Noyée dans son passé [pv: SAKURAAA]

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‘Aux pieds de trois coteaux habillés de sapins
Gît un lac profond, clair et sage,
Où maintes fois je suis descendu, le matin,
Aspirer la paix qu'il dégage.’

Elle ouvrit en grand sa bouche, sentant l’air frais remplir ces poumons, rien de tel qu’une petit promenade dans la forêt le matin. La jeune fille se sentait bien, tenant fermement dans sa main un collier que son frère lui avait offert avant que aiko disparaisse, la jeune fille se sentait bien. Elle avait reprit ces couleurs, ces cernes avaient disparut même si elle n’avait pas énormément dormit et elle était de bonne humeur. Bref, une bonne journée commençait, mais c’était souvent sur ce commencement que tout de passait mal avec aiko, et elle en avait conscience, c’était pour cela qu’elle avait préférer aller se promener seul dans la forêt, pour ne pas causer trop de problèmes aux personnes du lycée… La jeune danseuse serrât fort son collier. Il avait une chaîne en or et comme pendentif un petit cœur d’une couleur rouge sang. La jeune danseuse, elle était vêtue de ces habits roses, c’était une robe rose avec quelques dentelles de couleur rose clair. Bref, elle ne passait pas inaperçu dans cette grande forêt aux arbres merveilleusement grands et d’une couleur sinople parfaite, laissant passer les doux rayons du soleil lorsqu’il n’y avait pas assez de feuilles pour empêcher la lumière de parvenir jusqu’au sol. Les troncs, eux étaient de toutes les tailles, de toutes les formes et aussi de touts les teints marrons, passant du marron clair au marron foncé et au marron pourris. Tout dépendait de l’age de l’arbre, de ça ‘race’ et du sol dans lequel il était. Bref, une belle journée qui s’annonçait, un matin assez frais comme habituellement. Le froid ce faisait sentir, un peux de fumée blanche sortait de la bouche d’aiko lorsqu’elle respirait. Elle devait souvent souffler sur ces mains pour se réchauffer un peux et surtout pouvoir utiliser ces mains froides, ces bras eux étaient presque paralysés tellement elle avait froid. Car, la jeune fille n’avait pas vraiment prévus de vêtement chauds vus qu’elle était venue en ces lieux sans aucune valise. Il faisait froid et Aiko était gelée… Elle marchât un petit moment dans les bois, profitant des rayons de soleil qui souvent étaient posés sur la nuque de la danseuse et qui la réchauffait. Elle marchait au hasard, c’était vrais que pour revenir au lycée cela n’allait pas être du gâteau mais elle n’avait pas voulus aller au lycée, c’était la police qui l’avait trouvée dans le cabaret ou elle dansait et avait décider qu’elle devait aller soit chez ces parents soit au lycée mais en aucun cas travailler dans un cabaret a son age. Elle avait donc choisit le lycée, ne voulant surtout pas retrouver ça famille, ayant peur d’affronter son passé et ayant peur de se retrouver a nouveau seul dans cette immense maison. Et ayant peur que son père lui mette sur son dos la cause de la mort de son frère, même si Aiko n’était pas sur qu’il était mort… Elle avait donc n’eut aucune envie d’aller dans ce lycée mais bon… Voilà quoi… Et donc, se perdre dans la forêt n’était pas un problème pour la danseuse qui tournait souvent a droite. Elle marchait, ces de mains derrière son dos, son regard, lui, posé sur le ciel, elle évitait facilement les arbres et semblait vraiment plongée dans ces pensés. Mais un bruit d’eau ruisselant sortit la jeune aiko de ces rêveries, elle posât alors son regard devant elle, toujours ce regard et cette cicatrice cachée par ces fins cheveux rose. Elle vit un chien sauvage en train de boire de l’eau. Il était noir et avait un regard noir, la queue en l’air et le regard assez innocent, la jeune Aiko fût tout de sui attendrit par cette petite boule de poil. Elle esquissât un fin sourire presque invisible tellement était-il retenus, puis s’approchât du chien qui sursautât et regardât rapidement Aiko, le regard a la fois fulminant et innocent, fulminant de ne pas avoir pus finit de boire en paix mais innocent par la simple peur qui était dans son cœur lorsqu’il voyait un humain d’aussi près. Il continuât aiko qui, elle voulait s’approcher du chien noir. Elle se retrouvât donc a la place du chien, c'est-à-dire proche de l’eau et le chien lui était en face d’elle, grognant un peux. La jeune fille se mit en position accroupie pour tendre par la suite sa main sans le collier, donc sa main gauche et chuchoter d’un ton des plus rassurant :

