Jake R. Black, the Bad Boy [100%]

« Jake Riley BLACK »

'xxxxxIdentité.

• Âge : 19 ans • Classe : 3.B • Lieu de Naissance : London • Statut : Etudiant

'xxxxxDescription du personnage.

•  Description caractérielle : 

Renfermé, silencieux, fou… Autant d’adjectifs qui pourraient qualifier Jake à la perfection. C’est un jeune homme qui parle peu et qui ne parle que pour blesser les autres. C’est à vrai dire son passe-temps favoris : faire du mal aux autres, en cernant leurs points faibles et en les retournant contre eux. C’est un jeune homme très observateur et bien plus malin que ce que certains peuvent penser. Il sait berner les gens si ça peut l’aider à mieux atteindre ses objectifs. Il n’a jamais connu d’autre sentiments que la haine et l’envie de faire souffrir. Il n’a jamais aimé personne, en dehors de sa sœur et il n’aime personne en dehors de lui-même. Égoïste, narcissique, prêt à manipuler les autres pour obtenir d’eux ce qu’il veut. Étant né dans un milieu riche, depuis tout petit des domestiques lui ont appris à se comporter. On lui a appris la gestuelle à adopter selon les personnes/circonstances. Les mots qu'il faut, l’intonation, la nuance entre la nécessité, le mépris affiché et l'hypocrisie bien placée. Lorsqu'une personne peut lui apporter quelque intérêt que ce soit, il est de bon de savoir s'adresser à elle. Ce savoir lui permet de s'adonner à un autre de ces passe-temps favori : Séduire, en quelques moments il peut passer de Jake ''le rebelle'' à Jake ''le charmeur'', il devient alors poli, charmant presque gentil, mais il reste incapable de s'attacher, les relations durables très peu pour lui. Beaucoup se sont trompés sur lui. Beaucoup ont pensé pouvoir le manipuler… Les pauvres se sont brûlés les ailes et ce sont eux qui ont été manipulés au final. Attention. Il ne faut pas jouer avec Jake R. Black. Jake joue avec les gens. Il brise leur cœur, il brise leur vie, il les brise, il brise le bonheur quand il le voit. C’est dans sa nature et il y a rien qu’il puisse faire pour y changer quoi que ce soit. De mauvaise humeur, il est très violent et sadique et a tendance à se défouler sur le premier venu... Y'a-t-il un moyen de le calmer et de l'adoucir (un peu) et bien oui ! Si vous lui enfoncez un casque sur la tête ou des écouteurs, enfin il lui faut de la « bonne » musique, tout ce qui est rap, hip-hop, électronique etc... ne marcheront pas. Non notre cher Jake n'écoute que du Rock, il aime beaucoup le Punk et un peu le Hard Rock et le Métal.

•  Description physique et vestimentaire :

