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 Val'Williams | ✖.

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MessageSujet: Val'Williams | ✖.   Val'Williams | ✖. Icon_minitimeSam 4 Sep - 1:41

« Williams Jordan Valentin. »

'xxxxxIdentité.

Val'Williams | ✖. Sanstitre3wd
    Âge : Dix-sept ans. 17 petites années de vie. C'est peu ! Et pourtant il s'est passé des tonnes de choses dans cette petite vie ridiculement courte et insignifiante. Enfin pardon, lui ne la trouve pas insignifiante du tout, il l'a d'ailleurs trouvé très instructive. C'est vrai, en 17 ans on apprend pleins de choses. Pas forcément les meilleurs je vous l'accorde mais toujours profitable pour se forger un caractère. On prend ce qu'on nous donne, la vie peut être radine parfois mais on fait avec les moyens du bord. Non ?
    Classe : 1.B et rien à dire sur sa classe.
    Lieu de Naissance : Ashford, - à 05h42 pm.
    Statut : Etudiant.

'xxxxxDescription du personnage.


Description caractérielle :
{ C’est qui Valentin ? }

- Valentin ? Je ne le connais que de nom et de vue. Il à l’air déjanté comme mec. Un bombe. Et inaccessible. Sûrement. Ici, tout le monde ou presque doit le connaître. C’est le genre de personne qui se fait remarquer par son style, son allure, mais aussi par son manque de discrétion. Sa façon d’être tout simplement !

- Williams… Vous voulez parlez du grand blond ? le salop, quoi !! Putain ce sale enfoiré… Il m’a fais le pire coup de putain ! Je ne veux plus jamais en entendre parler. Et si un jour l’occasion s’offre à moi, je lui démonterais bien sa jolie gueule !

- Williams, non ? Oui … C’est une assez bon élève. Un bon niveau dans toutes les matières, avec un comportement parfois un peu trop insolent ou à se laisser aller. Une forte tête surtout.

- Valentin ?? Jordy ♥ ! Il est fabuleux ! On traîne parfois ensemble. Vous savez au début personne n’osait l’approcher, sauf peut-être le punk du bahut. En faite il est plutôt sympa, malgré les apparences. Presque enfantin je dirais par moment. Il est drôle ♥. Il est cool quoi !

- Valentin ? C’est le mec qui a un regard de tueur. Y a quelque chose de sexuel et félin qui se dégage de lui. Il est hyper froid et distant, et pourtant un de ces putains de regard de braise et de sourire provocateur. Je pense qu’il doit être un sacré dévergondé.

- Valentin Williams ? Bah, il vous emmerde. Quoi, c’était pas ça la question ? Ah désolé autant pour moi. Franchement, j'le surlove ce mec. Attendez je m’asseois, j’vais mettre des heures à parler sur lui. J’la considère en quelques sortes comme mon meilleurs pote. Mais j’le ressens plus fort que ça. Vous savez, Valentin, il est tellement énergique, enfantin et mignon qu’il me donnerait presque envie d’me battre avec mon "moi" fatigué. Pis, il a trop du style ! J’le reconnais dans une foule même ! Ralalalala. Hé, vous saviez que c’était un sadique en vrai ? C’est trop marrant sérieux, de voir sa ‘tite face de souris s’étirer avec ses grands sourires méchants. J’adore ♥. Que quelqu’un ose l’insulter tiens ! De toutes manières, j’suis sur qu’il s’en serait chargé avant moi…Enfin bref, tout ça pour dire que Valentin est génialissime ♥ .