-N’ais pas peur… Je ne te veux pas de mal… Enfin… Essaye de comprendre ce que je dis, je sais que tu ne parles pas, mais essaye de comprendre… Je ne te veux rien, tu es un beau chien, je veux juste te caresser… Tu es tellement beau, je veux pouvoir devenir ton a…

Elle n’eut même pas le temps de finir sa phrase que le chien courrus en sa direction, faisant trébucher la jeune aiko qui, vus le regard et les crocs du chien savait qu’il ne lui voulait pas vraiment du bien, le chien partit dès que la jeune fille perdit l’équilibre et tombât dans l’eau. L’eau était froide, elle avait des reflets de toutes les couleurs, des reflets venant du soleil et ces rayons. Mais Aiko n’avait pas vraiment le temps d’admirer ce spectacle, elle sortit donc rapidement de l’eau, ces habits mouillés par l’eau froide, on voyais un peux au travers de ceux-ci mais heureusement que cette robe avait une couleur de rose ne permettant pas de voir vraiment a travers le tissu. La jeune fille ne se souciait pas vraiment de cela pour le moment, là, elle était mal, elle avait froid, elle regroupât donc rapidement ces jambes vers son torse pour se réchauffer avec ça chaleur corporelle, mais, lorsqu’elle voulut mettre ces deux mains autour de ces jambes, elle remarquât qu’il lui manquait quelque chose… Le pendentif ! Oui ! Elle ne l’avait plus ! Elle posât donc rapidement son regard stressé sur le lac, cherchant du regard ce précieux collier, et elle le vit, en train de couler dans l’eau. Aiko ne savait pas nager… Elle n’avait jamais appris… Mais cet objet valait mieux que la vie même de cette jeune fille. C’était l’une des seules choses qui était importante à ces yeux. Oui… Elle devait le récupérer… Elle sautât donc rapidement dans l’eau profonde et récupérât le collier, mais lorsqu’elle ressortit sa tête de l’eau, un affreux mal de tête vint lui envahir le crâne, elle avait froid et ne pouvait plus vraiment bouger, de plus, elle ne savait pas nager, si l’eau avait été un peux plus chaude Aiko aurait pus se débrouiller mais là… Elle risquait vraiment de couler. Et même crier au secours pour la jeune fille était trop affaiblissant pour elle, elle n’avait plus de forces, mal a la tête et elle avait sûrement attraper froid. Elle allait donc sûrement mourir, mourir pour un collier, mourir pour un souvenir de son frère. Au fond, ce n’était pas un problème, mais dans son cœur, Aiko souhaitait se faire aider, se faire aider pour vivre, pour vivre sans son passé et pour se faire des amis, elle voudrait pouvoir vivre pour avoir enfin une vrais vie…