Voir vava. Ce cher Jake est grand, il fait 1m89, pour 67 kg. Bien, on va faire un petit voyage sur le corps de ce jeune garçon. Alors, on commence par où ? Le bas ou le haut ? Soyons fous, le bas ! Le jeune garçon a des pieds très fins et de taille normale pour un homme de sa taille, il chausse du 42. Il avoue d’ailleurs sans modestie que ses pieds sont parfaits et qu’il n’est pas difficile pour lui de trouver chaussure à son pied. Bien des jeunes hommes seraient jaloux de voir qu’il est loin d’avoir des pieds d'hobbit. Nous allons remonter légèrement, vers les longues jambes du garçon. Elles ne sont ni trop fines, ni pas assez, elles sont musclées et généralement, savent courir très vite quand son cerveau le lui ordonne. Les poils ? Ah oui, détail important, naturellement, comme tout le monde, il en a, mais très peu (vive les origines asiatiques). Aucune cicatrice sur ses genoux qui sont loin d’être osseux, non ils ne sont pas ronds, mais ovales. Passons certains endroits plutôt intimes, pour éviter de trop traumatiser les plus jeunes. Nous arrivons maintenant sur une partie assez intéressante (n’est ce pas mesdemoiselles ?). Le torse. Comme toutes les parties de son corps, il est assez musclé, enfin, juste comme il faut, mais attention, Monsieur aime s’entretenir et passer du temps à la salle de sport. Donc, nous allons faire un tour sur ses abdos, jolies petites tablettes de chocolat, miam ! Ou pas, juste bien dessinés, sans êtres des tablettes... Bon, mais arrêtez de baver, sinon je vais vous chercher des bavettes ! Bon d’accord, pour vous faire plaisir, je redescend, très légèrement, sur le pli de l’aine... Hum, très développé et affreusement sexy. Le dos, ben oui, ça peut être très sexy un dos et celui de ce charmant monsieur en est le parfait exemple. On remonte le long d’une colonne vertébrale parfaitement lisse et courbée juste comme il faut, pour se poser sur ses omoplates, ni trop écartées, ni pas assez. Alors, ses bras, ils sont musclés, mais fins et pas du tout poilus ! Ses mains sont très longues et fines comme des mains d'un pianiste, même s'il n'a jamais touché cet instrument de sa vie, en revanche il joue de la guitare et de la basse électrique. Allez, on grimpe encore vers une nuque, lisse, fine et longue, comme nous les aimons toutes dans le fond. Nous avons passé le cou rapidement qui est aussi parfait que sa nuque. Tiens donc, voila une partie des plus intéressante, le visage. Il a une forme ovale, un menton très fin et légèrement pointu, mais pas trop. Hum, la bouche, de celle qu’on a toute envie d’embrasser, elle est légèrement rose. Ses lèvres sont loin d’être desséchées. Pas de barbe de trois jours. Non, ses joues sont lisses et pas trop joufflues. Le nez, alors il a un nez très fin qui n’est pas court pour autant. Les yeux sont gris clairs agrémentés de cils fins. Son regard reflète souvent l'indifférence, la méchanceté ou la perversion. Ses sourcils, il ne les a jamais épilés de sa vie (encore heureux !), sont légèrement courbés, ce qui agrandit son regard et le rend encore plus intense. Ah, les cheveux, il les soigne ses cheveux bien lisses et souples, il les teint pour qu'ils soient de la même couleurs que ses yeux. Qu’est qu'il les aime ses cheveux, d'ailleurs il adore passer la main dans ses cheveux ce qui est devenu un tic quasiment. Bref, il a un physique assez avantageux et il s'en sert.

•  Histoire :

« Remember, if you ever need a helping hand,
you'll find one at the end of each of your arms. »

[Extrait du journal de Jake R. Black]