Admirant plus que tout, son visage, ses cheveux et ses yeux, le jeune Valentin ne jure que par lui … Chaque parcelle de son être lui semble être une des « plus grandes œuvres d’art que l’on n’ai jamais créé ». D’une arrogance hors pair, le garçon s’estime bien plus qu’il n’estime les autres. Inutile de le répéter, Valentin est doté d’une rare vantardise ( « ho oui c’est moiii le plus beau, le plus intelligent, le plus beau et le plus grand ^0^ » ). Sûr de lui, il n’a peur ni des difficultés, ni des autres lycéens, au contraire, il aime les confrontations . Extraverti, il parle beaucoup, de tout, avec tout le monde ; certain dirons qu’il parle bien trop, et qu’il ferait mieux de se taire . Mais son Franc parlé fait, avec la vantardise, partie de sa personnalité . Lui demander de se taire serait comme demander à un lion de devenir végétarien, tout simplement inimaginable …

Le jeune homme est aussi la victime de fréquent et rapides changements d’humeur. Tantôt euphorique, tantôt colérique, il pourrait vous serrer amicalement dans ses bras avant de vous dire d’aller vous faire voir quelques secondes plus tard … Certains experts appellent cela des troubles bipolaires, je suis sûr que vous en avez déjà entendu parler … Un autre trait de son caractère : son excentricité. Valentin aime être regardé (ce qui explique ses nombreuses colorations capillaires), il n’a pas peur de l’originalité . Il n’hésiterait pas par exemple à se promener dans la rue avec des oreilles de lapin et un tutu rose si cela pouvait lui permettre de se trouver au cœur de toutes les rumeurs . Les bruits de couloir le font frémir de plaisir, il aime en inventer, il aime que l’on parle de lui . Son plus grand cauchemar est l’oubli . Il ne souhaite ni être oublié , ni oublier . Ce qui explique sans doute de nombreux traits de son caractère .

Enfin, Valentin est : Un psychopathe misogyne. Toujours une paire de ciseaux tranchant à sa portée, il aime découper des choses . Faisant chaque jour un grand nombre de victime comme des livres, des cahiers où des oreillers, ses cibles préférés demeurent les … -fem...- Peluches . Vous savez ? Ces truc hideux plein de poils . Ces monstres proéminents , immobiles et inutiles qui vous fixent sadiquement de leur regard vide . Elles lui font horreur, il aime leur ouvrir lentement le ventre et les vider de leurs entrailles pour ressusciter son dernier oreiller vidé aussi des siennes et devenu plus qu’inconfortable avec le temps . Ce psychopathe androgyne tueur de jouets se trouve être misogyne, car les femmes lui font horreur (enfin …), ces êtres vils et manipulateurs qui portent généralement du rose lui feraient presque peur, leur ongles longs et manucurés, leurs cheveux flottant au vent et leurs voix de crécelles l'insupporte plus que tout au monde … [/i]


Description physique et vestimentaire : Il était là, assis sur son bureau, les jambes en tailleur, un casque de baladeur sur ses oreilles, un livre de Stephen King dans les mains, une paire de ciseaux posée à proximité. Il agitait doucement la tête au rythme morbide de Gotic Lolita de Emilie Autumn, ses cheveux fins entièrement blonds encadraient son faciès à la manière de fils de soie angéliques dansant avec lui. Et quelle chevelure ! Comment nommer cette linéaire retombée, cet écran lumineux qui semble jamais ne prendre "une ligne droite" toujours de parfaites courbes suivant leurs propres envies quant au choix de leurs destination, jamais ne s’emmêle, toujours prennent-elles du volume, et qui, lorsqu’il se penche, l’encercle d’un mur impénétrable pour les yeux ? Impossible de trouver un nom correspondant assez. Qui n’a jamais eu envie d’y glisser la main ? Qui n’a pas eu envie de se perdre dans cette délicate masse ? Qui ne s’est pas émerveillé de la beauté de cette parure cachant le front du garçon, derrière sa frange si bien coupée ? Oui, qui a osé un jour nier s’être retourné à la vision de ce jeune homme ? Celui-là est un fieffé menteur, ou un être insensible. Sa peau, aussi pâle que celle d’un mort luisait presque au contact des rayons du soleil qui venaient la caresser. Les traits de son visage semblaient avoir été peints par un de ces artistes de renommé mondiale. Ils étaient fins, comme ceux d’une femme, aucune bosse, aucune déformation ne venait enlaidir ce que lui-même disait être : la perfection absolue. Deux yeux en amandes y étaient disposés, ils présentaient une particularité rare, une Hétérochromie : l’un d’eux était bleu, l’autre vert. Le damoiseau qui lisait avait toujours été fier de ce regard aux reflets sauvages qui, semblait-il, fascinait les êtres qui osaient le dévisager. Situé quelques centimètres plus bas, son nez présentait évidemment les mêmes traits que son visage, finement sculpté. Il ne présentait aucune tare.
De fines lèvres pâles recouvraient une mâchoire quasi animale. Laiteuses et tranchantes comme des lames de rasoirs, ses dents étaient convenablement alignées. Légèrement proéminent, le menton du garçon lui donnait des airs de fouine.
Ne nous attardons pas sur ce visage « so perfect » qui plait tant à l’arrogant jeune homme.