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Sakura était de sorti. Elle sortait tous les matins, n'importe où qu'elle soit, elle sortait chaque matin. Même si il n'y que avait une autoroute, elle sortait et marchait le long de l'autoroute. Ici, il y avait une forêt, elle se rendit donc à cette forêt. Il était tôt et il ne faisait pas très chaud. Ce n'est pas pour autant que la jeune fille était habiller chaudement. Elle portait une robe rouge et noir à manches courtes, elle avait des grande chaussettes blanche et fine et un bracelet blanc. Elle portait à son cou, son collier en forme de cœur, transparent, violet, qu'elle avait eu à un de ses anniversaires. Elle le serrait dans sa main droite et regardait le sol, tout en marchant tout droit, dans cette immense forêt. Sakura entendit des bruits et donc elle marcha un peu plus vite. Elle entendait de plus en plus de bruits et accélérait de plus en plus et enfin elle aperçu une silhouette qui marchait devant elle, elle ralentit donc et s'arrêta pour admiré la forêt. La jeune fille s'approcha d'un arbre et y colla son oreille pour pouvoir imaginer qu'il avait un cœur. Elle ferma les yeux et rêva, elle rêva d'un monde meilleur, où la guerre n'existerait pas et où tout le monde serais heureux et où l'argent n'existerait pas. Maintenant elle se l'imagina et se promena dedans jusqu'à ce qu'elle entendit un craquement ce qui l'a fit sursauter. Elle ouvrit les yeux et vit une toute petite silhouette ce déplacer à toute vitesse, ça devait être un lapin ou un écureuil. Elle se laissa glisser le long de l'arbre pour s'assoir dans les feuilles et la terre. Elle plia ses deux jambes jusqu'à la poitrine et passa ses bras autour, lâchant son collier. Elle regarda l'arbre d'en face et fini part regarder dans le vide, toujours dans ses pensées. Sakura entendu une voix lointaine. La jeune fille entendait très bien lorsqu'elle était dans ses pensées . Elle se leva et continua le chemin prenant toujours à droite, suivant son cœur. Elle entendu plus de bruit et avança beaucoup plus vite pour finalement ce mettre à courir tenant toujours son cœur dans sa main droite. Lorsqu'elle arriva elle vu un chien sur une jeune fille, elle se stoppa net. Elle rasta la, bouche bée sans pourvoir vraiment faire quelque chose. Elle se cacha derrière un arbre pour ne pas se faire remarquer. Elle s'asseyait là, un peu paniquée. Elle jetait un coup d'œil de temps en temps. Lorsqu'elle vu le chien partir elle attendit un peu. Lorsqu'elle se leva, elle vu la jeune fille dans l'eau. Elle se hâta donc de l'aider en s'approchant, quand même, doucement. Elle enleva ses chaussures, toujours tenant son collier, puis ses chaussettes et les posa sur le bord. Elle posa son sac et se jeta à l'eau. L'eau était geler, heureusement qu'elle savait bien nager. Elle alla chercher la jeune fille et l'a ramena au bord. En la prenant dans ses bras, avant de la ramenée au bord, elle remarqua quelque chose de brillant au fond. Une fois avoir ramenée la jeune fille au bord, elle plongea au fond d'eau l'eau et attrapa de justesse le collier. Elle remonta au bord et posa le collier dans l'herbe. Elle pris la jeune fille dans ses bras et la posa dans l'herbe, qui était au soleil. Sakura ramena aussi son sac, ses chaussettes et ses chaussures à coté de la jeune fille. Elle sortit une veste de son sac et la posa sur la jeune fille. Elle lui toucha les joues et constatât qu'elles étaient aussi froide que l'eau. Une larme coula sur la joue de Sakura, elle était très sensible. Elle s'asseyait à coter et sortit un peu de pain de son sac. Elle réfléchissait et posa le pain sur le coter, attendant que la jeune fille réagisse. Sakura ne lâcha pas une seconde la jeune fille du regard.

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‘Cet ange, qui vous ressemble,
Sous son aile nous rassemble
C'est la divine Amitié.

Son regard est doux et calme ;
Il m'offre sa chaste palme...
En voulez-vous la moitié ?’

