House+music+nature=Paradise ( PV Saeko Shizue )

House se sentait bien ce matin, aucune raison particulière. Ou plutôt si, il avait bien dormit. Il allait avoir une bonne journée, sa jambe, surtout sa jambe ne lui faisait pas mal. Il avait regarder par la fenêtre de son logement, grand soleil dehors, c’était le temps de sortir du lycé et de se promener dans les bois avant qu’il soit obliger d’aller en direction du cours de chant. Pour les vêtements il mit son choix sur une paire de jeans bleu pâle, de la même couleur que ses yeux presques, il était effiloché un peu à la base mais il s’en fichait, il n’était pas là pour faire le cocquet. Il fit son choix sur une chemise blanches de lin, il n’en attacha que 5 boutons, laissant la moitié de son torse à découvert, il l’attacherait plus avant d’aller en cours c’est tout. Il jeta un coup d’œil dans le miroir, bon c’est vrai, sa faisait 5 jours qu’il ne c’était pas rasé et sa paraissait. Après avoir revêtu ses bottes de moto et cuissard de cuirs par dessus il passa une main dans ses cheveux pour les démèler puis sortit en cou de vent de son habitation canne et casque de moto à la main.

Une quizaine de minutes plus tard il arriva proche du bois qu’il voulait se diriger. Il débarqua de sa moto, pour reprendre la canne qui était accroché dessus. Boitillant il s’enfonça dans les bois ayant enlever son casque et mit des lunettes de soleil pour se protèger des éclats ravissant de celui-ci. Personne donc il pouvait s’amuser comme il le voulait ici. À peine entrer dans les bois il se mit à chantonner. Ici il pouvait être le vrai lui, plus besoin d’être froid, insensible, personne le voyait ou l’écoutait. Après une trentaines de minutes de marche il trouva une petite clairière avec un rocher et un ruisseau au pied de celuic-i. Parfait, endroit de rêve pour se défouler. Il laissa le casque de moto et sa canne au pied du rocher et tenta de l’escalader un peu maladroitement car sa jambe droite ne lui était pas d’un grand support.

*Je suis bordelement con mais sa me tente ce matin, pourquoi pas!*

Une fois sur le rocher il essuya ses mains remplies de petites roches et reposa son menton au creux de ses mains. Après un temps de contemplation il posa ses mains sur le rocher levant le visage au ciel contemplant les nuages. Il voulait chanté, encore, maintenant il sentait sa voix dans ses poumons qui semblait lui dire, cri, chante Gabriel, chante à t’étourdir. Gabriel sortit un harmonica de ses pantalons puis souffla quelques notes au hasards pour se dégourdir les doigts. Puis finalement se fu des accords et une mélodies de blues s’en échappa, une qui donnait le goût de danser, de bouger., du moins sa la donnait à Gabriel sa c'était certains.

J’aime bien tes cheveux, j’aime bien tes tatouages,
J’aime bien tes bas déchirés, j’aime bien ton air sauvage.
Embrasse moi sur ma bouche. J’aime ça.
Je suis hootchie kootchie pour toi.

Quand je t’ai vu dans la rue ça ma fait un vilain coup,
Ça m’a percé le nez avec des nouveaux trous.
Embrasse moi sur la bouche. J’aime ça.
Je suis hootchie kootchie pour toi.

Quand je te prends dans mes bras,
Quand on fait l’amouuuuuuur.
Ça me fait comme si j’pourrais jouir pour toujours.
Viens t’en par ici, chérie, approche toi.
J’esprére que t’es aussi hootchie kootchie pour moiiiiii.

AAAAAAA yeahhhhhhhh!!!!

Et il dansait un peu bougeant ses hanches et ses pieds au rythme de la musique qu’il jouait. Gabriel était carrément emporté par sa musique, même un peu trop. Chaque paragraphe était entrecoupé de la musique de Gabriel qui se faisait de plus en plus insistante, emporté dans sa passion de la musique il c’était levé debout et maintenant il achevait les dernières notes puis ouvrit les yeux incertains de son équilibre sur ses jambes.

Wow wow grand fou on se caaaaalme! WAOOOOOU!

Il avait maintenant un bras de chaque côté du corps se balançant dans le vide, non il ne fallait vraiment pas qu’il chute. Sa jambe droite le supportait très mal il savait que si il n’agissait pas rapidement il risquait de se fraccaser le crane sur la roche. Son pied gauche glissa, sa main gauche lâcha son harmonica qui tomba sur la pierre, sa main droite attrapa une roche au dessus de sa tête et son dos penchait vers l'arrière. Ses lunettes de soleil tenait sur son nez mais pouvait tomber un peu n'importe quand à vrai dire.

* Bon... est-ce que le ridicule tu House? Maintenant je vait pouvoir dire OUI.*

Il crut entendre des feuilles bougé, il ne manquait plus que sa. soit quelqu'un se tordait de rire ou bien un... animal?

* Je me demande vraiment lequel serait le pire. *

Son visage ne souriait plus dans ses yeux un air de peur se peignit.

Si c'est un animal arrête de me reluquer et viens me bouffer fait moi pas attendre c'est pas poli!

Il fi une tentative de reprendre son équilibre en attrapant la branche de la main gauche mais n'y arriva pas et sentit sa main droite glisser un peu. Avec justesse il preit sa prise. D'une voix étouffé il parla de nouveau avec un peu de peur qi commençait à aller dans sa voix sentant une vague de douleur se diriger vers sa jambe droite. Il grimaça et parla avec difficultée.

Si c'est quelqu'un aider-moi s'il vous-plaît! Ma jambe elle...!

[Je croyais que tu n'était pas trop pro en RP *.*]

]Saeko venait d'arrivée en ville. Elle n'avait pas encore commencé son travail de Surveillante et se posait des tas de questions à ce sujet. Comment devait-elle être avec les élèves. Sûrement pas une bonne copine en tout cas. Mais, une personne sur qui l'on pouvait compter en cas de problèmes. Elle dirait ce qu'elle pense comme à son habitude. Que cela plaise ou non. Le plus simple était d'être elle-même. Mais, qui était-elle ?

Elle se mit alors à repenser à ses années lycée lorsqu'elle était élève. Elle n'était pas très jolie fille à cette époque et en était encore persuadée aujourd'hui. Du coup, elle n'importait aucune importance aux garçons, elle ne prenait pas soin d'elle. Ca, s'était plutôt son amie qui s'en chargeait. C'était l'élève féminine de base du lycée. C'est-à-dire: mauvaises notes, bringues tous les soirs et garçons. Saeko l'écoutait piaillée tous les jours lors des récréations et même en cours parfois. Sachant pertinemment que Saeko s'intéressait au cours. Heureusement Saeko connaissait un endroit au lycée au calme, oui, ça existe, où elle pouvait dessiner, travailler en paix. Elle n'y allait pas souvent, car elle savait que son amie avait besoin de quelqu'un à qui parler. S'il y avait quelque chose qu'on pouvait reprocher à Saeko, ce n'était pas son manque d'écoute. C'était une sorte de psychologue. On pouvait dire que Saeko était une bonne élève et son amie le lui reprochait souvent. Il fallait "qu'elle se lâche plus" lui disait-elle. Mais, après tout, ce n'était pas sa faute si elle voulait avoir un bon avenir. Si elle n'avait pas fourni tout ce travail, elle serait surement caissière dans un super marcher au lieu d'être ici avec un but pour plus tard.

*C'est sûrement ce qu'est devenue Liliane, ma chère amie ... Tant pis, c'est pas faute de l'avoir prévenue. *

Enfin, après s'être remémoré des souvenirs ... peu glorieux, Saeko sortie du lycée où elle avait fait une brève apparition. Le lycée était immense bien sûr. Elle ne parla à personne, elle ne voulait pas y rester longtemps. Elle préférait se balader au grand air et découvrir les alentours d'elle-même. Vêtue de sa jupe, d'un débardeur et de ses bottes de motard noir, elle arpentait la ville. Elle aimait ses bottes. Elle trouvait qu'elles faisaient motard, car elle était assez épaisse. Mais, Saeko savait qu'elle ne pouvait pas rouler avec: elles avaient des lacets. Elle aimait penser au pire, c'est-à-dire dans ce cas-là, que les lacets se prenne dans un des mécanismes de la moto et fasse tout dérailler.

