Ayame Chihiro // Prise 2 [Terminée]

« Chihiro, Ayame »

'xxxxxIdentité.

• Âge : 18 ans • Classe : 2.B • Lieu de Naissance : Nagoya • Statut : Étudiante

'xxxxxDescription du personnage.

• Description caractérielle :
Jamais on n’eut pu voir quelqu’un d’aussi étrange qu’elle.
Bon peut-être. Mais il fallait bien que je commence par quelque chose.
Ayame n’est pas si étrange que ça en fait. Elle est juste différente. Alors gare à ceux qui oseront se moquer d’elle de par son caractère plutôt marginal. Donc, ça va comme suit.
Ayame trouve quelque chose d’intéressant partout. Chez les gens, chez les animaux, les objets, tout. Tout, sauf elle. Ce n’est pas pour rien qu’elle est la photographe et non pas celle qui est photographiée. Car oui, Aya’ a une grande passion pour la photographie. Ce qui fait que partout où elle va, elle traine toujours sa caméra avec elle. Par contre, ne vous en faites pas, elle n’est vraiment pas du genre paparazzi, préférant laisser leurs petits vices cachés aux autres. Pourtant, il n’en est pas moins qu’elle a ses propres défauts. Comme mentionné plus haut, la jeune femme a une très mauvaise estime d’elle-même, et ce même si elle a un potentiel énorme. C’est un être qui regorge de qualités mais qui a comme plus grand défaut celui de ne pas être en mesure de les reconnaître. Elle ne ce cesse malheureusement de se rabaisser et de ne pas prendre les compliments comme une certaine fierté mais plus pour de la pitié. Comme tous les humains, du moins, certains plus que d’autres, elle possède un défaut qui est plus ou moins admiré, l’orgueil. Ayame ne peut pas supporter que quelqu’un ait pitié d’elle et lui fasse des compliments simplement pour masquer son dégoût pour elle et pourtant, elle ne peut l’avouer à voix haute puisqu’elle a peur de perdre ce qu’elle trouvait intéressant chez cette personne. Pourtant, autant elle est capable de détester la pitié, autant elle est incapable de supporter qu’on lui reproche ses fautes. Donc, les commentaires à son propos, elle préfère ne pas les entendre.
Haha mais ce n’est pas fini. Il faut bien que je lui trouve des qualités.
Le fait qu’elle pense que tout est intéressant la rend très ouverte d’esprit. Elle n’est pas le genre de personnes qui juge une personne par son apparence. Elle est même du genre à trouver intéressant les gens avec un physique qui sort de l’ordinaire. De plus, elle apprécie le monde comme il est alors elle ne supporte pas les gens qui lui font du mal. Par contre, elle n’apprécie pas vraiment ceux qui tiennent à le changer. De plus, elle est toujours là, même si ça n’en a pas l’air, pour aider les personnes qui ont besoin de son aide. Sinon, elle est relativement honnête mais ne cherche pas à dire à voix haute ce qu’elle pense. Elle est aussi très généreuse et pense que tout le monde devrait pouvoir subvenir à ses besoins primaux.
Lorsque quelqu’un qu’elle aime ou à qui elle tient est en danger, elle devient une toute autre personne. Protectrice, voir même violente, elle n’hésitera pas à se lever pour les protéger, et ce même si cette personne a une stature plus imposante qu’elle. Sinon, en public, elle est très discrète et admire en silence les prouesses des autres gens – ou leurs disputes, c’est au choix. Pourtant, elle a un caractère aussi très maternel et dévoué, très douée en travaux pratiques. Seule, elle est sereine et calme, pas du genre à se changer les idées en allant faire du sport, elle préfère rester assise dans les escaliers et réfléchir.
Voilà ce à quoi ressemble Ayame dans la vie de tous les jours.