Lentement, Aiko se sentait paisible, paisible de ne pas souffrir plus, de toute manière, continuer de vivre dans la solitude en fuyant son passé, c’était la pire chose qui pouvait lui arriver, et cela commençait doucement a ce mettre en place. Non… Elle préférait en rester là. Même si une infime partie de son âme criait le besoin de vivre, Aiko ne l’écoutait pas, car cela ne venait pas de son cœur, juste de son instinct. Elle fermait paisiblement les yeux, oubliant ce froid qui lui recouvrait tout le corps, oubliant qu’elle était en train de couleur dans l’eau fraîche d’un lac. Mais, tout cela ne se passât pas comme la danseuse l’avait prédit, des bras… Des bras chauds et doux vinrent autour de la taille de la jeune fille, ceux-ci la tirât, ils la tirât tellement fort qu’elle en eut un moment le souffle coupé –même si il était déjà coupé depuis un petit moment- et ces bras obligèrent Aiko de lâcher ce collier qui doucement coulait. La jeune fille pus ouvrir pendant quelques secondes ces yeux sous l’eau, l’eau fraîche venant lui piquer les yeux, elle les refermèrent aussitôt, mais la seul vision qu’elle eut de ce moment fût des bras qui la tiraient de la mort pendant que Aiko essayait de rattraper son passé, essayant de rattraper ce collier qui représentait tout pour elle. Mais ces bras étaient si chauds… Si doux… Pourquoi Aiko voulait rester comme ça toute ça vie ? Peut-être car elle n’avait jamais été prise de toute sa vie dans ces bras par quelqu’un. Peut-être que ce sentiment de vouloir vivre en elle rien que pour rester longtemps dans ces bras la rendait si bien. Dans les bras d’un inconnu… Aiko ne savait même pas si cette personne était un homme ou une femme. Mais peut importe… Cependant, le destin en avait décider autrement, l’air vint instinctivement remplir les poumons de la jeune fille qui prit une grande inspiration mais ne pus pas encore respirer, elle ne faisait qu’une chose : tousser. L’eau avait réussit a rentrer dans les poumons de la jeune fille. Elle fut alors déposée sur le rebord du lac. La jeune fille toussotait toujours, crachant un peux d’eau mélanger au goût amer du sang, mais rien de bien grave. Elle n’avait même pas la force de relever le regard pour voir qui l’avait sauver, elle n’avait pas la force de retirer la frange qui cachait son regard et ça cicatrice tout en lui collant le front…La seul chose que Aiko voyait était sol collier en train de couler. Le regard perdu et le sang sortant toujours de ça fine bouche avec l’eau, Aiko n’allait pas vraiment bien… Mais, l’inconnue sautât a nouveau dans l’eau pour récupérer le collier. Cette personne semblait bien nager, elle n’avait pas froid et elle allait vite… Aiko, une fois un peux calmée pus ouvrir les yeux plus facilement, n’ayant pas la force d’enlever les mèches mouillés qui restaient sur ces yeux, elle scrutât la jeune personne qui venait de sortir de l’eau. C’était une jeune fille, un peux plus petite en taille que Aiko et sûrement en age. Cette jeune fille reprit Aiko dans ces bras, des bras si chauds… Aiko fermât même les yeux par pur réflexe, mais tellement était-elle choquée elle ne se rappelait pas vraiment de tout ce qui s’était passé. Aiko était après au soleil, le doux soleil lui faisait du bien. Mais elle devait encore lutter contre la mort. Et, aiko n’avait pas de raison de vouloir vivre, elle n’avait plus rien à voir de la vie… Mais… Une vie se vivait qu’une fois et il ne fallait pas la gâcher une fois de plus. Alors, après avoir cracher un bon nombre d’eau mélanger au sang, aiko pus enfin respirer le souffle rapide et poussé a bout. Elle avait les yeux grands ouverts et redevint placide seulement quelques minutes après. La jeune fille retirât ces mèches de son regard, faisant montrer ça cicatrice qu’elle cachait tant et son regard or dont elle avait honte, ce regard or qui vous donne envies d’y plonger et cette cicatrice qui donne un défaut a ce magnifique visage aux traits si fins et parfaits. Après avoir reprit ces esprits, Aiko se rendit compte qu’il faisait froid tout a coup, même si elle avait une veste, elle servait pas a grand-chose a vrais dire, avec le vent du nord qui passait et la peau mouillée de Aiko, elle ne pouvait pas avoir chaud. La chaleur corporelle de la jeune femme de tout à l’heure par contre l’avait réchauffé mais Aiko n’allait pas demander a une inconnue de la prendre dans ces bras. Non, et puis Aiko ne l’accepterais pas, elle n’accepterais pas de se faire prendre dans les bras juste pour ne plus avoir froids. Et puis pour le moment ce n’était pas le froid qui l’inquiétait, même si elle commençait a avoir un mal de gorge affreux et une envie de tousser horrible. Non, des questions persistaient dans l’esprit de la jeune fille qui ne cessait pas de regarder son interlocutrice. Elle était coi mais réfléchissait a beaucoup de questions. Aiko après avoir décider de parler ouvrit la bouche mais vit alors que la jeune fille devait elle aussi avoir froid. Elle était mouillée et avait des habits plus légers que ceux de aiko. Elle l’avait sauvé et donnait du pain et une veste a Aiko alors que c’était elle qui avait fait le plus d’efforts. C’était injuste, injuste pour aiko qui trouvait qu’elle ne méritait déjà pas de vivre, alors si a cause de ces stupides jugements elle allait faire une fois de plus souffrir quelqu’un, aiko voudrait encore plus mourir si c’était comme cela. Alors, avec les seul forces qui lui restaient, elle pus se mettre debout a l’aide de l’arbre contre lequel elle s’appuyait pour mettre la veste sur l’inconnue avant de déclarer d’un ton fragile, le regard toujours sans la frange de Aiko mais la cicatrice de nouveau cachée :

