Siegfried von Kälte

« von Kälte, Siegfried »

'xxxxxIdentité.

• Âge : 19 ans • Classe : 3.B • Lieu de Naissance : Bâle, Suisse • Statut : Etudiant

'xxxxxDescription du personnage.

• Description caractérielle : « Je le dis d'emblée: je suis né avec une terrible malédiction, une maladie grave sans pour autant être mortelle ou incurable... Je suis Riche, Beau et Puissant. Vous n'imaginez pas ce que ces trois symptômes engendrent comme embêtements. Tout jeune déjà j'avais tout ce dont j'avais envie ; même des choses extravagantes. Voyez-vous, le fait de tout m'offrir tout cuit dans le bec - si j'ose dire -, m'a rendu profondément dépendant de mes parents. Et cet état de cause dure encore, même si j'ai réussi à la limiter.

On dit de moi que je suis vantard, imbu de moi-même aussi. C'est simplement du au fait que je sois - juste -, exceptionnel! Non, il n'y a rien d'autre que ça. Enfin, il est vrai que j'ai tendance à me mettre en avant, je ne le nie pas. Mais de là à me traiter de vantard égocentrique, il y a des limites. Il n'y a rien de mal à dire haut et fort que l'on est Beau et Riche! Cela n'attire que la jalousie, c'est tout. Et malgré une liste diablement longue de qualités et de valeurs qui me vont à ravir, j'admets avoir certains défauts.

D'abord ma "petite" obsession de la symétrie, qui va d'ailleurs de pair avec ma recherche constante de l'incarnation du Parfait, avec un grand P. Jusqu'à présent, aucune trace de cet être Parfait... Il y a cela dit certaines traces que j'ai pu déceler mais malheureusement, rien de très probant. D'ailleurs je développe actuellement une machine mesurant la Perfection chez les gens. je vais essayer de faire breveter le concept, même si les premiers résultats des tests ne sont pas concluants.

Que pourrais-je bien ajouter ? Ah oui, je suis très sûr de moi ; peut-être même trop en réalité. Du coup, il m'arrive d'écoucher lamentablement. Mais rassurez-vous: cela n'arrive que très peu... Aussi - mais très peu de personnes le savent -, je suis au fond de moi, un grand Romantique. Presque personne n'est au courant, pour la simple raison qu'il s'agit là d'une part de moi que je garde le plus possible enfouie. Voyez-vous, Père n'a jamais été homme à clamer haut et fort ses sentiments. Pour lui, les hommes qui le faisaient, hormis pour séduire quelque donzelle qui soit, n'étaient que des faibles pour lui. Cela dit, je l'ai toujours soupçonné d'être un peu comme moi, c'est à dire un coeur d'artichaut entouré d'une barricade de glace. J'ai toujours su au fond de moi qu'il était un minimum moins... coincé en compagnie exclusive de ma mère (après tout, s'il ne l'avait pas été, je ne serais pas là!). Bref, mon romantisme à moi se caractérise par quelques petites attentions, peut-être des mots doux aussi. Rien de bien extraordinaire, je l'admets, mais ceci est déjà bien assez suffisant je crois... Non ? Eh bien tant pis.

Une dernière chose, je suis assez rancunier. Il est difficile de regagner ma confiance une fois qu'elle est perdue. Je suis donc assez expéditif dans mes jugements. Il m'est arrivé de pardonner un peu trop vite mais cela ne m'a pas toujours été bénéfique. De ce fait, j'évite au plus possible de trop m'attacher aux gens ; ce qui me rend un peu asocial, qui m'isole peu à peu du genre humain. Et vous savez quoi ? Quand on ajoute ça à mon envie irrationnelle de jauger et juger quiconque autour de moi, nous obtenons un parfait exemple du salopard de service qu'il m'arrive d'être. »


• Description physique et vestimentaire : « Je ne vais pas d'emblée vous mentir: je suis étonnamment beau. Ce n'est pas ma faute: je suis né comme cela. En théorie, cette simple phrase aurait dû vous suffire, mais comme je vous sens profondément intéressé(e)s, je vais parler de moi avec de plus amples détails.