« Invité, toi qui lis ce journal sans même encore savoir à qui il appartient, heureux que tu es, tu ignores tout de la chance que tu as. Apprends que les présentes pages ne traiteront uniquement que de moi, de ma petite personne et de tout ce qui me concerne. Tu as l'immense privilège de tenir entre tes mains sales et impures le carnet de Jake R. Black. Celui que tu es présentement en train de lire en toute indiscrétion, t'attendant à trouver dans ces pages les confidences d'un jeune homme qui naquit un 24 février, lors d'une nuit d'hiver particulièrement glaciale. Ce qui me donne présentement dix-neuf ans. Et le talent de prédire ce que tu penses: car oui, je peux prévoir ce qui traverse ton petit esprit étriqué et ce sans même savoir lire dedans. En l'occurrence, tu te demandes comment un homme si jeune peut contenir à lui seule autant de morgue et de dédain dès les premières lignes de son journal. Patience, j'y viens. Ah et ne t'avises pas de protester, tu devrais déjà t'estimer heureux de me faire perdre mon temps. Tu te rends compte, je suis en train de me donner du mal pour toi. Vas-y prosterne-toi pendant que je raconte. Mais commençons par le commencement. Mon père, un riche aristocrate anglais a épousé ma mère, une héritière d'une grande entreprise japonaise. À cette époque, ils avaient obéi aveuglément aux ordres de leurs parents respectifs et ne se doutaient pas une seule seconde qu’ils étaient en train de faire la plus grosse erreur de toute leur vie… Le mariage étant, un enfant est rapidement né de cette union : Elizabeth. Effy. Ma sœur. Après sa naissance, Aoi, ma mère, est rapidement tombée dans la dépression. Délaissée par son mari depuis la naissance de son enfant, cette trop jeune mère au foyer est rapidement tombée dans le cercle infernal qu’est la drogue. Tout a commencé doucement, avec quelques comprimés destinés à soigner la dépression… Des comprimés auxquels se sont ajoutés d’autres destinés à soigner les douleurs et d’autres de tout genre, comme des somnifères. La vie du couple et de la jeune Effy est très vite devenue infernale et Aoi a dû se reprendre. Ce n’est que lorsque mon père est rentré un soir, avec la ferme intention de lui poser un ultimatum qu’elle a décidé de se reprendre en main. Les relations entre Aoi et son mari se sont alors améliorées… Si bien que, Effy, celle qui aurait dû être une enfant unique, a eu la chance de voir arriver, à peine deux années plus tard, la venue au monde de son jeune frère : Jake Riley Black, moi. Je n’étais pas un enfant désiré. Je n’étais qu’un accident. Je l’ai toujours su et ça ne m’a jamais vraiment dérangé dans le fond… Ma venue au monde a changé ma famille toute entière. Peu après ma naissance, ma mère est retombée en dépression. Les médecins disaient, d’après mon père qu’elle était « fragile » et « instable ». Bien trop pour élever deux enfants. William, mon père, a engagé plusieurs domestiques pour nous garder et nous éduquer, à nous apprendre la vie. Lorsque j’ai eu 6 ans, c’est Effy qui a pris la relève. C’est elle qui s’est occupée de moi, malgré le peu d’années qui nous séparaient. Elle a su être une grande sœur exemplaire : à la fois protectrice et douce, elle savait remplacer la présence de mes parents. Aoi, quant à elle, ne s’en est jamais sortie. Du plus loin que je me souvienne, ma mère avait toujours été une droguée, passant ses journées allongée dans son lit après sa consommation abusive de médicaments. Lorsque j’étais jeune, je ne comprenais pas vraiment les raisons pour lesquelles les autres enfants avaient des parents, tandis que moi j'avais ma sœur et des domestiques. J’ai grandi, grâce à la seule intervention de ma sœur . Jeune homme silencieux et très observateur, j’ai très rapidement développé un penchant pour le feu. Pyromane sur les bords, je ne me lasse pas de voir les choses brûler. Étrangement, j’aime détruire tout ce que je touche. Peut-être parce que ça lui permet d’extérioriser un peu ce que je ressens au plus profond de moi-même, allez savoir. Étant issu d'une famille riche et aristocratique, j'étais scolarisé à domicile, je n'avais donc pas d'amis. La seule personne présente à mes côtés n’a toujours été que ma sœur. Lorsque celle-ci est partie à l’université, je me suis retrouvé plus seul que jamais. C’est de plus à cette même époque que William est mort dans un accident de voiture. Mon père était parti du jour au lendemain, sans prévenir. Ma grand-mère que je n’avais jamais vue auparavant est alors entrée en jeu, elle a fait rapatrier sa "famille" au Japon. Elle m'a appris le japonais, même si elle dit que j'ai toujours mon petit accent british. A vrai