-N…Non… Reprenez cette veste… Vous avez fait déjà plus de choses que moi alors gardez-là. Et ne me la rendez pas, ce serais une offense, je vous en prie… De plus, pourquoi m’avez-vous sauvé ? Je ne vous connais pas… J… Je ne sais même pas votre prénom donc pourquoi sauver une inconnue ?

*Lorsqu’on m’a sauver… J’ai eus l’impression que on m’avait prit dans ces bras… Ces bras étaient si chauds…*

Pensât-elle tout en regardant son interlocutrice, le regard suspicieux.

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Sakura observait déjà la jeune fille depuis plusieurs minutes. Elle l'observa encore et la vit se levé rien que pour lui remettre la veste. Sakura ne compris pas sur le coup, elle regarda, elle aussi plein de questions en tête la jeune fille qui ce trouvait en fasse d'elle. Elle fut suite aux paroles de la jeune fille qu'elle avait écouter attentivement. Sakura voulu partir, oui partir,mais c'était idiot de laissez cette jeune fille là, toute seule, elle avait l'air si triste. Sakura ce mis bien en face de la jeune fille et lui répondit en la regardant dans les yeux :

" - Je ... mettez vous à ma place, qu'auriez vous fais, vous auriez laissez la jeune fille dans l'eau ? D'accord, vous auriez pu vous enfuir mais faire cela est comme trahir son compagnon. Je m'appelle Sakura, et je vous est sauvée car je n'avait pas le choix,je ne pouvais pas vous laissez dans l'eau ... Enfin, si je vous dérange je peux m'en allé !"

Elle croisa les bras et tira un air de gamine-boudeuse. Elle l'a regarda avec un regard défiant tout regard. Elle s'assit en face de la jeune fille après avoir retirer la veste qu'elle ne voulais pas. Sakura savais très bien pourquoi elle avait sauvée cette jeune fille, parce qu'elle n'avait pas le choix, tout simplement. Elle était assée mouillé mais le faite d'être au soleil la réchauffait un peu. Elle avait tout de même froid et ses cheveux lui collait au visage vu qu'elle avait plonger pour reprendre le collier mais ce n'est pas cela qui l'a préoccupait vraiment, c'était plutôt cette jeune fille très étrange et qui n'était pas très heureuse que Sakura l'est sauvée. Elle l'a regarda toujours avec son air de gamine-boudeuse et avec son regard défiant tout regard. Sakura resterait bien ici des heures, elle aimait bien ici mais, elle aimerais bien une réponse concrète et qui lui plaise de la part de la jeune fille en fasse d'elle.

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‘Solitude... Pour vous cela veut dire seul,
Pour moi - qui saurai me comprendre ?
Cela veut dire : vert, vert dru, vivace tendre,
Vert platane, vert calycanthe, vert tilleul.’