Elle marchait donc, tranquillement, sans se presser. Elle n'aimait pas trop la ville et préférait largement les endroits naturels, au calme. Mais, ne connaissant pas cette ville, elle ne savait pas trop où aller pour trouver son bonheur. Elle se laissa donc guidé parce que l'on pouvait appeler de l'instinct. On aurait dit une gamine avec sa jupe. Mais, elle s'en fichait. Elle n'était pas vraiment sortit de cet esprit d'enfant. Elle adorait rêver sous les étoiles, rire lors d'une scène embarrassante. Elle était tout de même jeune après tout ! Pour 23 ans, on pouvait garder son âme d'enfant. Elle l'abandonnerait sûrement au fur et à mesure. Elle savait tout de même être sérieuse lorsqu'il le fallait. A force de penser en marchant, elle se retrouva sur un chemin menant tout droit dans une forêt. C'était l'endroit rêvé non si on cherchait un endroit tranquille. Bien que ses endroits de prédilection était plutôt les endroits perchés en hauteurs comme des toits ou à la cime des arbres. D'ailleurs, c'était là qu'elle allait lorsqu'elle voulait être tranquille au lycée: sur le toit. Elle aimerait bien retrouver cette sensation de solitude et de tranquillité au lycée.

Elle commença donc à suivre le chemin, en sautillant. A mesure qu'elle avançait, les arbres se faisaient plus nombreux et, on pouvait distinguer le bruit de l'eau qui coule. Saeko se fia donc à ce bruit et décida d'en trouver la source. Elle marcha assez longtemps avant de trouver. Bien sûr, elle avait fait quelques poses pour admirer ce qui l'entourait. A son entrée, on sentait une petite brise, mais, là où elle se trouvait actuellement, il n'y avait plus rien. On voyait de si de là le ciel. Elle entendait par moment une sorte de musique, mais, elle croyait délirer.

Elle finit enfin par trouver le ruisseau d'où provenait l'eau. Elle regarda ensuite le grand rocher qui se trouvait à côté.

*Je n'avais donc pas rêvé alors*

Elle trouva alors, par la même occasion, le musicien ... Il demandait quelque chose. Saeko s'en approcha alors et vit la situation dans lequel il se trouvait. Que pouvait-elle faire ? Elle examina la situation puis décida de grimper en haut du rocher pour l'aider au mieux. L'escalade se passa sans encombres. Une fois arrivée en haut, elle s'approcha du bord puis voyait alors la situation d'une nouvelle façon. Elle pouvait l'aider. Elle lui tendit sa main, sans un mot. Maintenant, il faisait ce qu'il voulait. Elle ne connaissait personne ici et donc lui faisait partit du lot. Elle ne connaissait pas son caractère alors.

*Qui sait comment il réagira ...*

[Désolé, j'ai écrit des trucs pour ne rien dire --']

( Je me suis enflammé pour le premier post sa devrait se calmer mdr / Tututu ton post est super )

Tandis qu'il essayait de reprendre son équillibre il eu la chance de voir une silhouette s'approcher et finalement une femme qui se mit devant lui, lui tendant la main. Il cligna des yeux quelques fois pour être certains que ce n'était pas de la rigolade. Sa main qui ne tenait pas la branche aggrupa son poignet tentant de ne pas la tier contre lui mais plutôt de reprendre son équilibre. L'air de peur dans ses yeux se métamorphosa en soulagement dès qu'il sentit la main de l'inconnue dans la sienne et son pied gauche toucher le rocher de nouveau. Il poussa un soupir de soulagement et passa sa main dans ses cheveux remontant les lunettes pour qu'elle puisse voir ses yeux. Un énorme air de reconaissance passa dans ceux-ci.

Merci.

Il lâcha la main de la jeune femme et s'assit pour reprendre son harmonica. Quelques spasmes firent trembler sa jambe droite quelques secondes tandis qu'il la massait. Ensuite il souffla quelques notes dans l'harmonica puis releva le visage vers la demoiselle. Gabriel regardait la façon que cette dame s'habillait, elle avait son style, certains. Il tapota la roche à côté de lui.

Assoyez-vous si vous le voulez, disont que j'était... emporté par ma musique.

Il ne pu s'en empêcher et joua encore un peu de l'harmonica un air un peu triste puis le déposa sur ses cuisses, regardant le ciel puis l'inconnue en alternance puis soudainement éclata de rire.

On dit que le ridicule ne tue pas, j'en suis incertain, si les élèves m'avait vu... Vous aller bien ma sauveuse d'un jour? Gabriel House, enchanté!

Il tendit sa main, pour la serrer en guise de salut cette fois-ci.

[Ha ok xD/ Merci =D]

Saeko le laissa faire. Elle se contenta de rester sur le rocher, les pieds solidement fixés au sol. Il ne fallait pas qu'elle tombe. Cela aurait été fatal autant pour elle que pour l'inconnu. Il attrapa finalement sa main. Tant mieux, ça prouve que ce n'était pas un suicidaire au moins. Lorsque Saeko vit le deuxième pied de l'inconnu toucher enfin le rocher, elle fut soulagée. Elle poussa d'ailleurs un long soupir de soulagement. L'inconnu la remercia alors. Elle lui sourit, elle était incapable de parler, il fallait qu'elle reprenne ses esprits avant. Il l'avait remercié, mais, c'était normal, qui l'aurait laissé comme ça ? Ce qui avait le plus étonner Saeko était le sang froid dont elle avait fait preuve. Jamais elle ne se serait cru capable d'aider quelqu'un en réel danger. Cela ne serait d'ailleurs jamais arrivé si elle n'avait pas été embauchée dans ce lycée. Et que serait-il arriver au Mister l'inconnu alors ? Elle n'en savait rien, mais là, elle ne préférait pas imaginé le pire, c'est plus prudent. Elle scrutait la forêt du regard tendit que l'inconnu s'occupait de sa jambe. Elle regardait les arbres puis baissa les yeux et regarda alors au pied du rocher. Elle aurait sûrement ri de cette situation plus tard, en y repensant. L'inconnue souffla dans son harmonica. Saeko eu un haut le coeur. Ça l'avait sortit de sa rêverie. Elle mit une main sur son coeur comme pour voir s'il battait encore. Et, c'était le cas. L'inconnu lui proposa de s'asseoir. Puis ria aux éclats. Elle le regarda alors lorsqu'il se présenta. Il était donc professeur si elle avait bien compris. D'ailleurs, y avait-il plusieurs lycées dans cette ville ? Parce que, si cela n'était pas le cas, ils se croiseraient surement au lycée Shimizu. Qui peut le dire ...

Elle serra sa main puis vint s'asseoir à ses côtés. Elle regardait la cime des arbres. Elle n'oubliera jamais cet endroit et encore moins la scène qui y avait eu lieux. Elle aurait aimé voir la tête de ses parents lorsqu'elle leurs raconterait. Allait-elle leur dire ? En y réfléchissant, peut-être que non. Elle tourna alors son visage vers Gabriel House puis lui dit avec un sourrire:

Vous n'êtes pas obligé de vous justifier ^^

Il faisait ce qu'il voulait. Il était majeur et vacciner, enfin, il n'avait pas à se justifier pour une inconnue. "Le ridicule ne tue pas". Encore heureux. Sinon, Saeko serait sûrement déjà en train de manger les pissenlits par la racine. Rien que la façon dont elle était habillée était ridicule. Mais bon, c'était juste pour un jour. Demain, elle serait peut-être plus présentable. Et puis, elle s'en fichait. Ce qui est fait est fait. Elle regarda de nouveau Gabriel puis se présenta à son tour avec un sourire.

Encore heureux que ça ne tue pas, sinon, je serais déjà morte. Saeko Shizue.

Elle inclina la tête. Elle avait pris l'habitude de s'incliner et elle ne savait pas pourquoi. C'était peut-être une question de politesse. Nan, sinon, elle ne le ferait pas pour rien. S'incliner lui servait aussi à cacher son visage lorsque ça n'allait pas, qu'elle rougissait ou des choses de ce genre. Ridicule ... Elle repprota son regard sur ce qu l'entourait, elle était émerveiller. Pus lui posa une question.

Vous êtes professeur donc ?

C'était pour juste histoire d'être sûr qu'elle avait bien compris.