dire, Effy était la seule personne sur cette Terre entière que je considérais comme mon égal. Parce que je l’aimais. Parce qu’elle m’aimait en retour. L’amour de ma sœur, c’est tout ce que je n’ai jamais possédé. Elle a été la seule personne à m’avoir jamais aimée, la seule à avoir jamais su qui j’étais vraiment. Les autres, eux, ne s’arrêtaient qu’aux apparences. Effy m’a apporté sans conteste les meilleurs moments de toute ma vie, les seuls pendant lesquels j’ai été heureux et souriant. Malheureusement, cette époque ne dura pas bien longtemps. Quelques années seulement. Quelques années que je n’oublierais certainement pas. Puis un été, ma vie s’est comme arrêtée… Comme à son habitude, cet été-là, j’avais mis le feu à un objet… L’une des photos de famille que j’avais retrouvée dans une des commodes de ma mère. J’avais regardé la photo brûler avec une certaine délectation et j'avais voulu en faire plus. Oui. Je suis un pyromane. J’aime le feu, j’aime la destruction et j’aime Effy aussi. Les trois ensembles n’ont pas fait bon ménage. Effy, de retour d’une fête à laquelle elle s’était rendue avec des amis, s’était rendue dans sa chambre. Moi, de mon côté, je m’étais endormi dans ma chambre, oubliant complètement les objets que j’avais laissé brûler sur ma commode. Lorsqu’elle me réveilla quelques minutes plus tard, ma chambre était en feu. Un feu qui ne m’effrayait pas. J’aimais les flammes et, si j’aurais du mourir d’une certaine façon, j’aurais sans aucun doute demandé à mourir dans les flammes… Cependant, le feu était désormais incontrôlable. Il ne bloquait heureusement pas la porte d’entrée et j’aurais pu sortir de ma chambre facilement si je n’avais pas été si fasciné par ce spectacle qui s’offrait à moi, par toutes ces flammes qui prenaient le pas sur ma chambre qui contaminaient tout petit à petit… Les rideaux, la moquette, mon lit… Réveillée par la fumée qui la faisait tousser, Effy est rapidement venu à mon secours. C’était une jeune fille courageuse. Elle aurait certainement fait n’importe quoi pour me sauver, comme par exemple y laisser sa vie… Effy est morte en venant me sauver. Effy est morte en voulant me sortir de ma chambre, en tentant vainement de m’empêcher de toucher les flammes qui me fascinaient tant. Oui, je suis un peu fou. Peut-être que les comprimés que ma mère prenait pendant sa grossesse y sont pour quelque chose… Toujours est-il qu’en me sortant de sa chambre, Effy ne pouvait plus respirer. Elle s’est écroulée au sol, sur moi, puisqu’elle me tenait dans ses bras. Un peu dans les vapes, je mis plusieurs secondes avant de réaliser ce qui se passait. Lorsque je repoussai le corps de ma sœur, je constatai qu’elle était morte. L’horreur s’est emparée de moi, ma vie s’est arrêtée. Je n’ai plus jamais été le même. Plus du tout. Les choses n’avaient pourtant pas changé : ma mère était toujours une droguée, mon père était toujours mort. La seule chose qui avait changé, c’était qu’Effy n’était plus là. Une idée à laquelle je n’arrivais pas à me faire si bien que, progressivement, Effy est revenue, dans ma tête. Certains pourraient dire que je suis devenue encore plus fou après ça. Que je suis devenu schizophrène. En réalité, mon cerveau s’est arrangé pour combler le vide qu’avait laissé la mort d’Effy dans mon cœur et dans ma vie. Elle était tout ce que j’aimais, elle était la seule à m’aimer, le seul à me rattacher encore à la vie. Alors, pour rester en vie, je l’ai gardé près de moi. Malgré ce drame, j'ai dû aller au Lycée, m’éloigner de Tokyo quelque temps, refaire ma vie… Observant les gens, devinant rapidement leurs points faibles, Je me suis très vite trouvé une occupation au Lycée Shimizu autre que les cours : martyriser les pauvres élèves, ce qui me valut une réputation de terreur au sein de l'école. Terreur ? C’est un compliment pour moi qui n’a jamais rien connu de bon. Quitte à être mauvais, autant l’être comme il faut et faire payer à tous ceux qui l’entourent le bonheur qu’ils affichent sur leurs visages d’idiots à longueur de journée. Alors Invité, mon histoire t'a plu ? »
[Extrait : Fin]


•  Raison de votre arrivée à Shimizu :

Ce lycée a été considéré comme suffisamment loin de sa grand-mère et du reste de la famille, il y a été depuis 3 ans, le début du lycée.

'xxxxxAutre.

•  Depuis combien de temps faites-vous du RP ? 1 an & demi.
•  Comment avez-vous connu le forum ? Via un partenariat
•  Avez-vous un double compte ?Pas encore =D
•  Personnage de votre avatar ? Misteor, inspiré de Belphegor dans le manga/anime Quelque chose […] Hitman Reborn!
•  Quel est le code règlement ?
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