Cette jeune fille répondit assez désagréablement. C’était vrais que Aiko y était aller assez fort, mais elle était encore sous le choque. Aiko avait froid, elle se asseyait donc tout en callant ces jambes contre son torse. La jeune fille sentait toujours le vent contre elle, priant pour qu’il s’arrête, priant pour que son supplice avec le froid s’arrête. Enfin bref, elle allait donc devoir répondre a cette présentation venant de cette ‘sakura’. Mais pour le moment, elle voulait rester coi, restée coi devant cette mort qu’elle avait frôlée. Et, après quelques minutes la jeune fille posât son regard or qui commençait lentement a être de nouveau cachée par ça frange ainsi que sa cicatrice déjà cachée. Elle regardât la jeune sakura dans les yeux, essayant enfin de se concentrer et de voir quel genre de personne l’avait sortie de l’eau et aussi des bras de la mort. C’était une belle fille, elle avait sûrement un ou deux ans de moins que Aiko. Cette jeune fille avait un regard azurée que aiko aimait beaucoup et c’était pour cela qu’elle ne lâchait pas son regard des yeux, elle ne voulait pas s’arrêter de voire un tel regard. Car, le seul regard qu’elle avait vu était celui de ces parents ou de son frère qui était pleins d’absence de vie et de souffrance. Et, ce regard azuré rendait vraiment Aiko un peux plus accrochée a la vie. Mais, rapidement elle dus reprendre ces esprits, cette jeune fille a qui elle adressait la parole avait proposer de s’en aller. Non ! Enfin… Oui ! Mais… Tout cela était vraiment confus tout a coup, Aiko ne savait pas pourquoi mais d’un coté de son esprit, elle ne voulait pas que cette jeune fille parte. Pourtant, Aiko avait toujours été une solitaire, elle n’avait jamais eus d’amis et son frère elle ne l’avait plus revus depuis un moment ! Et, ces parents… Eux c’étaient des ‘gens’, c’est tout, des ‘gens’ et rien d ‘autre, même presque des inconnus pour la jeune Aiko, car franchement, leur amour qu’ils avaient portés comme par exemple cette cicatrice et le refus a aiko de pratiquer ça passion… Ce n’était pas vraiment une marque d’amour, et puis aiko l’avait toujours su, ces parents ne voulaient pas de filles, que des garçons et ils n’avaient d’yeux que pour Kazuki et non pour Aiko qui, elle aussi souffrait… Ils ignoraient même presque Aiko, comme un soir ou ils avaient oubliés de donner a manger a la jeune fille pendant toute la journée et vus que c’étaient eux qui faisaient les courses et que le frigo était vide Aiko ne faisait rien a part attendre… Bref il n’y avait pas plus grande solitaire que Aiko, mais cela ne l’avait pas déplus, elle ne regrettait pas son passé, ces parents avaient forgés le caractère de la jeune fille ainsi que sa force et son frère lui avait forgé un peux d’amour et une passion. Non… Elle regrettait rien, et elle était prête à vivre pleinement sa vie, qu’elle soit bonne ou mauvaise. Bref… Mais, ce sentiment qui voulait vraiment que aiko choisisse de rester avec cette sakura devenait trop fort et elle ne pus résister plus longtemps, elle répondus donc a la jeune sakura avec son ton ferme et son regard convaincus mais caché par ça frange :

« Je n’y serais pas aller… Non… Je serais restée là a la laisser couler. Car, vus mon expérience avec ma vie, je sais très bien que même si j’avais toutes les chances pour aller la sauver et aucuns risques je n’y serais pas allée car… Car les seul personnes que j’ai voulus sauvés sont mortes avec plus se souffrances et tout cela a cause de moi. Ils seraient morts sans aucune souffrance sans moi mais j’en avais fait qu’à ma tête… Alors non, je n’y serais pas allée… Et je me prénomme Aiko… »

Elle eut un petit moment d’hésitation avant de déclarer :

« Enchantée, sakura… Et je vous en prie… Restez… Car… »

Puis elle se tut, ne voulant pas non plus faire des compliments à cette inconnue, elle était tout de même une jeune solitaire alors non, elle ne voulait pas autant pousser les choses…

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Sakura regarda encore la jeune fille, avec son air de gamine-boudeuse et son fameux regard, jusqu'à ce que la jeune fille est répondu à ses paroles. Sakura fut surprise. La jeune fille lui disait qu'elle avait fais souffrir des personnes en les aidant. Sakura n'avait jamais vécu ça elle. Elle ne comprit donc pas ' Aiko'. Elle la regarda en silence sûr qu'elle dise de nouvelles paroles. Elle n'eut pas tord d'ailleurs. Aiko lui disait donc de rester, de toutes façons, Sakura serait restée là. Elle voulait ce faire des amis, au moins une car la vie de solitaire elle en avait marre. Sakura regarda donc la jeune fille mais, cette foi, d'un air très attendri. Sakura sentait que quelque chose entre elle et Aiko voulais qu'elle soit amies. Sakura allait donc répondre sincèrement à Aiko suivant son destin.

