient le libérer de cette hésitation, elle lui dit :
- Merci d'avoir été là à m'écouter. Merci d'avoir été là et d'avoir éclaircit ma vie de notre rencontre. Merci de t'interressé à moi. Merci pour tout se que tu as dit , et tout se que tu n'as pas dit. Merci. Même si je ne te connais pas , je sais à présent une chose que je veux : je veux continué à te voir , apprendre à te connaitre , je te veux dans ma vie ... Peux être que ce n'est pas réciproque , mais merci de ne pas me couper et de ne pas t'enfuir à toutes jambes. Peut être la vie en décidera autrement , mais alors , merci de m'avoir accordé ce présent si précieu que cet enlacement.

Il écouta chaque parole, et les répéta dans sa tête ; tout cela était trop beau. Son cœur battait de plus en plus vite. Il avait eu tort de douter d'elle. Il en était sûr maintenant, il l'aimait pour ce qu'elle est.
Il ne pouvait plus rien dire, tant l'intensité des sentiments le foudroyait. Chaque mot l'avait fait rougir un peu plus. Chaque mot revenait en écho, et chaque mot lui paraissait encore plus fort que le dernier.
Il ne pouvait plus se contenir, il était trop heureux. Il l'aimait, s'en était une certitude. Mais que pouvait-il répondre sans risquer de la décevoir ?

Puis, elle rajouta,
- Mehv ...
ce qui l'acheva.

Alors, il prit la tête de Nana entre ses mains ; de sa main gauche, il écarta délicatement une mèche du visage de son aimée, puis la regarda. Qu'elle est belle, pensa-t-il. Il avança son visage, et toucher de ses lèvres les siennes. C'était plus fort que des mots. Il retira ses lèvres, et lui sourit.

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Nana n'avait même pas peur. Pourquoi aurait elle eut peur , elle qui ne craignait rien ? Elle se sentait appaisée , plus vivante. Elle ne pensait plus à rien , elle se foutait épernument de tout. Elle n'avait besoin de rien mis à part Mehv à cet instant. Elle doutait du fait que se soit un simple coup de tête , parce qu'elle en avait déjà eut., Mais jamais un coup de foudre ne l'aurait emmener jusqu'aux aveux , alors qu'à cet instant , tout pouvait si clair , mais si impréci à la fois. C'était assez compliqué dans la logique des choses , mais assez facile à césir du côté sentimental. Nana qui n'avait jamais aimé et n'avait jamais été aimé se trouvait tout à coup en passion pour un inconnu. Mais était ce vraiment important ce gigantesque détail que leur étrangeté ? Non , elle s'en fichait.
Il semblait un peu abasourdit , elle se rendit alors compte qu'elle avait parlé. Mais pour dire quoi ? Elle ne s'en souvenait pas , était ce grave ? Elle ne craignait pas , mais doutait légèrement. Allait il la repousser et s'en aller pour ne plus jamais revenir ? Non , apparament non ... Mehv passa alors ses mains dans ses cheveux , écartant les mèches noirs qui s'obstinaient à lui retomber devant le visage. Nana fut quelques peu surprise , mais le laissa faire en silence. Son visage s'approchait , tout doucement ... Elle ferma les yeux , et sentit alors le contact de leurs lèvres. Cela ne dura qu'un bref instant , à la suite de ça , le jeune homme se retira et quand elle réouvrit les yeux , elle le contempla. Il était souriant , celà lui illuminait le coeur. Etait ce un oui ? Cà en avait tout l'air.
Nana , reprennant confiance , passa alors ses mains autour de son cou et se colla un peu plus à lui , plantant son regard vert emmeraude dans le regard brun du jeune homme. Elle approcha de nouveau son visage , et l'embrassa , un peu plus longuement que le premier baiser , et savoura toute la bonté du moment.

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Après leur court baiser, elle l'embrassa à nouveau, plus longtemps.
Mehv était très heureux, si heureux qu'il ne pouvait plus penser, mais juste respirer, et sourire. La douceur de ses lèvres l'avait transformé. Il se sentait si bien. Il mit ses bras autour de la taille de la jeune fille, se tira délicatement vers elle, et avança sa tête, pour qu'ils soient proches l'un de l'autre. Puis ils se regardèrent un court instant, le temps de se dire par un regard ce qu'il ne pouvait se traduire par des mots. Après cela, mehv embrassa le nez de Nana, et descendit sa bouche vers ses lèvres afin de l'embrasser à plusieurs reprises. Il pouvait ressentir la respiration de Nana, ce souffle régulier et chaud. Ils ne se parlèrent plus, c'était comme s'ils pouvaient communiquer par un regard, ou un baiser.
Mehv la prit dans ses bras et la serra, sans lui faire mal, mais pour garder ce souvenir dans sa mémoire, éternellement.

Puis, il la regarda dans les yeux, à nouveau. Il fut pris par un mélange de rire silencieux et d'une larme à l'oeil, comme si toutes ses émotions éclataient. Il lui dit finalement avec un ton sérieux et heureux, " Je T'aime. "

» Une envie de nostalgie et de luxure [Pv: Don Luis]