• « Mon visage, Ô mon Doux Visage... »
Saviez-vous que j'étais un blond aux yeux bleus? Et oui, cela ne s'invente pas. C'est comme si l'un ne pouvait aller sans l'autre ; du moins pour ma part! Ma sublime chevelure de blé est de temps à autres surmontée par un chapeau dont seule la couleur varie: blanc, noir, violet ou pourpre, tout dépend de mon humeur! Oui, j'ai un style vestimentaire bien à moi mais nous en reparlerons plus tard. Pour l'instant, concentrons-nous sur mon visage. Visage quasiment symétrique - donc parfait! -, d'ailleurs. "Quasiment" car, à mon grand regret, mon oeil gauche est éloigné d'un demi milimètre de trop de mon nez, comparé à l'autre oeil! Cependant, et fort heureusement, si l'on ne s'attarde pas à scruter minutieusement mon visage en prenant des mesures précises, on pourrait juger que mon nez, droit et aquilin, trône fièrement au centre parfait des deux saphirs me servant d'yeux.

Oh, j'allais oublier. J'ai parait-il gardé une peau de bébé! D'ailleurs, cela se sent parfaitement lorsque l'on passe une main sur l'une de mes joues: il est difficile de s'empêcher de continuer de me caresser... Je crois qu'il serait de bon aloi de finir cette description faciale par ma bouche. Elle renferme mes dents, blanches et bien alignées - je remercie d'ailleurs mon dévoué dentiste! Mes lèvres sont légèrement teintées de rouge, ce qui leur donne un pouvoir magnétique incroyable: les femmes veulent les embrasser, les goûter sans vergogne.

• « Because I'm not only a Face Value... »
Le reste de mon corps mérite également le détour, moins que mon visage mais juste assez pour engendrer assez de désir. Par contre, désolé mais je ne suis pas musclé ; je n'ai tout simplement pas choisi de sports pouvant sculpter un corps sur le court/moyen/long terme. Or, je peux me vanter d'avoir un corps relativement élancé et dans les normes: 1 mètre 74 pour 57 kilos, pas de graisse apparente ni trop de musculature inutile. Bref, cela ne me gênerait pas le moins du monde que l'on dise de moi que je suis Parfait!... Allez-y, je ne vous en voudrai pas!... Non mais, je suis sérieux... =)

Oh mais quelle tête en l'air: j'allais encore oublier un détail! Saviez-vous que ma peau se prolonge sur tout mon corps? Enfin, je veux dire que sa douceur ne se cantonne par qu'à mon doux visage. Ce serait étrange de n'avoir de la peau que sur le visage. J'avoue être Unique, mais pas Anormal!

• « ... Parce qu'il faut bien en parler à un moment. »
Passons maintenant à la partie la plus intéressante de mon anatomie! Je parle bien évidemment du dessous de la ceinture! Je sais que certains (et surtout certaines ) sont particulièrement intéresés par cette partie, justement. Bref, ne nous attardons pas plus que nécessaire: le symbole de ma virilité se porte bien et c'est tout ce que j'en dirai! Si vous voulez éventuellement de plus amples informations, reportez-vous aux témoignages de mes conquêtes ou venez carrément voir par vous-même! ~

• «Pour finir en beauté ! »
Terminons cette description des plus intéressantes par une description globale de mon style vestimentaire. J'aime les motifs. L'Écossais typique jusqu'aux fleurs stylisées donnant un effet raffiné, en passant par la "Baroque", qui sied à merveille à quelqu'un de ma classe. Je tiens, malheureusement, ça de mes études en Angleterre. J'y ai passé beaucoup trop de temps, c'est donc normal qu'il m'en reste quelques traces, ou "séquelles". Enfin, fort heureusement, j'ai acquis le don de personnaliser mes uniformes, ce qui me permit de me démarquer des autres. Enfin! Mais ce démarquage ne se cantonne pas qu'à ça, d'autant que pour moi le stylisme est un art féminin - même si je m'y plais assez! Je me démarque de cette étiquette que je hais plus que tout en m'autorisant à porter des vêtements plus amples, plus rapiécés. Vous savez, ceux qu'on dit être réservés à la Classe Ouvrière, les "vêtements de pauvre". Bref. Cessons la description: vos yeux sauront mieux me juger que mes écrits. »