Valentin était un garçon élancé, 1m80 pour 65 kg. Son buste était loin de ressembler à celui Du David de Michel-ange, car il était dépourvu de tout reflet, plat et blanc, sans grand intérêt. Sa seule caractéristique était ce tatouage en forme de plaie béante qui déchirait sa poitrine, souvenir d’une époque lointaine qu’il s’était juré de ne jamais oublier . Outre cela, sa poitrine sans muscle n’était pas sans rappeler le corps frêle d’un enfant qui aurait grandi trop vite .

Il était vêtu d’une chemise blanche boutonnée au trois quarts , les manches étaient retroussées, dévoilant ainsi des bras pâles et malingres au bout desquels se trouvaient des mains de pianiste. Son dos était plus cambré que la normale, ce qui entraînait un maintien droit et excessivement élégant pour un jeune homme . Ses jambes, souvent repliées en tailleur, étaient longilignes. Camouflées derrière un jean large et non boutonné, elles offraient au garçon un point d’appui plus que fiable et une démarche sauvagement féline. Jamais elles ne flanchaient.

Désinvolte, le garçon continuait d’agiter lentement la tête, un rictus au coin des lèvres. Il posa son livre et s’étira avant de se lever. Entraîné par la musique, il se dandina … un peu . Son pantalon non attaché souhaita suivre son mouvement de hanche et glissa de quelque centimètres, dévoilant ainsi un pan de son caleçon (qui au passage était orné de petites têtes d’ours ), morceau de tissu qui camouflait un postérieur rebondi mais pas trop et des … enfin une chose dont tous le monde connaît l’existence et que je ne me permettrais pas de décrire ici, n’en voyant pas l’utilité.

Cet être androgyne qui venait de passer plus d’une heure à lire un thriller où des téléphones portables transformaient des hommes en démons, s’empara des ciseaux qui se trouvaient sur la table et les approcha dangereusement du roman .


Cut

Histoire :

[i]
Glisse, glisse tel un serpent,
Glisse, glisse sur le parquet .
Glisse, glisse rapidement ,
Fuis son corps bientôt gelé.

Un éclair pourpre venait caresser sa rétine, provoquant des visions insupportables. Les murs crasseux étaient constellés de tâches rouges, qui glissaient lentement jusqu’au sol telles ses larmes. La pièce tournait, il vacilla violemment atterrissant sur le corps de son double. Secoué de spasmes, il s’y agrippa violemment, le suppliant de revenir, de ne pas partir . cette image dans le miroir disparaissait peu à peu . Elle devenait froide, si froide … Ses merveilleux yeux vert perdirent de leurs éclats et il ne vit plus qu’en son frère une boite vide, un cadavre. Avec lui, la moitié de son être s’était éteint, il n’était plus qu’une charogne . La moitié d’une charogne . Un flot d’insultes sortit de sa bouche et il les lui adressa … il l’avait abandonné malgré sa promesse . Il s’était enfui.

Le garçon enfouit alors son visage dans les cheveux poisseux de son frère afin de ne pas crier tout en mordant ses lèvres jusqu’au sang. La masse de fils de soie sombre l’aveuglait, mais il pouvait toujours entendre l’autre hurler à la mort en riant. Elle l’avait tué. Elle en était satisfaite. Rassemblant son courage à deux mains, le garçon aux cheveux blonds desserra son étreinte après avoir déposé un baiser sur les lèvres de son clone . « Fuis » Lui avait il semblé entendre . « Je t’en supplie » Les larmes coulaient à flot, le sang aussi. Il se retourna, et la vit, elle était debout, les mains en sang . Il savait très bien que son corps frêle ne résisterait pas, tout comme celui de l’autre.