La jeune femme semblait silencieuse pour l'instant mais sa ne dérangeait aucunement House. Il savait parcontre que maintenant il faudrait qu'il modère sont envie musicale devant la jeune damoiselle. Car, dans le fond, il était venu dans les bois pour le silence et le calme, il n'y faisait que du bruit depuis qu'il était arrivé. Il rangea son harmonica dans un petit étui de crui qu'il attacha après sa ceinture. Voilà une chose de fait. Il l'observa un moment après s'être occuper de sa jambe, il sortit un petit pot et prit une pilule qu'il avala directement sa liquide pour le ranger de nouveau dans ses poches, voilà d'ici quelques minutes il n'aurait plus mal.

Il se frotta la nuque , tout une aventure pour débuter un matin sa. Personne à qui la compter, mieux comme sa non?

*Un autre accident de House à rajouter dans le répertoire, jeuresement plus discret que celui dans le cours de Graphisme, c'était quoi l'idée aussi de le pousser alors qu'il avait peu d'équilibre? Bof... l'élève ne pouvait pas le savoir.*

Encore heureux que ça ne tue pas, sinon, je serais déjà morte. Saeko Shizue.

Sur cette parole House s'inclina la tête aussi par politesse et sourit un peu regardant les alentour les mains sur la roche lui permettant de pencher son dos par derrière et d'essayer de voir la cime des arbres et quelques bout de ciel, tout en écoutant le clapotit du ruisseau. La voix de Saeko le sortit de son état de contemplation. Il se retourna la tête vers elle et sourit avec un air coquin, comme quelqu'un qui allait dire un grand secret, ce qui n'était vraiment pas le cas.

Je suis Sen, pas encore eu le sei pour être appeler Sensei. J'ai eu un diplôme de barman avant, j'ai fait mon argent, maintenant je suis stagiaire pour un an , examens finaux et je serait prof de chant. Je suis au Lycée de Shimizu.

Il regarda autour et entreprit une respiration plus lente, les yeux fermé. Il était calme, relaxe, bien, simplement lui. De nouveau il setourna le visage pour la regarder dans les yeux.

Et vous, Miss Shizue?

Il rabaissa son regard sur lui-même et se rapella que sa chemise était presque déboutonnée au complet. Gabriel replia sa jambe gauche vers son torse et appuya son menton sur son genou. Il se mordit l'intérieur de la joue un peu gêné pour reprendre un visage normal et une position assise plus confortable reportant son attention au paysage et Saeko.

Oh et puis, on s'en fou, je suis pas dans un internat! Tant que je rentre pas en cours comme sa sa va.

Il admirait silencieusement les alentours tentant de ne pas trop regarder Saeko car il ne voullait pas pas la gener, mais quand il lui parlait, son habitude lui revenait, il la fixait dans les yeux, les plongeant dans les pupilles, comme si c'était quelqu'un qu'il conaissait depuis toujours. C'était probablement une mauvaise manière mais... ne s'en était jamais défaite, il le voulait pas vraiment non plus.

*Les yeux c'est un bon langage, que ... je connait.*

Mais comme vous avez peut-être entendu je joue de l'harmonica... j'espère ne pas avoir trop fait peur aux animaux, j'aime bien être ici pour jouer ou chanter... je me sent... plus... vrai? Vous comprenner?

Saeko était bien ici. Elle trouverait toujours un endroit bien, du moment qu'elle pouvait voir le ciel et le contempler. Mais, c'est sûr qu'entourer d'arbre, c'était beaucoup plus plaisant. Et, cela donnait un effet plus isolé. Cet endroit était un petit paradis. C'était l'effet que donnait le ruisseau en bas du rocher. Il y avait tout ce dont on pouvait avoir besoin. Après s'être présentée, Gabriel inclina aussi la tête. Il n'avait pas l'air méchant. Mais bon, il ne fallait jamais se fier aux apparences. C'était ce que Saeko pensait à propos des gens. Ne pas s'attarder sur les premières impressions et encore moins sur le physique des gens. Que devait penser alors les gens qui la voyaient pour la première fois ? Que c'était une gamine ?

*Sûrement !*

Mais, Saeko avait pour habitude de ne prêter aucune importance à ce que pensait les gens. Elle faisait ce qu'elle voulait, comme elle le voulait, quand elle le voulait et comme elle l'entendait. Elle n'aimait pas écouter les "on dit". Elle croyait à ce qu'elle voyait et non pas à ces rumeurs hypocrites que les jeunes demoiselles adolescentes se plaisent à lancer. Même lorsqu'elle était elle-même élève au lycée, elle n'y prêtait aucune attention. Et puis, le principal vice de l'humain de base était le mensonge et l'hypocrisie. Saeko était bien au-dessus de ça heureusement pour elle. Même lorsqu'elle était adolescente, elle était très mature. C'était son principal défaut d'ailleurs à cette époque, en excluant bien sûr son isolation sociale.

Comparer à la Saeko adolescente, la Saeko adulte était plus ouverte aux nouvelles rencontres. Bien que, cela la gênait toujours un peu. Ses petits boulots de serveuses qu'elle avait fait jusqu'à maintenant l'avait bien aidé pour son insertion sociale. Gabriel répondit à sa question.

Je suis Sen, pas encore eu le sei pour être appeler Sensei. J'ai eu un diplôme de barman avant, j'ai fait mon argent, maintenant je suis stagiaire pour un an , examens finaux et je serait prof de chant. Je suis au Lycée de Shimizu.

Il avait un assez bon parcourt professionnel. Elle n'était pas aussi expérimentée que lui. Mais, il avait l'air tout de même plus âgé. Et puis, elle ne se voyait pas faire autre chose que Graphiste dans les jeux vidéos alors, elle n'avait pas tentée de grimper dans l'échelle professionnelle de l'univers des restaurants et autres fast-food. Elle s'arrêta alors sur la dernière partie de sa réponse: "Lycée de Shimizu".

*Quoi !?*

Il enseigne donc là-bas... Apparemment, il y avait donc bien qu'un lycée dans cette ville. Ils seront donc amenés à se revoir. Sauf si les Surveillants et les Professeurs ne se croisaient jamais dans les couloirs ou ne sollicitaient pas d'aide les uns des autres. Enfin, elle verra bien. Comment devrait-elle réagir au fait si par hasard ils se croisaient ? De toute façon, Gabriel l'airait sûrement oubliée. Il lui retourna alors la question. Saeko lui répondit, le plus simplement possible.

Je suis Surveillante dans ce même lycée justement ^^ Enfin, je viens d'arrivée.

Saeko n'avait pas fait attention à la façon dont était habillé Gabriel. Ce n'était pas elle qui allait faire une remarque sur l'attitude vestimentaire des gens. Et puis, ça ne la dérangeait pas. Elle remarqua qu'il avait toujours tendance à regarder dans le fond de ses yeux. Cela ne la dérangeait pas, enfin, elle s'y était habituée. C'était bête de dire cela vue qu'elle ne le connaissait que depuis quelques minutes. Mais, c'était vrai. Au début, ça la gênait un peu. Mais, elle le faisait aussi de temps en temps alors, elle ne lui en voulait pas.

Mais comme vous avez peut-être entendu je joue de l'harmonica... j'espère ne pas avoir trop fait peur aux animaux, j'aime bien être ici pour jouer ou chanter... je me sent... plus... vrai? Vous comprenner?

S'il voulait être professeur de chant, la musique devait être sa passion. Et, grâce à celle-ci, on pouvait vraiment être qui on est. Elle le savait, cela faisait pareille chez elle mais, avec le Dessin. Saeko acquiesça en le regardant dans les yeux à son tour. Avec un sourire aux lèvres.

Oui, je comprends.

Saeko n'était pas très bavarde, ou du moins, elle ne savait pas faire la conversation aux gens. Elle se contentait de répondre à leurs questions ce qui n'était pas très facile pour les personnes qui la côtoyaient. Elle leva enfin ses yeux vers le ciel. Il était bleu avec quelques nuages blanc qui s'y baladaient.

Oula, pas facile d’être surveillant, vous avez du cran Miss.

Je risque d'apprécier sa compagnie si elle est vraiment comme sa moi. Devait-il ou non ? Pourquoi pas, il s’étira les jambes, les bras, crispa et décrispa les muscles de ses mains et s’étendit sur la roche en soupirant d’aise. Il ferma les yeux et mit ses mains derrière sa tête pour ne pas l’avoir sur la roche. Il laissa quelques minutes passé. Finalement quelque chose attira son attention. Un joli petit rossignol caché dans les branches avait recommencé à chanter. Il s’adressa de nouveau à Saeko mais en murmurant cette fois.