• Histoire : (Ceci est l'histoire version simplifiée. A la base, il s'agissait presque d'une fanfic... je vous ai épargné de la lecture supplémentaire ! )

Siegfried est né à Bâle. Ses parents sont Franz von Kälte, un descendant d'une famille noble Suisse et sa mère est Dahlia Weissmann, la fille d'un ex-politicien Allemand. Il se sont rencontrés en Juillet 1989 durant un gala de charité organisé par la Fondation Weissmann, propriété de la famille de Dahlia. Jusqu'alors, ni Franz ni Dahlia n'étaient au courant qu'ils étaient chacun l'élu des parents de l'autre, en vue d'un mariage arrangé. Ils entretinrent une correspondance quasi-secrète durant des semaines. On les mit bien vite au courant de la machination autour d'eux, ce qui au fond ne les ennuyait pas étant donné leurs sentiments. Leur mariage était prévu pour Mars 1990. Or, en Février de la même année, Dahlia annonça à son futur mari qu'elle était enceinte. Celui-ci, malgré ce qu'on aurait pu imaginer au vu de son comportement distant et sa tendance à être froid, accueillit la nouvelle avec une joie incroyable.

La nouvelle ne fut pas au goût des parents von Kälte qui, déjà, avaient subi un échec avec leur premier fils dénommé Aubert. L'annonce de la venue au monde d'un héritier plus tôt que prévu risquait de faire jaser leurs connaissances. Les premiers jours, il n'était plus question que le mariage ait lieu. Fort heureusement, grâce à l'appui de ses futurs beaux-parents, Franz parvint à convaincre son père que la venue du petit garantissait la pérennité de leur lignée. Bref, le charabia de base que l'on sert aux nobles encore trop coincés. Le mariage eut donc bien lieu, à Cologne.

L'enfant naquit le 1er Août 1991, à Bâle. La petite famille emménagea à Lausanne l'année suivante. Franz finit par obtenir son diplôme en architecture et très vite, dut se concentrer sur son travail, au risque de délaisser femme et enfant. Dahlia, quant à elle, vivait grâce aux revenus de son mari et piochait quelques fois dans les économies offertes par sa famille lors du mariage, principalement pour gâter son fils. Quand elle finit par décrocher un emploi de photographe, dans le milieu des années 90, elle put se désolidariser de l'emprise financière de son mari et, par la même occasion, gâter encore plus son "petit ange", comme elle aimait l'appeler. En été, Siegfried était envoyé chez ses grands parents. Maternels en Juillet et paternels en Août. Il fêtait son anniversaire au cours d'une énorme réception qui se déroulait une année sur deux chez l'une ou l'autre famille, sans pour autant isoler l'autre puisque l'ensemble des parents proches étaient invités... plus quelques connaissances plus relatives, uniquement là pour témoigner plus tard de la "vigueur des héritiers von Kält".

Ils vécurent une vie des plus normales, même si rythmée par les galas de charité que devait à présent orchestrer Dahlia depuis la mort de son père en 1995. En 1995, toujours, le second héritier naquit. Une fille, dénommée France en l'honneur du pays où elle fut conçue. Elle ne prit une place équitable à celle de Siegfried au sein de la famille. On voyait en elle la pureté de sa mère et le caractère bien trempé de son père. A l'inverse, l'aîné s'illustra très tôt comme un garnement égoïste et égocentrique et ce, malgré son don pour le dessin et ses progrès en musique. A ses douze ans, on l'envoya faire ses études en Angleterre, dans une académie très prisée et privée. La future élite du monde moderne s'y trouvait. Le port de l'uniforme le déplaisait mais, fort heureusement, il put progressivement se démarquer en le personnalisant (dans les limites du règlement intérieur, évidemment). Il y développa son sens de création mais se renferma d'autant plus. A quinze ans il se mit à détester ses parents, mais surtout sa soeur. Lorsqu'il rentra en Suisse dans le courant 2007 afin de parachever ses études et préparer son voyage futur au Japon, il renia presque officiellement sa soeur, pourtant toujours prête à tout pour lui.