Avec l’agilité d’un loup, il bondit sur ses jambes et se mit à courir, courir plus vite qu’il ne l’avait jamais fait. Elle hurla comme une démone mais ne le poursuivit pas . Il s’engouffra dans l’ascenseur de son immeuble et lui ordonna de descendre. Une fois dans le hall, il poursuivit sa course. Le sang de son frère plaquait ses longs cheveux clairs en arrière dans une odeur aigre. Une violente nausée le prit mais il ne s’arrêta pas avant d’être dehors. Un vent d’hiver glacial vint le caresser lorsqu’il déboucha dans les rue de Londres le ramenant à la réalité. Haletant, le garçon de 10 ans prit appui sur un mur et vomit . Il était mort … Mort … MORT ! Les larmes continuaient désespérément de couler le long de ses joues et malgré le monde qui circulait dans les rue de la capitale personne ne fit attention à lui .

C’était le 24 décembre, la population du monde entier s’apprêtait à fêter l’une des fêtes les plus populaires, ainsi les londoniens dévalisaient frénétiquement les magasins à la recherche du cadeau parfait tout en réfléchissant à leur repas de famille qu’ils devraient préparer. Tous étaient bien trop occupés pour faire attention à ce petit garçon qui pleurait et vomissait sur le parvis d’une église … ce petit garçon déchiré qui, couvert de sang, ne verrait plus qu’en Noël, une fête morbide.

Épuisé, Valentin Jordan Williams s’enfonça dans les bas quartiers de Londres, les gens y étaient moins nombreux et les ruelles plus étroites . Il avançait, sans savoir où il allait, laissant ses jambes harassées le porte . Il voulait juste oublier, il voulait ne plus avoir à penser. Il marcha pendant environs une heure, puis il atteignit une ruelle où seuls de vieux rats déambulaient . Là, il s’adossa contre un mur et se laissa glisser à ses pieds . Son cœur battait la chamade, son estomac,vide à présent donnait l’impression de vouloir exploser . Il lutta pour ne pas fermer les yeux, il savait parfaitement ce qu’il verrait si jamais il flanchait. Il lutta, mais perdit rapidement la bataille. Dans un dernier battement de cils, le chérubin de dix ans s’assoupit. Une larme coulant toujours le long de sa joue.

***

Jordan Williams était né en Février 1961. Son père était un mauvais écrivain alcoolique, sa mère une aventure d’une nuit . Incapable d’attiser l’amour d’une femme, il l’avait payé … Juste une foi . De leur union factice était né Jordan, la femme dont le pseudonyme était Helena accoucha dans un bordel et confia l’enfant au père dont elle ignorait le nom : George Williams. L’enfant grandit seul grâce aux livres et à la télévision qui venait de faire son apparition. Il fut fasciné par les premiers pas de l’homme sur la lune et il nourrit alors l’ambition de travailler un jour pour la Nasa. Ce qu’il ne réalisera jamais .
Mikhaila Williams ( ou de son nom de jeune fille Mikhaila Datrovski) était une femme issue d’un milieu aisé. Fille d’un riche Banquier russe et d’une princesse autrichienne, la demoiselle avait grandi dans un environnement luxueux . Elle ne nourrissait aucun désir, ayant déjà tout, elle faisait partie de ses filles de la haute société lassées de leur chance .

La rencontre de ces deux êtres fut un hasard total . En vacance à Moscou, ville natale de Mikhaila, Jordan, âgé de trente ans rentra en collision avec la riche Russe de 20 ans alors qu’il prenait quelques photos de la ville. Comme dans les plus grands films romantiques, ce fut le coup de foudre.