Venez, étender vous sur la roche je veut vous montrer quelque choses !

Il se releva légèrement le haut du corps puis fit une petite pression sur le bras de Saeko avant de reprendre la position couché qu’il avait. Il mit ensuite un doigt sur la bouche de Saeko tout en souriant. Après quelques secondes il reprit la position couché exacte qu’il avait auparavent et tendis l’oreille puis observa de nouveau les arbres frénétiquement. Il prit le poignet de Saeko délicatement puis l’étendit vers le haut le guidant de sa mains. Ensuite il reprit la parole tout en chuchotant.

Ici, un rossignol, un Urugui. Presque beige, avec le ventre jaune, vous le voyez ?

Un grand sourire orna son visage. Ce n’était pas si mauvais que sa de parler à quelqu’un finalement. Je suis très content que ,est pas une bête mais plutôt une collègue qui aille été dans le coin. Il prit une grande inspiration et se rendi compte qu’il tenait toujours le poignet de la jeune femme. Il le relâcha puis déposa ses main sur son torse, continuant d’observer l’oiseau qui chantait.

Le jour ou je parviendrait à chanter comme un rossignol j’aurait atteint mon but, sa sera le plus beau compliment que quelqu’un pourrait me faire je croit .

Il rit un peu continuant à regarder l’oiseau profitant de chaques secondes de sa vision. Il parla de nouveau à Saeko mais pas très fort afin de pouvoir continuer à entendre les oiseaux, et, plus spécifiquement le rossignol.

Mais... pourquoi vous dites que vous serier morte à cause du ridicule? Si je peut demander bien sûr.

Cela la fit sourire. Il avait sûrement raison. Mais, pourquoi disait-il cela. Il connaissait les élèves lui. Tant pis, c'était trop tard maintenant. Et puis, qui sait ce qui pouvait se passer au lycée. Elle resterait peut-être dans son coin à surveiller les élèves de haut. Nan, c'était un travail sérieux. Il fallait donc le faire sérieusement. Tant pis si elle devait passer pour la rabageois de service. Mais bon, elle ferait tout pour ne pas trop embêter les élèves. Il fallait tout de même qu'ils vivent. Gabriel se mit à murmurer. Pourquoi voulait-il qu'elle s'allonge ? Il finit par s'expliquer. Elle avait eu peur durant une fraction de seconde. Il mit un doigt sur sa bouche pour lui faire signe de ne pas faire de bruit, s'allongea de nouveau. Regarda les arbres pendants quelques instants puis lui prit le poignet. Elle rougit un peu et s'inclina alors, puis releva la tête lorsqu'il reprit doucement la parole.

*Bah dit donc, il s'y connaît en oiseau ...*

Elle leva les yeux dans la direction qu'il indiquait avec sa main. Elle n'avait pas tilté qu'il lui tenait toujours le poignet. Lorsqu'il la lâcha, cela lui fit bizarre. Elle se contenta de rester les yeux rivés vers le rossignol. Son chant était très plaisant. Gabriel avait l'air vraiment content de la vision qu'il avait. Il fit ensuite une allusion à sa façon de chanter. Saeko sourit à cette remarque. Il venait de dévoiler son rêve à Saeko. C'était réalisable comme rêve. Tous les rêves sont réalisables. Il suffit juste d'y mettre du sien.

Mais... pourquoi vous dites que vous serier morte à cause du ridicule? Si je peut demander bien sûr.

Elle finit alors par s'allonger sans quitter le rossignol des yeux. Elle n'avait pas fait de bruit apparemment étant donné qu'il était toujours là. Elle mit ses mains sous sa tête. Et oui, la roche, c'est dur !

*Ridicule pour les uns, normal pour les autres et complètement bizarre pour d'autres encore.*

Tous les avis étaient mitigés au sujet de Saeko. Elle aimait entendre les remarques que les personnes faisaient dans la rue et les commentaient souvent toute seule dans sa tête après. Elle sourit et chuchota sa réponse tout en gardant les yeux rivés sur le petit oiseau.

J'ai 23 ans et je m'habille comme une adolescente, j'ai toujours un esprit vif et enfantin. Moi je trouve ça ridicule ^^ Mais bon, les avis peuvent divergés.

Elle resta silencieuse. Elle n'aimait pas trop employer le "je". Mais bon, déjà qu'elle ne parlait pas beaucoup, si elle commençait à ne plus répondre aux gens; ça n'allait plus. Elle repensa ensuite à sa phrase sur le chant et le rossignol. Elle sourit de nouveau puis dit doucement:

Si un jour je vous entends chanter, je m'en souviendrais ^^ Si je le pense bien sûr.

Elle faisait allusion au "plus beau compliment" qu'on pouvait lui faire. Elle ne pouvait se permettre de juger qui chante bien et qui chante mal vue qu'elle n'avait aucune expérience dans la musique. Ha si ! Lorsqu'elle était jeune, elle avait pris des cours de guitare pendant quelques temps. Mais, c'est tout. Elle enregistra le chant du rossignol dans sa tête.

Gabriel n'avait pas pensé que ses paroles de se coucher sur le rocher aurait pu signifier autres chose, mais là sa lui était venu à l'esprit. Ses joues rosirent sous la pensée. Il venait peut-être de passer pour un pevers. Trop tard, il avait parler plus vite que pensé. Comme souvent d'ailleurs. Du coin de l'oeil il vit le visage de Saeko rougit un peu lorsqu'il lui prit le poignet et elle inclina la tête. Mais étant très heureux du moment qu'il passait il n'avait pas tout de suite fait le lien. La jeune femme s'étendit sur la roche dans la même position que Gabriel et observa le ciel et les oiseaux tout comme lui. Gabriel releva la mains qui avait touché Saeko puis de son autre main il frôla sa paume au dessus de lui, sensation étrange de... touché quelqu'un d'autre. Sa fait longtempsque j'ai pas... ressentit... sa. Il glissa ses mains sous sa tête car la roche commençait à être dur. Elle commença alors à parler doucement. Il l'écoutait, donant tout son attention à la jeune Saeko.

J'ai 23 ans et je m'habille comme une adolescente, j'ai toujours un esprit vif et enfantin. Moi je trouve ça ridicule ^^ Mais bon, les avis peuvent divergés.

Un éclair coquin passa dans les yeux de House et il répondit d'une voix enjoué. Il se regardait son accoutrment, pas mieux on l'aurais dit sortit d'une sècheuse ce matin.

Je dirait, vous vous habiller comme vous vous senter, tant que vous êtes bien, c'est ce qui compte. Vous n'êtes plus enfant... mais si votre esprit est encore partiellement celui d'un enfant tant mieux non? Ma mère m'a toujours dit que la véritée sortait de la bouche des enfants... j'aime bien le croire. Oui j'écoute encore ma mère... pour ses proverbes entoucas...

Un petit rire s'échappa de ses lèvres de nouveau.

Je me sent de joyeuse humeur ce matin, si vous voulez... je peut toujours vous chanter une petite chanson, mais... plus calme que celle qui m'a fait danser comme un fou.

Sur cette phrase son un sourire franc illumina son visage il se retenait afin de pas éclater de rire.

Mais avant... qu'elle langue savez vous parler?

Je chanterait en français, pour me pratiquer. Ne fait pas attention au R que je risque de rouler, j'ai encore mon accent d'Anglais quand même. La chanson est d'un Louisiannais, Zachary Richard... je l'aime bien.

Les réponses données au questions le firent sourire. Vive d’esprit la Saeko. Son visage était tournée vers celui de House et il se parlait comme sa, comme si de rien n’était, comme si il se conaissait depuis longtemps, mais en même temps il parlaient de chose plus ou moins banale. Mais, pour connaître quelqu’un, il y avait un début à tout. Il s’accouda sur son coude gauche et retourna le haut de son corps vers Saeko. Il devait faire attention à ce qu’il allait chanter, il devait prendre quelque chose qu’il conaissait bien. Il ferma les yeux et entama une respiration lente et calculé. Il penserait à sa gêne plus tard. Il déposa sa main qui ne le soutenait pas sur le visage de Saeko pour lui fermer les paupières. Il laissa sa main là, comme pour faire un écran au soleil. Il approcha son visage pour murmurer à son oreille.