Ses relations avec son père se détériorèrent, principalement parce qu'il dut recourir à une éducation plus stricte pour son fils. Dahlia regretta ses manies passées, sa façon de vouloir le gâter à tout prix, croyant que cela pouvait les soigner, elle et lui, du manque de Franz. Cette vie "à la dure" fixa presque définitivement le caractère de Siegfried. Faux jusqu'au bout des ongles, imbu de sa personne et parfois même radin : l'exemple-même du déchet du jeune richard qu'il était. La copie conforme de son père jeune en fait. Il put cela dit séduire bon nombre de filles, qu'il consignait dans un carnet avec plusieurs informations telles que le nom, l'origine, la classe sociale, les mensurations et autres détails nettement plus croustillants. Dès lors il se mit en chasse de la Perfection incarnée, celle qui selon lui pourrait l'égaler et devenir son épouse. Dans cette optique, il développa une crispation maladive face au manque de symétrie, même si cette obsession n'est que mineure. Il partit au Japon en 2008, rejoindre une amie rencontrée en Angleterre, Jun Akashiya. Il habita avec elle et sa grande soeur dans un petit appartement. La soeur était une jeune fille au pair, qui put obtenir le logement grâce à son travail et sans doute aussi grâce aux faveurs qu'elle accordait à son employeur. Jun, contrairement à sa soeur Mistuki, était une fille pure et pudique. Elle s'ouvrit aux compliments de Siegfried et finit dans son lit, conformément aux prédictions un peu folles de sa grande soeur.

Le jeune homme finit sa formation de base de Japonais durant ces deux ans passés en compagnie de Jun et Mitsuki. Il apprit les rudiments de la "Langue" auprès de l'aînée, dans le dos de son amie. Il faut dire qu'il s'était fait piéger, même s'il l'avait un peu cherché dans le fond. Il crut bon de finir son cursus scolaire ici, espérant qu'il parvienne à s'intégrer dans un établissement. Mitsuki lui conseilla le Lycée Shimizu, là où elle avait elle-même été. Un internat, encore un ; l'idée ne plaisait pas trop à Siegfried, même si l'idée de voir de plus près les uniformes des écoles Japonaises lui mettait l'eau à la bouche. Le jour de la visite des lieux, il déchanta vite en apprenant que l'établissement avait aboli les dits uniformes. Tant pis, lui en portera. Et peut-être même parviendra-t-il à séduire d'autres adeptes qui le rejoindront (et pourquoi pas un cercle de jeunes filles tiens ? De quoi parfaire sa recherche de la Femme Parfaite par la même occasion).


• Raison de votre arrivée à Shimizu : L'envie de s'ouvrir à d'autres cultures. Sans compter la recherche perpétuelle de la Femme Idéale, voire Femme Parfaite. Autant parcourir l'ensemble de toutes les nationalités avant de faire son choix, non ? D'où l'envie de se retrouver dans un établissement japonais. Il faut dire aussi que Siegfried s'est fait conseiller par des amies, et ne sachant pas trop que choisir d'autre, il a suivi leur avis.

'xxxxxAutre.

• Depuis combien de temps faites-vous du RP ? Je ne sais pas exactement... Cela dit, je sais estimer que j'en fais depuis environ 5 à 6 ans, avec des périodes creuses malheureusement.
• Comment avez-vous connu le forum ? Google est mon ami
• Avez-vous un double compte ? Non.
• Personnage de votre avatar ? Vash Zwingli, autrement dit : Suisse/Switzerland de Axis Powers Hetalia
• Quel est le code règlement ? "OK" by Jude.