• Description physique et vestimentaire :
Rares ont été les gens à tourner la tête lorsqu’elle passait près d’eux
Rares ont été les gens à se rappeler d’elle lorsqu’on mentionnait son nom
Et pourtant, elle existe bel et bien.
Ayame fait partie de la race humaine, elle est de sexe féminin et son groupe sanguin est qualifié comme était B positif et elle n’a aucune allergie apparente. Ah…vous parliez d’une description plus évidente ?
Ayame est donc une fille qui passe assez inaperçu. Elle n’a pas de physique extravaguant, ni de particularités qui pourraient choquer certaines personne, elle est juste une fille bien normale en apparence. De taille moyenne, justement, elle ne se démarquera pas de la masse par sa grandeur. Sa silhouette est fine et paisible, sans collines, si vous voyez ce que je veux dire. Elle n’a pas non plus une carrure des plus imposantes. De plus, elle a la peau blanche. C’est donc encore raté de ce côté-là puisqu’elle se fond parfaitement à la masse. Ses cheveux sont de couleur noire et ses yeux sont verts. Aucune couleur exotique qui pourrait susciter un quelconque intérêt. De plus, son style est plutôt sobre. Elle préfère la plupart du temps rester au naturel et ne pas se démarquer avec un style de vêtements particulier. Généralement, elle porte des jeans. Pour la voir porter une jupe, néanmoins, il faut lui tordre un bras et passer par-dessus son orgueil démesuré car autrement, c’est impossible. Sauf bien sûr s’il s’agit d’un uniforme. Sinon, elle s’en tient aux pantalons puisqu’elle les trouve plus confortables. Elle ne porte ni bijoux ni maquillage. Donc on la prend au naturel ou on la laisse tranquille. C’est compris ?

• Histoire :
Contrairement aux gens qui se rendent intéressant grâce à leur passé noueux et plein de mésaventures, Ayame ne parle pas souvent de la vie qu’elle menait, et celle qu’elle mène en ce moment à Shimizu. Pourtant, c’est peut-être ce qu’il y a de plus intéressant chez elle. Par contre, ce n’est pas sa naissance entant que tel qui est très passionnante. Comme toutes les fois où une mère veut un enfant, celle-ci doit passer à travers plusieurs épreuves. Notamment, on a les nausées, la fatigue, les coups de pieds dans le ventre et finalement, le moment crucial, l’accouchement. Par chance, si vos parents sont comme ceux d’Ayame, ils ne se sont pas mis d’accord sur le fait que le père devrait filmer toute la scène et donc, vous n’avez pas vécu ou ne vivrez pas le supplice de devoir regarder cette cassette en fouillant dans vos souvenirs de jeunesse. M’enfin. Je m’égare. Donc une fois toutes ces épreuves passées, vous vous retrouvez avec, dans les bras, un petit poupon tout gris et dégoulinant qui arrive à peine à respirer et qui gigote dans tous les sens en poussant des hurlements à vous déchirer les tympans. Petite note : pour que ce petit être gris prenne des couleurs rosées, ne cherchez pas à faire comme pour les flamands roses. Les crevettes peuvent être dangereuses pour les enfants de cet âge. Bref, dans le cas de ses parents, la chose a fini par grandir pour devenir une jeune fille pimpante aux yeux brillants de vie. Cette petite fille adorable aux cheveux de jais avait tout pour plaire. Une attitude polie et délicate, un air innocent à faire craquer, tout. Comment ce petit ange a pu devenir le simple humain qu’elle est à présent ? C’est ce que plusieurs se demandent. En fait la raison est simple. La passion s’en est allée, le père d’Ayame a quitté la maison familiale, laissant derrière lui la mère et sa fille. Par contre, la mère en question n’était pas très patiente, avec sa fille.