Imagine… tout ce que je vait te chanter, imagine que tu cette femme qui attend son homme depuis des lunes... qui attend de voir le bateau de bois grincer sur l'eau de la mer.

Gabriel recula son visage pour se remettre à une distance respectable, son visage était maintenant à environs 2 pieds de distances de Saeko. Il laissa quelques secondes se passer pour laisser retomber le silence. Il respirai lentement pour commencer à chanter le premier vers presque comme un murmure pour ensuite augmenter le son de sa voix avec tranquilité jusqu'à un ton raisonnable. Il essaya par le chant de transmettre au mieux qu’il pu les émotions, les sentiments que cette chanson parlait tout en gardant un rythme raisonnable. Il fixa les yeux de Saeko puis commencça à chanter de sa voix un peu rèche de chanteur de Blues, de Jazz. C’était le genre de voix qu’il avait, il l'aimait bien mais… sa n’allait pas avec tout les airs.

Le vent m’arrache la peau,
Il fouette les flancs et glace l’âme de mon bateau,
Amarré à la barre, j’entends ta voix, j’entends tes mots,
Chaque fois que le tonnerre me frappe de son echo.

Montre moi l’étoile pour me guider,
Prend le vent dans tes bras pour le calmer.
Je t’ai aimé, je t’ai aimé,
Jamais autant aimer, qu’au large du Cap Enragé.

Au large du Cap Enragé,
Au large de tous ce que j’ai perdu, tout ce que j’ai sauvé
Peut-être que je suis allé beaucoup trop loin pour empêcher,
Mon pauvre bateau de prendre l’eau et de couler.

Montre moi l’étoile pour me guider,
Prend le vent dans tes bras pour le calmer.
Je t’ai aimé, je t’ai aimé,
Jamais autant aimer, qu’au large du Cap Enragé.

Sur le Cap Enragé,
Elle guette avec les yeux abandonnés,
Envoyer une prière avec une voile déséspérée.
Si seulement je pouvais te faire comprendre la vérité.
Au large du Cap Enragé...je t'ai aimé... Au large du Cap Enragé...

Sa dernière phrase s’évanouit en même temps que son souffle et lentement il laissa glisser sa main le long du visage, sur la joue de Saeko puis ensuite la roche.

* Est-ce que je suis en train de lui faire la cour ou quoi? Non… peut-être… je ne sait pas. Je suis bien, c’est tout ce que j’ai besoin de savoir pour l’instant. *

Il baissa le visage quelques mèches chatouillant son front, il regardait la main qu’il avait laissé sur le visage de Saeko. Il était un peu gêné mais en même temps Gabriel était bien et hésitait à briser le silence. Il releva la tête et regarda à la hauteur des yeux de la femme, n’osant pas parlé après avoir chanté aussi intensément. Il venait de laisser voir une partie de lui-même.

Gabriel se rendit compte qu’il avait peut-être été malpoli, il l’avait tutoyé, il faudrait qu’il s’excuse plus tard. Il observait encore sa main qui avait touché la joue de Saeko. Sa lui faisait un peu bizarre parce qu’il n’avait pas pensée à le faire, c’était venu comment dire, tout seul ? Il ressentait encore des petit picotements du au contact de la peau, c’est sa qu’il voulait recréer. Il tomba dans ses pensée.Et sans le vouloir il pensa à sa dernière relation un moment. Imako, les bon moments, et LE mauvais, son accident à lui, sa jambe, et… La dernière vision qu’il avait eu d’elle. L’hôpital, les médecin affolés pour elle, La canne, les pillules et le mandat qu’il avait reçu. Un jour il faudrait bien qu’il le raconte à quelqu’un pour arrêter d’y penser, sa le minait un peu de l’intérieur.

*Ferme-là Gab, tu es bien, en bonne compagnie, laisse tes pensées noires loin.*

Il espérait qu’elle aurait aimée la chanson. Tandis qu’il chantait Il l’avait regardé, elle semblait tranquille, même jolie. Il avait ensuite fermé les yeux et essayer lui aussi de voir les images qu’il racontait. Il les avait vuent, personnifier, laisser sa main glisser le long de la joue pour dire silencieusement ce qu’il commençait à penser. Alors qu’il émergait de ses pensées et relevait la tête, Saeko remit sa tête droite puis ouvrit les yeux regardant le ciel. Gabriel n’avait toujours pas changer de position regardant Saeko et les alentours. Un sourire orna les lèvres de la jeune femme.

Tu chantes comme un rossignol. Avec beaucoup plus d'émotions bien sûr.

Elle l’avait tutoyé aussi, donc il pouvait laissé tomber les excuses. Les mots qu’elle venait de dire le laissèrent bouche bée. Il ne la conaissait pas vraiment, mais elle n’avait pas l’air d’une menteuse. Elle venait de lui dire qu’il chantait comme un rossignol, même mieux Il lui avait dit plus tôt que lorsque quelqu’un lui dirait sa, sa serait le plus beau compliment qu’il ne pourrait jamais entendre. Il sentait son cœur se gonflé, il était ému, touché. Sous l’émotion il ne pensa pas et se pencha vers elle déposant sa main droite à gauche du visage de la femme.

*Gabriel voyons, embrasse la pas comme sa, tu ne veut pas lui faire peur quand même.*

Il arrêta son geste de justesse à une trentaine de centimètre du visage de Saeko. D’une voix cassé les yeux remplit de reconaissance il ne put que dire un mot.

Merci.

Il se recoucha sur le dos fixant le ciel de ses yeux. Les joues de Gabriel rosirent d’un cou. Il avait osé faire sa, enfin presque, mais son éternelle logique anglaise là rattrappé et la empêcher de se laisser aller… pour le mieux ? Il ne saurait pas maintenant. Il mit ses mains derrière sa tête pour ne pas trop sentir la roche.

Je croit que je vait appeler cet endroit… Le Cap Enragé, opposition ?


Ce qu'il venait de dire pouvait sous entendre quelques affaires tout comme elle pouvait sembler banale. Sa l'amusait. Il se demandait lui même un peu ce qu'il voulait dire pour de vrai.

L'humain est complexe...

Saeko regardait le ciel tranquillement. Effaçant peu à peu les images de la chanson dans sa tête. Elle n'était d'ailleurs pas très bonne en femme qui attend désespérément la venue d'un bateau. Il faut dire que ce n'était pas n'importe quel bateau. C'était censé être le bateau de l'homme qu'elle aimait et qui avait bravé tout un tas de dangers en mer. Saeko ne croyait pas trop aux contes de fée amoureux et en riait même parfois. C'était, la seule partie de la vie qui faisait vraiment peur à Saeko. Dans sa façon de penser, elle voyait l'amour comme une faiblesse. C'était pour ça que les contes de fée la faisait rire. Ils étaient surtout absurdes à ses yeux.

*Le prince charmant ! Elle est bien bonne celle-là !*

Elle ne croyait en rien, n'était pas religieuse, ne croyait pas aux fantômes ni autres bêtises de ce genre. Elle croyait en ce qu'elle voyait. Elle restait tout de même rêveuse lorsqu'elle voyait les baisers au cinéma. Même si les films romantiques n'étaient pas trop sa tasse de thé. Elle niait toujours lorsque ses amis supposaient qu'elle était amoureuse. Elle avait même effacé ce sentiment de son coeur depuis peu. Mais, allait-il ressurgir ici ? Elle ne savait pas et ne préférait pas savoir.

*Rester dans l'ignorance est parfois la meilleure des choses ...*

Les yeux toujours rivés vers le ciel, elle entendit des bruits de mouvement du côté de son nouveau collègue mais, ni fit pas grande attention. Heureusement, car elle l'aurait vu, s'approcher de son visage pour l'embrasser. Elle sentit tout de même son coeur s'emballer et ne compris pas pourquoi. Gabriel finit par la remercier. Saeko sourit alors. Il n'avait pas besoin de la remercier, c'était la stricte vérité. Elle sentit comme une légère différence dans la voix de Gabriel lorsque celui-ci la remercia. Cette différence fit que son "Merci" semblait sincère et pleins d'émotions.

Je croit que je vait appeler cet endroit... Le Cap Enragé, opposition ?