A partir de cet instant, la jeune femme fit de nombreux allers-retour entre Londres et Moscou. Lorsqu’elle tomba enceinte, ils décidèrent de s’installer ensemble. La russe acheta un grand appartement au centre de la capitale et il l’y rejoignit . Leur vie semblait enfin prendre un tournant intéressant, il était heureux, elle aussi , leurs enfants seraient heureux. La vie était enfin belle. Mais il est évident que le malheur n’est jamais loin des gens heureux … il les guette dans l’ombre, attendant le moment propice où il sévira …

De leur union naquirent deux chérubins aux cheveux d'anges : on les nomma respectivement Valentin et Lawrence. Six ans passèrent, six ans de bonheur . Six ans durant lesquels les jumeaux Williams s'épanouirent dans l’amour le plus complet. Ils étaient les meilleurs de leur classe, leur père était un chercheur réputé souvent en déplacement, et leur mère, une femme charmante et aimable qui semblait les aimer plus que tout .

Pourtant un jour, le malheur survint. Surprise ! On est de retour !

Le professeur Williams décida de tout quitter en 1997, son poste ne lui convenait pas, il cherchait tant bien que mal mais ne trouvait rien. Il ne voyait quasiment plus sa femme qui le soupçonnait d’avoir une maîtresse, il ne comprenait pas ses propres enfants. Sa vie ne valait rien, il n’était qu’un incapable. Il était comme son père … Il finirait comme ce dernier … sûrement d’une overdose. Il partit sur un coup de tête, s’emparant de ses affaires devant les yeux surpris de sa femme, il les fourra dans sa valise et sortit sans même regarder ce visage une dernière fois. Il entendit qu’elle l’appelait, en anglais puis en russe , elle répétait frénétiquement les mêmes paroles : « Non . S’il te plait ! » . Paroles inutiles puisqu’il s’engouffra dans un taxi sans même se retourner.

Quatre années passèrent. Quatre années durant lesquelles les jumeaux Williams grandirent tant bien que mal en soutenant leur mère à l’aide de leurs petits bras d’enfants . Comme tout enfant, ils continuaient d’aller à l’école où ils excellaient. Comme tout adulte ils tentaient de tenir leur appartement et leur mère en bon état. Leur infante ne travaillait pas, mais l’argent n’était pas un souci, elle en avait mis assez de coté pour survivre des décennies. Les accidents domestiques étaient nombreux évidemment, le matériel électroménager n’ayant jamais été conçu pour des enfants, les départs d’incendies et les inondations étaient plus que fréquents … Certes il n’étaient plus épanouis, mais au moins ils étaient vivants.

Jusqu'à ce tragique 24 Décembre.

xXx


THE INVISIBLE WALL


- TU N’AS AUCUNE CHANCE MON SALAMECHE EST BIEN PLUS FORT QUE TON CARAPUCE !!

Tous deux jouaient sur la Nintendo 64 qu’ils s’étaient offerts, un combat enragé opposait un petit dragon orange à une tortue bleue . Une dinde cuisait confortablement dans le four et leur mère était couchée –comme à son habitude – dans sa chambre . S’étant occupé de tous les préparatifs, les enfants pouvaient à présent se consacrer à une activité de leur âge : se massacrer à coups de Pokémons … Valentin était en train de perdre la partie . Il ne lui restait plus que 10 PV , lui qui pensait que l’eau était plus fort que le feu, il devrait revoir ses théories. Lawrence jubilait , il allait gagner.

Les deux chérubins étaient identiques . De longs cheveux blonds atterrissaient telle une cascade sur leurs épaules carrées, leur peau était laiteuse et leur visage d’une finesse féminine semblables. Les mêmes mimiques infantiles venaient éclairer leurs faciès . La seule différence perceptible était leurs yeux. L’un les avait verts , l’autre les avait verts et bleus comme ceux de certains loups . A eux deux, ils ne formaient qu’une seule et unique personne. Complémentaires à 200% il était rare d’en voir un sans l’autre. Le charmant message « Game Over » vint s’afficher sur la partie de l’écran réservé à Valentin et celui-ci poussa un juron tandis que son double dansait en chantant à sa gloire.

- Tricheur . Murmura le perdant .

- Mauvais joueur . Répliqua le vainqueur .