« Petite idiote ! Je t’avais pourtant demandé de fermer le feu !
- Désolé, maman…
- Tu te rends compte que notre maison aurait pu brûler ! Nous nous serions retrouvées à la rue ! Ça t’aurait plu, ca ?
- Non.
- Tu recommences ça une autre fois et je te fous à la porte, c’est compris ?
- Oui. »

C’était comme ça pour toutes les bévues qu’elle commettait. Ce qui mena Ayame à ne pas chercher à se faire choisir, à l’école, pour aider les gens. Elle avait peur de ne pas être à la hauteur. C’est aussi ce qui la mena à regarder sans rien dire, à laisser les gens aller à leur propre perte sans qu’elle intervienne pour les sauver. À la maison, ça allait de mal en pis. Dès qu’elle ne faisait rien, sa mère la couvrait d’insultes, lui reprochait qu’elle ne faisait rien pour l’aider et lorsqu’elle essayait de mettre la main à la pâte, elle tapait dessus avec ferveur, lui reprochant qu’elle ne faisait pas les choses comme il le fallait. Bref, de quoi rendre dingue une personne qui vit jour et nuit avec une personne de ce genre.

Un jour, alors qu’elle regardait par la fenêtre l’air absent, la jeune fille âgée de 15 ans à l’époque aperçut, s’approchant de leur demeure, deux agents de police – car oui, ils sont toujours deux. C’est un classique. Ils viennent toujours à deux. Le bon et le mauvais flic qui viennent soit vous faire subir un interrogatoire, soit vous annoncer une nouvelle terrible.

« Ayame ! Lui avait crié sa mère de la cuisine. Va ouvrir la porte si tu es encore digne de le faire !

D’un pas lent, elle s’exécuta. La porte s’ouvrit sur les deux policiers qui baissèrent les yeux sur elle. La jeune fille ne broncha pas, même si elle était un peu étonnée de voir deux agents débarquer chez elle. Soudainement, on vit la tête de sa mère apparaître dans le cadre de la porte de la cuisine. Celle-ci fronça les sourcils et vint rejoindre sa fille dans l’entrée pour s’apprêter à lui donner une sacrée correction. Pourtant, juste au moment où elle allait ouvrir le bouche, un des officiers leva la main pour la faire taire. L’autre se tourna vers Ayame. C’était une femme au sourire chaleureux et au regard tendre. Le gentil flic.

- Ayame Chihiro ? Demanda-t-elle alors que la jeune fille hochait la tête d’un air hébété. J’ai quelque chose d’un peu délicat à t’annoncer. Ton père…
- Est décédé, termina l’autre officier de manière brutale.
- Ce que nous essayons de te dire, dit le gentil flic en gratifiant son coéquipier d’un regard noir avant de reposer son attention sur Ayame, c’est que ton père est mort dans un accident de voiture et que, selon des témoins, cet accident aurait été volontaire.

Ayame sentit les larmes lui piquer les yeux. Un suicide ? C’était impossible. Les yeux écarquillés, elle regardait la policière, la suppliant du regard de lui annoncer que c’était une mauvaise blague et qu’elle était la victime d’une nouvelle émission télévisée. Oh et qu’elle recevrait une télé à écran plat pour la consoler. Pourtant, cette annonce ne vint pas. C’était donc vrai…

- On a retrouvé ceci sur le corps, fit la femme en lui tendant une lettre. L’enveloppe était quelque peu jaunie et il y avait des taches de sang dessus. Normalement, on aurait du la garder comme pièce à conviction mais comme il y a ton nom dessus, on te la remet… »

Elle n’eut même pas le temps de terminer sa phrase que déjà la jeune fille avait empoigné la lettre et était partie en courant vers le jardin pour se réfugier sous un arbre, loin de cette maison du démon. D’un geste vif, elle décacheta la lettre. Une clé tomba sur ses genoux mais elle n’y prêta pas trop attention, trop occupée à essuyer ses larmes pour mieux voir la lettre. Elle reconnaissait bien l’écriture en pattes de mouches de son père qui était impossible à déchiffrer, sauf par sa fille.