Saeko sourit de nouveau. C'était la première fois dans une journée qu'elle souriait autant. Quelle heure était-il d'ailleurs ? Elle s'en fichait complètement. Elle était bien, c'était tout ce qui comptait. Le Cap Enragé ... Ca plaisait assez à Saeko et puis comme ça, si un jour elle revenait, ce qui serait sûrement le cas, le souvenir de Gabriel lui chantant cette chanson lui reviendrait et elle pourrait se repasser les images dans sa tête. Comme une sorte de cinéma mentale où vous êtes le seul à voir les images et à en faire ce que vous voulez.

Aucune objection M'sieur !

Cette phrase semblait banale aux yeux de Saeko. Gabriel semblait un peu chamboulé. Il finit alors par dire que l'humain était complexe. Ce ne serait pas Saeko qui le contredirait. Quand on voit sa conception de l'amour ... Au contraire, elle approuva avec cette phrase :

Oui, trop complexe ...

Elle cligna des yeux puis finit par lever le haut de son corps. Elle était donc assise. Elle s'étira les bras, alors que les quelques rayons du soleil venaient frapper le rocher. Pourquoi c'était-elle levée ? C'est vrai que ce n'était pas très confortable. Elle enleva les minuscules morceaux de rocher qui étaient restés sur le revers de sa main puis ajouta.

Pas très confortable ce rocher ^^

Il aimait bien cette chanson, il l’avait aimer dès qu’il l’avait entendu à la radio à vrai dire lors d’un voyage aux Étas-Unis. Les Étas-Unis avait été l’une des nombreuses places qu’il avait du habiter à cause de ses parents. Il n’avait pas détester, il avait même aimer certaines villes, certains endroit. Il en avait vu des grandes villes comme des trous dans les bois, le Sud, le Mexique, tant de souvenirs de partout, mais aucune attache. Il se sentait encore coupable d’avoir approché son visage si proche, il ressentait son cœur qui avait accèlérer le rythme d’être aussi proche. Peut-être que sa faisait sa avec n’importe qui non ?

*Non House, pas n’importe qui et tu le sait. Laisse moi rester dans l’ignorance encore un peu conscience, laisse moi attendre et brûler jusqu'à en être certains. House… ne te plaint pas après.*

Si c’était de l’amour… sa allait lui faire mal un instant. House ne préfèrait pas penser à sa maintenant, dans quelques heures il pourrait. Une chose à la fois, ce qu’il adviendras sera, ou ne sera pas. Une fois recouché il remercia le ciel du fait qu’elle avait les yeux fermé, donc elle ne l’avait pas vu, pas vu tout le remous dans ses yeux, toutes les pensées qu’il avait à cette seconde. Ses paroles pouvait être franche, mais son regard pouvait l’être encore plus. Et le cas de cette situation n’y faisait pas exception. Le sourire de Saeko calma le cœur de Gabriel, voyons il ne pouvait pas perdre les sens ici maintenant, innaproprié, ridicule. Il reprit son souffle et ses lorsqu’il fut éloigner qu’il respira de nouveau normalement. Aucune objection à nommé l’endroit Cap Enragé, sa le fit sourire. Il voulait nommer cet endroit comme sa à cause de la chanson qu’il lui avait chanté, à cause de l’endroit, de l’eau du ruisseau, du rocher et de Saeko. Il se sentait devenir tout d’un coup sérieux, en train de parler de l’humain juste comme sa. Il faisait encore l’égoiste, il pensait à lui, à la situation dans laqu’elle il c’était lui même mise. Depuis qu’il était arriver dans son * Cap Enragé * il n'avait que sourit, il aimait sa, sa faisait du bien d’être lui, là, avec quelqu’un d’autre qui ne lui disait pas de choses négatives et qui conversait un peu.

Oh.. j'avait oublier de vous dire mon age, vous m,avez dit le votre donc; 27 ans bien sonné. Mais… la complexitée m’amuse, sinon… tout serait trop facile… sans défi.

Il la regarda s’asseoir sur le rocher et vit quelques petites roches dans les cheveux. Devait-il ? Ou simplement lui dire. Il releva son torse afin de se retrouver en position assise lui aussi. Il essuya ses mains sur ses jeans et murmura : Attention des roches dans vos cheveux, bouger pas.De ses paroles il accompagna le geste. Gabriel se glissa derrière Saeko sa jambe droite étendue du côté droit de Saeko et la gauche replié, il prenait appuit dessus puis observa les rayons soleil dans la chevelure. Il secoua sa tête légèrement. Gabriel se testait inconsciement, il se testait pour savoir, il se sentait un peu chamboulé mais sa ne le dérangeait pas vraiment.

*Reprend tes esprits Gab.*

Il glissa une main derrière la longue chevelure frôlant le cou puis de l’autre mains fit comme un peigne et enleva les quelques roches. Il sentit un petit chatouillement dans sa colone vertébrale et enleva ses mains délicatement de la chevelure brillante sous les petits rayons de soleil.

Quand tu voudras partir je peut te ramener ou tu veux, je suis venu en moto.

Il se mordilla l’intérieur de la joue puis soupira pour laisser aller son léger stress, il leva la tête vers le ciel. D’un ton amical et posé il reparla.

Ton choix, on descend du perchoir et on reste un peu dans les bois, ou bien on descend et je te reconduit , ou on reste encore un peu ici. Je suis libre jusqu'a midi... je peut faire pas mal ce que je veut avant cette heure fatidique.

La chanson avait plus aussi à Saeko. Elle ne l'avait jamais entendu au part avant. Elle était sûre qu'il y avait une grande différence avec la chanson d'origine vue qu'elle avait ressentit quelque chose de bizarre qu'elle n'aurait sûrement rien ressentit qu'en l'écoutant en CD ou à la radio. En plus, l'environnement aurait-elle différent. Et surtout, la personne chantant la chanson aurait été différente. Elle n'aurait sûrement pas pût imaginer toute l'histoire rien qu'en fermant les yeux. Non, c'était la surtout la voix de Gabriel qui était particulière. Elle avait réussit à l'emporter dans un autre lieux, une autre époque, une autre vie. C'était ce que la voix de Gabriel avait en plus sûrement que celle du chanteur original. Il faudrait qu'elle l'écoute un de ces jours la version originale pour être sûr que Gabriel était vraiment un bon chanteur. Sinon, pourquoi son coeur c'était emballer à la fin de la chanson? C'était juste parce qu'il chantait bien hein ? Oui, rien d'autres. Que pouvait-il y avoir d'autre ? Rien, elle ne le connaissait pas. Elle ne savait pas qu'il avait besoin d'une canne pour marcher et de prendre des médicaments pour apaiser sa douleur, quel âge il avait. Enfin, tout ce qui fait que l'on connaît une personne.

Oh.. j'avait oublier de vous dire mon age, vous m'avez dit le votre donc; 27 ans bien sonné. Mais... la complexitée m'amuse, sinon... tout serait trop facile... sans défi.

Ha si ! Maintenant elle connaissait son âge ! C'était un bon début. "Sans défi" ... Ce que venait de dire Gabriel n'était pas totalement faux. Mais, il y avait une limite à la complexité tout de même. La vie elle-même était un défi. Pour quiconque. On avait tous de grands choix à faire dans notre vie et ces choix peuvent faire basculés notre vie toute entière. Il y a aussi les trucs qui peuvent vous tomber dessus sans que l'on si attend et, qui chamboule votre vie. Mais, le plus important dans la vie, était de ne pas se laisser avoir par ces quelconques changements et de savoir faire face à toutes les situations. Le mieux, était de ne rien regretter de ses actes.
Gabriel murmura alors qu'il allait enlever des roches des cheveux de Saeko. Il accompagna le geste à la parole. Cela ne dérangeait pas Saeko et elle n'y voyait aucune intention malhonnête à ça, alors, elle le laissa faire. La même main qui avait caressé sa joue se trouvait dans ses cheveux. Gabriel était quelqu'un de doux et d'attentionné apparemment. Lorsque la main de Gabriel effleura son cou, les mêmes picotements que la dernière fois lui montèrent le long de sa colonne vertébrale. L'avait-il remarqué ? Elle n'en savait rien, elle-même ne comprenait pas ceux à quoi cela correspondait.

Quand tu voudras partir je peut te ramener ou tu veux, je suis venu en moto. Ton choix, on descend du perchoir et on reste un peu dans les bois, ou bien on descend et je te reconduit , ou on reste encore un peu ici. Je suis libre jusqu'a midi... je peut faire pas mal ce que je veut avant cette heure fatidique.