Valentin n’eut pas le temps de riposter car un bruit de casse se fit entendre dans leur dos. Une femme blonde se tenait debout, tremblante elle fixait vaguement le vase qu’elle venait de faire tomber .

- Maman ? Tu vas bien ? Demandèrent en chœur les enfants .

Elle ne répondit rien .

- Maman, tu veux quelque chose ? enchaînèrent-ils.

Aucune réponse . Frénétiquement elle leva la tête … Ses enfant ressemblaient en tout point à leur père ; elle ne s’en était jamais rendu compte jusqu'à présent.

- En russe ! persifla t-elle avec hargne . Voyant que ses enfants ne comprenaient pas elle réédita sa question . Cessez de parler anglais et parlez-moi en russe !

Interloqués, ils s’exécutèrent … Elle frémit . Ils avaient les mêmes intonations que leur paternel . Mais où avait-elle été ces dernières années . Elle n’avait pas veillé sur eux et les voilà transformés en lui .

- Maman, demanda Valentin . Tu es sûre que tout va bien ?

Il ne vit pas le coup arriver ; il avait reçu une violente gifle qui l’envoya valser un peu plus loin . Elle avait les yeux d’un démon . Comme si le frapper était une des choses les plus jouissives qu’elle n’avait jamais faite . Lentement elle s’approcha de lui, l’attrapa par le cou et souleva son petit corps sans trop de difficultés.

- Maman arrête ! Criait l’autre tandis qu’il tentait de relâcher l’emprise qu’exerçait sa mère . Tu vas le tuer !

De toutes ses forces, le garçon libre poussa sa mère qui, surprise, lâcha l’autre . Haletante, elle sauta sur son agresseur, l’attrapa violemment en le plaquant contre le mur .

- QUI ES-TU POUR TE PERMETTRE DE ME DIRE CE QUE JE DOIS FAIRE ?! Hurla –t-elle . Tu n’as aucun droit sur moi, tu entends ?! AUCUN !

Il ne répondit pas, la peur se lisait sur ses trait, il était tout bonnement terrifié. Son silence énerva un peu plus la femme qui commença à le secouer violemment . Des larmes roulèrent sur les joues du garçon toujours silencieux .

- PARLE ! REPONDS MOI !

S’agitant face au silence de son fils, la femme perdit le contrôle de son être et cogna violemment le crâne de sa progéniture contre le mur, une fois , deux fois, trois fois . Quatre fois, cinq fois …

Sa moitié était en train de se faire écraser le crâne et il ne réagissait pas . Déconfit, Valentin hurlait , il la suppliait de lâcher son double . En vain . Beaucoup de sang avait giclé sur les murs et sur lui aussi. Par endroit, il pouvait voir un bout de cervelle, mais il ne comprenait pas, il ne comprenait rien . Ce n’était pas possible . Rien de tout cela n’avait existé . Il était en train de rêver, c’était tout … C’était juste un rêve . Tout simplement. Un cauchemar. Elle. Elle se mit à rire, la femme, de son rire vide où seule la folie se reflétait. Elle en avait fini avec lui, elle le lâcha. L’autre vacilla.

Is it a pain of the children whom you murdered ?


HEADACHE MAN


Valentin hurla. La nuit venait de tomber et moult foyers fêtaient gaiement noël. Il crut distinguer trois silhouette plongées dans l’obscurité en face de lui. Apparemment, elles le regardaient en chuchotant. Il crut entendre les mots « impossible », « jeune », « rat », « chef », « mécontent » « sang » et « mort ». Lorsque les silhouettes comprirent qu’il était conscient, l’une d’elle s’approcha afin qu’il puisse le distinguer. Il s’agissait d’un adolescent d’une quinzaine d’années, grand et bien bâti. Il dut s’agenouiller pour être à la hauteur du garçon. Il avait de longs cheveux bruns, maintenus en catogan à l’arrière de son crane, de grands yeux gris, un nez tordu et des lèvres peu épaisses. Valentin fut marqué par la grande cicatrice qui était inscrite sur la face gauche de son visage . Située juste sous son oeil, elle déchirait sauvagement sa joue. Le garçonnet couvert de sang ne put détacher ses yeux de la marque.