« Ayame.
Ma tendre enfant. L’être que je chéris le plus au monde.
Je crois que tu es assez vieille pour comprendre ce qui est vraiment arrivé.
Je vous ai laissés, ta mère et toi pour une seule et unique raison. Je voulais refaire ma vie. J’ai cru après ta naissance que je venais de faire une énorme bévue. Je voulais voir ce qu’aurait été ma vie si je l’avais faite différemment. J’ai donc tout plaqué pour aller vivre dans l’anonymat, dans une autre ville. Je me suis fait beaucoup d’argent entant que promoteur et je croyais ma vie passionnante. Jusqu’à ce que je revienne à la maison pour m’arrêter sur le pas de la porte, te voyant par la fenêtre te faire ridiculiser par ta mère. Tes yeux verts inondés de larmes m’ont fait réaliser à cet instant que je venais de gâcher vos vies, et la tienne en particulier pour mon bon plaisir. Pour avoir une vie meilleure. Je me suis rendu compte que ma vie n’aurait pu être mieux qu’avec vous, les amours de ma vie.

J’en suis donc venu à une simple conclusion. Il fallait que je m’enlève la vie pour réparer mes erreurs. Ainsi, j’ai flambé tout mon argent dans une maison tout près de la maison familiale, mais assez loin pour que tu puisses fuir. Fuir tes problèmes, fuir ta mère, ton courroux. Cette maison te reviendra officiellement à tes 18 ans comme part de l’héritage. En attendant, tu peux aller la visiter mais tu ne pourras t’y installer avant cet âge. De plus, je t’ai inscrite au lycée Shimizu. Là, tu pourras dormir au pensionnat. Ne t’inquiète pas pour ta mère. Elle comprendra et paiera bien vite ses fautes. Je veux que tu sois heureuse, Ayame. Vis ta vie de manière la plus heureuse possible et si tu doutes, regarde le ciel, j’y serai pour te guider.

Ton père qui t’a aimé, qui t’aime et t’aimeras toujours. »

C’est après cet épisode que sa vie a changé à tout jamais. Elle est partie de la maison à l’aube après avoir fait sa valise et a laissé un mot sur la table de la cuisine disant qu’elle parait pour l’école. Une vraie école, cette fois. Pendant trois ans, elle a vécu au pensionnat du Lycée Shimizu, pensant de temps en temps à sa famille, à son défunt père. À maintes reprises, elle a regardé le ciel et c’est ce qui l’a aidé à continuer jusqu’à ses 18 ans. L’année fatidique où elle reçu enfin le droit d’emménager dans sa maison, dont elle avait précieusement gardé la clé. C’était une demeure énorme. Tellement énorme qu’elle ne pouvait concevoir y vivre toute seule. Heureux hasard, enfin, pour elle, puisqu’un jour, elle tomba sur une petite fille qui traînait dans les rues. Cela faisait plusieurs jours qu’elle trainait là et elle avait depuis longtemps compris que cette enfant fuyait sa demeure. Elle commença donc à prendre sous son aile des enfants qui fuyaient leurs domaines familiaux pour toutes sortes de raisons. Elle croit qu’en aidant ces jeunes, elle pourra oublier les douleurs qu’elle a vécues chez elle par le passé.

• Raison de votre arrivée à Shimizu : L'arrivée d'Ayame à Shimizu, comme mentionné plus haut, est du à la mort de son père qui, au fond, ne voulait que le bien-être de sa fille et qui décida de l'arracher aux infâmes griffes de sa mère, qui n'était qu'une vieille femme aigrie et malpolie. L'inscription à cette école était en quelque sorte pour fuir le courroux de sa mère, et semblerait que ça a marché...

'xxxxxAutre.

• Depuis combien de temps faites-vous du RP ? Depuis assez longtemps pour vous dire qu'il y avait bel et bien un forum rp sur Neopets, avant! (5 ans à peu près)
• Comment avez-vous connu le forum ? J'avais ce personnage il y a un bout de temps...Je veux le rejouer ^^
• Avez-vous un double compte ? non
• Personnage de votre avatar ? Kuchiki Touko (Manga/anime: Kara no Shojo)
• Quel est le code règlement ? Code OK by Aka
• Autre: L'avatar et la signature arriveront sous peu. Je peux faire plusieurs choses en même temps mais il y a des limites xD