Wahou ! De la moto ! Ce serais géniale en effet, au lieux de traverser une nouvelle fois toute la ville à pieds. Elle réfléchit alors. Elle aurait bien aimé descendre et se balader un peu à travers la forêt pour se dégourdir les jambes. Un sourire vint orner son visage et elle dit alors, un peu amusée:

Je choisie pour la réponse A !

Elle s'étira une nouvelle fois. Ses os avait tendance à craquer lorsqu'elle faisait ça, ce n'était pas très plaisant à entendre. Mais, cela la rassurait, pour elle, cela voulait dire que tout fonctionnait correctement.

Encore le même picotement lorsqu’il la frôlait, il le sentait encore. Le rythme de son cœur s’emba lla u peu, mais lentement il reprit la maîtrise de celui-ci et se calma. Bouger pouvait être une solution parce que si il restait assis derrière elle comme sa, il ne saurait plus trop comment se placer. Lorsqu’il enleva avec délicatesse les roches il sentit qu’elle frissona légèrement aussi, ou du moins quelque chose qui s’en rapprochait.

Mais pourquoi maintenant?

Voilà qu’il s’amusait à philosopher un peu. Il espérait ne pas trop la déranger avec tout son flot de paroles. Gabriel croyait commencer à comprendreles réaction physique qu’il semblait avoir face à Saeko mais il ne devait rie dire pour l’instant. Sa allait attendre. Il voulait voir si sa allait s’effacer après quelques jours. Donc, il devait l’inviter à faire quelque chose, plus tard aujourd’hui, il lui demanderait sa avant midi.
Mais… ou ? Faire quoi? Sa viendrait. Ses pensées volèrent vers sa moto. Un sourire apparu à son visage. Action / réaction, moto / solution ?

Saeko voulait descendre du perchoir et marcher un peu. Tant mieux, il avait besoin de réactiver la circulation sanguine dans le bas de son corps. Il la vit devant lui s’étirer et ses os craquèrent. Il rigola un peu.

Vous êtes bien vivante Miss Saeko, c’est rassurant.

Sur c’est mots il se décolla de Saeko se mit sur le bord du rocher. C’était le temps de la périlleuse descente. Il se glissa sur le bord pour poser ses pieds sur un bout de roche qui dépassait et se laissa tranquilllement glisser prenant d’autre roches en ses mains puis lentement il fit l’escalade en sens inverse. Rendu à un pied du sol il se laissa simplement glisser, plus simple. Ses pieds touchèrent le sol, il eu un léger moment de désiquilibres sa jambe droite fut prise de léger spasmes. Il y mit une main et lui fit un léger massage, les mouvements cessèrent. Il fouilla les yeux du sol. Il ratela quelques feuille pour trouver sa canne. Un immense soulagement se peigni dans ses yeux. Ce n’était pas la place pour perdre se précieux objet. De son autre main il ouvrit un flacon de pilules et en prit une pour le ranger dans ses poches ensuite.Il l’avala la regardant avec un certains dédain.

Ma douleur ne gagnera pas aujourd’hui. Je suis bien et je vait le rester comprit ?

Il se doutait bien qu’elle n’aurait pas besoin d’aide pour descendre mais il tendit une main vers le haut tout de même et un sourire se peignit sur son visage.

Votre tour Miss !

Vous êtes bien vivante Miss Saeko, c'est rassurant.

Comment savait-il que ? ... Saeko eu des yeux ronds durant quelques secondes, heureusement que son collègue ne voyait que son dos. Puis, elle finit par sourire, car cela avait fait rire Gabriel. Il commença alors à descendre du rocher. Saeko le surveillait d'en haut. Il avait déjà faillie faire une grande chute tout à l'heure, alors, une deuxième était à surveillée. Tout ce passa bien heureusement. Elle eu un peu peur juste lors de son atterrissage. Il récupéra alors sa canne et prit ensuite un médicaments à ce qu'avait cru voir Saeko. Cela ne la gênait pas Saeko et elle n'avait pas l'intention de lui demander pourquoi il prenait des pilules et ce qui lui était arrivé à sa jambe pour qu'il aie besoin d'une canne. Chacun avait sa vie, ses problèmes et ses secrets.

Saeko, toujours assise, pencha sa tête en arrière pour regarder une dernière fois le ciel de cet endroit pour la journée. La voix de Gabriel la fit descendre sur terre, elle baissa la tête. Il avait la main tendue vers elle et lui permettait de descendre. C'est vrai qu'elle n'aurait pas eu besoin d'aide. Mais, elle n'allait pas le laisser comme ça, cela n'aurait pas été polie de sa part. Elle commença alors à descendre. En milieu de descente elle lui donna alors sa main avant de sauter et de retomber sur ses deux pieds. Faire ça tout étant en jupe n'était pas très pratique. Elle espérait qu'il n'avait rien vue sous sa jupe, serte, elle portait un boxer en dessous, mais, c'était tout de même gênant. Et puis, si Gabriel avait vu quelque chose, Saeko pensait qu'il ne serait pas du genre à s'en venter ou a en rire. Elle retira sa main de celle de Gabriel et s'écria fièrement avec un sourire :

Tadam !

Elle passa un coup de main sur ses vêtements, histoire d'enlever les quelconques saletés. Puis leva la tête vers Gabriel. Il avait l'air de bien connaître l'endroit alors, elle avait plutôt intérêt à le suivre, sinon elle serait vite perdue. Elle le regarda dans les yeux et sourit.

On y va ?

Elle s'approcha de lui pour pouvoir marcher à ses côtés. Elle tourna la tête vers le ruisseau. L'eau était claire et s'écoulait bien sûr les petites pierres du fond. Le bruit était assez agréable. Elle regarda de nouveau autour d'elle. C'était comme lorsqu'elle était arrivée, avec l'homme percher dangereusement au rocher en moins.

[Désolé, pas trop d'inspiration]

Une fois en bas il leva la main pour l’aider à descendre mais Saeko semblait repartie dans les nuages. Sa ne le dérangeait pas, il attendit un peu. Après un temps elle descendit les roches avec, comment dire facilitée, beaucoup plus que lui entoucas. Mais dans le fond sa ne le dérangait plus ouvertement. Au début quand il avait commencé à utiliser sa canne oui mais avec le temps sa lui avait passé. Ce qui l’énervait le plus était de ne plus pouvoir faire de vélo. Lorsqu’elle aggrippa sa main il tourne légèrement le visage pour ne pas voir dessous la jupe quand Saeko sauterait.
Une fois les deux main séparé il la regarda de nouveau alors qu’elle s’annonçait si l’on pouvait dire d’un joyeux *Tadam ! *.

Il passa sa main dans ses cheveux court et les ébourriffa, quelques poussières et petites roche en tombère puis il épousseta ensuite ses vêtements un peu après que Saeko eu fait de même. Bon il était plus présentable.

On y va ?

Il fixa les yeux de Saeko et sourit. Il s’approcha du ruisseau et se pencha. Il regarda le fond et les petites roches polies. Gabriel mit ses mains en coupole et amena un peu d’eau à sa bouche pour la boire. Il s’en aspergea ensuite le visage pour retourner à côté de Saeko.

À vos ordre miss.

Il tendit son bras libre vers Saeko avant de commencer sa marche vers la sortie du bois. Il lui adressa la parole après un moment ayant un peu de misère à briser le silence, il avait cepedant le sourire aux lèvres tout en parlant doucement.

Je croit aller me faire un café chez moi, quel est votre plan ?

[Ouai c'est vrai ^^]

Saeko sourit en voyant Gabriel s'ébouriffé les cheveux pour faire tomber les cailloux. Les cheveux en batailles lui allait plutôt bien. Après avoir fait un atterrissage triomphal, Saeko regarda de nouveau autour d'elle pendant que Gabriel se mouillait le visage. Ça faisait bizarre d'être à terre. Du haut du rocher, on se sentait plus fort, au-dessus de tout; des lois, des gens, de la vie. Et, en touchant le sol, tout redevenait comme avant. Saeko était redevenue une nouvelle petite Surveilante et on ne pouvait plus croire toucher la cime des arbres qui étaient devenus extrêmement hauts du fait de la descente.