- Hey gamin ! Quel age as-tu ? Demanda l’adolescent doucement pour ne pas l’effrayer .

- D… Dix . Réussit à articuler le dit gamin en relevant les yeux .

Il sentit son interlocuteur frissonner légèrement en découvrant son regard . Perplexe, celui ci se tourna vers les autres ombres avant d’ouvrir de nouveau la bouche .

- Que t’est-il arrivé ? Demanda t-il en désignant du menton le chemisier taché de pourpre .

- …

Il soupira .

- Je comprend . Tu as un toit au moins ?

Il fit non de la tête . L’autre se leva, fit craquer les articulations de ses membres et se rebaissa pour s’emparer du garçon . Une douce quiétude vint l’envahir au contact des bras du jeune homme où il demeura durant tout le trajet . Il lui était toujours impossible de voir le visage des deux autres ombres qui filait dans l’obscurité .

Ils atteignirent une vieille maison de trois étages, grimpant jusqu'à la porte d’entrée, le jeune garçon donna deux coup sec au panneau de bois, celui ci pivota, ils entrèrent . Quelqu’un murmura une chose que Valentin ne put distinguer et d’autres rirent .

- Quand donc cesseras-tu de jouer les bons Samaritains Charlie ! Il est bien trop jeune pour nous être utile !

Celui qui s’appelait Charlie ne se retourna pas et continua d’avancer dans un corridor plus que lugubre ; l’enfant toujours dans ses bras.

- C’est bien ce que nous verrons ! Lâcha-t-il par dessus son épaule .

De nouveau il s’arrêta devant une porte . Après avoir frappé, on l’invita à rentrer .


Il fut présenté à un garçon d’une vingtaine d’année, grand est blond, il était d’une beauté indescriptible. Il lui expliqua ce dans quoi il venait de mettre les pieds. Il s’agissait d’une sorte d’association d’enfants des rues . Tous où presque étaient des orphelins, les autres avait fui leur familles . Pour vivre, chacun devait voler, leur butin était alors partagé équitablement (avec une petite prime selon les personnes) et chacun était libre d’en faire ce qu’il voulait. Le garçon qui se présenta sous le nom d'Enzo, lui expliqua ce qu’était la liberté, utilisant l’association comme exemple …

De nouveaux vêtements lui furent fournis et Charlie lui apprit à voler. Bien que très jeune, il se montra très doué, et en quelques semaines il était capable de voler son pain, parfois, il réussissait à s’emparer d’un portefeuille bien rempli et il était alors le « Héros » du groupe . Lorsque ses actes tournaient mal, il se montrait rapide grâce à l’entraînement qu’il recevait de Charlie . Valentin, surnommé Val’ par ses acolytes grandit vite, développant une agilité hors norme. Cultivé, il continuait de s’instruire grâce aux livres qu’il volait régulièrement dans les librairies du coin. Ainsi éduqué dans cet environnement insalubre où l’alcool et la drogue étaient distribués comme des bonbons, le garçon devint rapidement un homme. À 14 ans, il goûta à l’héroïne, vu les effets qu’elle produisit, il abandonna bien vite, préférant le tabac. Les plaisirs de la chair lui furent aussi bien vite offerts par Charlie lui même qui était tombé sous le charme de l’homme qu’était devenu son protégé. A 16 ans ce dernier se fit faire le tatouage qui recouvre aujourd’hui sa poitrine, afin de ne jamais oublier son frère et toutes les choses qu’il avait vécu. Année qui fut aussi marqué par deux évènements tragiques, son protecteur, Charlie mourut d’une overdose et quelques mois plus tard survint son arrestation. Suite à son jeune âge , les charges ne furent pas retenues contre lui et on le confia à diverses familles d’accueil. Sa première coloration date par ailleurs de cette époque, où pris d’un esprit de contradiction, il se teignit les cheveux en vert puis en rouge, couleurs qui selon lui s’accordaient parfaitement avec son teint. Puis revint à la couleurs d'origine, un blond.

I'm the cause of your headache, and this is your song.