" - Ecoute, ça m'est jamais arrivée mais, tu vois, tu ne devrais pas t'en vouloir, tu as fais ça pour sauvée ces personnes.
Regarde, tu crois que j'aurai bien fais de te laisser dans l'eau ? Moi je ne crois pas, je suis sur que j'aurais mal fais pour toi, et aussi pour moi."

Sakura avait dit ces paroles avec tendresse et voulais aidé Aiko malgrès qu'elle ne connaisse pas sont histoire. Elle sentait que la jeune fille n'avait plus confiance en elle. Sakura voulait, aussi, savoir pourquoi elle ressentait un besoin important d'aidé Aiko. Peut être cela allait changer leurs vie, au deux jeunes filles ? Sakura verra bien. Restant septique, sont visage redevenu normale et ses yeux brillaient grâce au soleil.

" - Tu sais, je ne veux pas te faire de mal. Mais j'aimerais savoir ton histoire et pouvoir t'aidée. Vraiment j'aimerais...Tu dois surement trouver ça très idiot donc bon."

Sakura baissa les yeux après ses paroles idiotes, se grattant la tête et en réfléchissant. ourquoi cette jeune fille et elle se rencontre dans ce moment là, pourquoi ? Pourquoi Sakura avait dit sa sans réfléchire ? Elle ne comprenait plus rien. A présent elle était perdu et se trouvais idiote !

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Une histoire ? Sakura voulait connaître une histoire… Quelle histoire ? Aiko n’avait pas d’histoire, et, si le thermes « histoire » voulait dire « passé », la jeune fille n’en parlerait pas a une jeune inconnue comme cela. Mais, il était aussi vrai que sakura procurait une chaleur vraiment chaleureuse dès qu’elle croisait le regard de la jeune fille. Aiko soupirât, déjà qu’elle avait froid, son cœur commençait a se tordre dans tous les sens sans aucune raison. Elle regardât le lac un petit moment puis Sakura après. Sakura aussi semblait avoir froid, normal, qui n’aurait pas froid quand il fait 10 degrés, vent du nord passant sur votre corps mouillé d’une eau glacée ? La jeune danseuse se relevât donc avec tant de bien que de mal, s’aidant de l’arbre a coté d’elle pour se tenir debout, puis elle s’approchât de sakura, l’entement et le regard vide d’émotion. On aurais pus croire que aiko allait frapper la jeune fille, tellement son regard était froid. Elle ne voulait pas la frapper, non, loin de là, elle ne voulait pas non plus la tuer, aiko n’aimait pas la violence. Non, ce geste qu’elle allait faire était un geste plus spécial, et, aiko elle-même n’en revenait pas de ce qu’elle allait faire. Mais… Mais elle ne pouvait pas s’en empêcher, elle ne voulait pas voir quelqu’un la sauver puis souffrir a sa place. Et puis… Et puis les bras de sakura étaient si doux… Aiko restât un petit moment muet devant sakura, puis la prit dans ces bras, essayant de ne pas perdre ces esprits à ce moment-là. Et, dès qu’elle sentit un léger contacte de sa joue avec la nuque de sakura, un doux frisson vint parcourir le corps de la jeune danseuse qui ne put s’empêcher de fermer les yeux à ce moment-ci. Elle se sentait mieux, personne n’avait froid et rien ne risquait de l’empêcher de rester comme cela. Elle se sentait si bien qu’elle en oubliait qu’elle prenait quelqu’un dans ces bras. La jeune fille ouvrit alors promptement ces yeux avant de déclarer, le cœur battant a vive allure et la voix mêlée d’un peut de stress :

« Heu… J… Je suis désolée… J’aurais dus vous prévenir… Mais vus que vous aviez froid et moi aussi… Je… Gomen… »

Déclarât-elle tout en se mordant la lèvre inférieure.

[post petit mais mon ordi fait des siennes -.- Desole]

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