Mais, il n'empêchait que Saeko n'oublierait jamais cet endroit. Premièrement car c'était ici qu'elle avait fait sa première connaissance depuis son arrivée. D'une personne qui n'était pas un élève, mais un homme, un futur professeur. Deuxièmement parce que cette même personne lui avait chanté une chanson, ce que personne n'avait jamais fait pour elle au part avant. Et troisièmement parce que cet endroit était magnifique. Elle n'avait vu que deux endroits depuis qu'elle était arrivée: le Hall du lycée et la forêt. Alors, entre un endroit remplis de gens n'étant, pour la plupart pas encore majeurs, très bruyant et un endroit au coeur de la nature où se trouve eau, terre, air, hauteur, silence et rêve, il n'y avait pas photo du tout. Toutes ces choses faisaient que Saeko reviendrait, elle devait revenir. La nuit aurait été un moment idéal pour regarder le ciel étoilé de la nuit. Elle faisait souvent ça sur le rebord de la fenêtre de sa chambre. Cela lui permettait de mettre un peu de rêve dans sa vie.

Lorsque Gabriel eût finit de se rafraîchir, il tendit son bras à Saeko et, ils commencèrent à marcher. Cela faisait du bien aux jambes de Saeko de s'activer un peu. Et puis, cela ne lui faisait pas de mal. Faire de la marche ne pouvait que faire du bien. Gabriel demanda alors ce que Saeko avait prévue de faire. Lui allait boire un café chez lui. Saeko lui répondit alors avec un sourire et en toute franchise:

Je n'en sait strictement rien ^^ .

Elle venait d'arrivée alors, elle avait le choix question activités. Elle avait hâte de monter sur la moto de Gabriel. Elle n'en avait fait qu'une seule fois jusqu'à maintenant et, elle avait adoré ça. Cela datait un peu. C'était lorsqu'elle était au lycée et que sa fameuse amie Liliane essayait à tout prix de la casée avec une sorte de motard. Bien sûr, Saeko ne voulait pas sortir avec lui, mais, elle eu tout de même le droit à son tour en moto. Ici, c'était différent. Gabriel House ne voulait pas sortir avec elle. Et puis, quand on est adulte, on ne dit pas "sortir avec quelqu'un", on dit "être en couple avec quelqu'un" ça fait mieux et plus sérieux. Enfin, passons ...
La forêt était belle aussi vue du sol. Tout semblait plus grand et inaccessible. Les arbres découpaient les rayons du soleil. La forêt était donc parsemée de lumière, de-ci, de là.

Il se sentait bien, calme en ce moment, ne pensant pas à grand chose, il avait évacuer toutes ses mauvais sentiments, ses souvenirs, ses blessures. Ici il ne les sentaitent plus. Il tourna la tête de côté quant il furent éloigner de quelques pas du rocher. Il murmura quelques mots.

À bientôt Cap Enragé.

Il lui dit alors que pour lui les cours commençait vers midi, il ne serait plus libre, cepndant il lui restait encore quelques heures, deux ou trois peut-être, Gabriel ne savait pas il ne portait pas de montre, il l’avait oublier dans sa chambre. Détail, pas important. Il laissa quelques secondes passé, voir même quelques minutes une fois que Saeko eu parler, le silence ne le dérangeait plus autant, du moins pas autant qu’il aurait pu penser.

Ma moto est bien simple, elle est grise, bleu et noire, mais je l’adore. C’est presque comme un vélo… et depuis que je ne peut plus faire de vélo sa fait comme un remplaçement.

Après une quinzaine de minutes de marches, plus ou moins silencieuses et quelques paroles échangé, par exemple quand il voyait un oiseau qu’il conaissait ou non il lui indiquait d’un geste de la main ou du menton en parlant moins fort. Il voyait le stationnement, qu’une bifurcation de plus et il verrait sa moto. Enfin il la voyait.



Il la lui pointa le sourire au visage. Il lâcha le bras de Saeko et prit le casque

Vous le mettrer, je vait m’en passer.

Il embarqua sur le siège et lui fit signe de s’asseoir tout souriant.

Je pense aller prendre mon café, je peut vous offrir quelque chose ?

La forêt était calme, était-ce toujours comme ça? Si c'était le cas, cet endroit était vraiment le paradis. La nature en serait le Dieu, les différents oiseaux les anges et, que seraient alors Gabriel et Saeko ? Des intrus ? Non, sinon le paradis n'aurait pas été si tranquille en leurs présences. Qui avait-il d'autres au paradis ? ... Des âmes en paix, voilà ce qu'ils avaient été durant un long et agréable moment. Et c'était bien le cas de le dire "en paix", allongés sur un haut rocher à contempler le ciel, qu'elle paix ... Saeko était très "Peace and Love", elle adorait la nature et essayait de la protéger au mieux; elle n'aimait pas la violence. Mais, quand on la cherche, on la trouve. Elle n'avait pas pratiqué des années de sport de combat pour rien. Bien qu'elle essaye de s'en servir le moins possible.

Elle n'avait bien sûr pas entendu Gabriel dire au revoir au lieu. Il lui décrit alors sa moto. Elle allait sûrement lui plaire. Saeko aimait bien le gris. Pour elle, le gris était la couleur avec laquelle elle percevait la vie.

*Tout n'est pas blanc, tout n'est pas noir. Tout est gris*

Cela voulait dire tout simplement qu'il n'y avait ni bien ni mal. Mais que tout était dans la façon de penser des gens, dans leur tête. Chacun perçoit les choses différemment. Personne ne détient vraiment la vérité. Ils marchèrent encore un peu avant de se retrouver à une bifurcation, continuèrent un peu et se retrouvèrent enfin devant la moto de Gabriel. Elle était comme Saeko l'avait imaginé. En un peu mieux tout de même. Gabriel parla alors de son ancienne passion pour le vélo. Cela expliquait sa carrure de cycliste. Ça ne devait pas être simple d'abandonner un sport qui lui tenait a coeur. Et puis le vélo tout comme la moto représentait une sorte de liberté au grand air.

*C'est bien qu'il aie put trouver autre chose que le vélo ...*

Il lui tendit alors son casque lui répliquant qu'il s'en passerait. Il monta sur la moto puis proposa à Saeko de boire un café avec lui. Saeko avait le casque en main, elle le regardait pensive. Elle ne laisserait pas Gabriel sans casque, c'était hors de question. Elle préférait rentrer a pied plutôt que de le savoir sur la route sans casque. Elle esquissa alors un sourire, lui tendit le casque et soumit une condition:

J'accepte le café si vous mettez le casque.

Ce n'est pas qu'elle n'avait pas confiance en Gabriel. Mais, elle préférait. Elle était comme ça et ne changerait pas. Et puis, en moto, cheveux au vent quoi de mieux pour se changer les idées, prendre un grand bol d'air et voir du paysage en même temps ! Sinon, l'idée du café lui plaisait bien et elle ne voyait aucune raison de refuser. A part s'il avait décidé de ne pas porter le casque. Saeko laçât bien ses bottes puis regarda une dernière fois son paradis avant de se retourner vers Gabriel et d'entendre la réponse à sa proposition. Ellle tenait vraiment à ce qu'il accepte.

Gabriel vu que Saeko semblait pensive, et si jamais elle allait refuser son invitation?
Il ressentit un léger pincement au cœur. Il regardait son visage, ses yeux essayant de deviner ce qu’elle pensait, impossible bien sûr mais il le faisait un peu par réflexe. Elle regardait le casque et le tendit à Gabriel tout en parlant.

J'accepte le café si vous mettez le casque.

Il ne pu s’empêcher, il soupira comme rassuré. Il avait le casque entre les mains, elle relaça ses bottes. Si cela était sa condition il allait l,accepter. Parcontre, il conduirait un peu moins rapidemment sachant qu’il avait une passagère.Il sourit et rigola un peu et mit le casque sur sa tête. Et tendit la main.

D’accord petit rossignol, vous gagner, je met le casque, mais tu viens. Faudra me tenir solidement, j’irait pas très vite mais…

Je viens de lui donner un petit nom? Oh ferme là House ! Arrtête de penser!!!!

Il se mordit la lèvre inférieur, content qu’a ce moment on ne pouvait voir vraiment son visage. Sentant son visage rougir un peu il claqua la visière pour se cacher.

Utile comme casque sa…

La balade de moto allait prendre environs une vingtaine de minutes pour se rendre au Loft ou il habitait, ce qu’il dit à Saeko avant de démarrer une fois qu’elle serait prête.