OGRE


Valentin se retrouva alors dans une famille plus que charmante, avec deux parents sain d’esprit, et leur fille, Louise. Ce qu'il note à leurs première rencontre, surpris. Notamment par le fait que l'unique homme de la famille était anglais - pas de problème de côté -, la mère elle, n'était autre qu'une japonaise. Louise était un mélange simple et fleurit des deux, donnant finalement une fille, et en bonus un minois assez "rare". Des très nippon et à la fois typiquement anglais. Enfin bref, Valentin avait une belle petite famille de passage en Angleterre, seulement... Seul problème : un chien. Valentin déteste les chiens. Mais il le vécu facilement car la mère proposa alors de lui acheter un chat, ce qu’il ne refusa pas, tellement il était fan de ces bêtes là. Lorsqu’il eu son ami le chat, il devient presque plus fou qu’avant en se baladant partout avec, sous les rires de Louise. Dès ce moment là, il eu une vie normale, enfin, et maîtrisait de plus en plus ses envies de vols. L'envie, se faisait de plus en plus espacer. Il taquinait tout le temps Louise, aussi facilement qu’il le faisait avec Lawrence ou Charlie, et d’ailleurs, il pense parfois à lui encore… Énormément. Ce qui le rend mélancolique, mais tant pis, il aime sa vie… Plus ou moins. Puisqu'ils n'étaient que de passage, sa "nouvelle famille" ne faisait qu'attendre que tout ce qui était administratif était enfin derrière eux. Ce qui ne prit guère longtemps pour y mettre fin, en route pour le Japon.

Ogre play, God is a beast.

LEECH


« C'est drôle non comme histoire ? Moi je l'aime bien, c'est ça qu'on devrait raconter aux enfants le soir à la place des contes centenaires qui tombent en ruines comme Blanche Neige. Elle est niaise Blanche Neige... Enfin bref... J'en étais où ? Ah oui je me souviens. Et donc c'est comme ça que... »
- Tu sais mon chou... ça fait un bon moment qu'il t'écoute plus....
« He ? Pourquoi tu dis ça ? Il a autre chose à faire de plus intéressant peut être ? »
- Non mais... il est mort.
« Haha ! Je sais idiot... Ça fait un petit moment qu'il a finit d'agoniser tu sais ? »

En entendant cette scène et en la voyant surtout, on pourrait aisément se croire fou puisque le blondinet était toujours seul sur son grand fauteuil en cuir. Pourtant il parlait et ça n'avait rien d'un dialogue douteux d'une pseudo schizophrénie ou d'un monologue d'enfant qui parle à son ami imaginaire puisqu'une voix différente de la sienne lui répondait dans le silence un peu glauque qui s'était installé dans la suite du ministre. Valentin était étrange, il se permettait de parler seul. Comme s'il discutait avec son jumeau. Reste à savoir, s'il y arrivait vraiment. Le blond était assis en tailleur sur le fauteuil. Louise apparut enfin, assise sur le bureau, et continuant inlassablement à faire tourner le fauteuil d'un Valentin ravit, au sourire enfantin. Elle finit par faire stopper le fauteuil pour que le blond soit enfin en face d'elle. Elle l'observa longtemps... Ces jolies lèvres carmines, ses yeux différents dans lesquels on pourrait croire que quelqu'un a injecté de l'eau de la mer des Caraïbes et l'autre injecté d'une simple eau de rivière française, sa peau finement grainée, son air suave et ses cheveux aux couleurs folles qui le font ressembler à un ange dès qu'il est endormi et a un démon du vice quand quelques mèches viennent se coller à son corps en sueur entre des draps froissés.

« Tu penses à moi... »
- Qu'est ce qui te fais dire ça.

Valentin observa la petite mine renfrognée de sa demi-sœur alors que celui ci détournait le visage pour regarder autre chose que ce serpent vicieux qui avait passé sa journée, et passera le reste de sa vie, à le narguer. Le blond afficha une moue boudeuse parfaite mais entièrement calculée, et avec soin, Louise le savait. Cependant, elle ne put s'empêcher de reposer ses yeux sur le visage du comédien avec un petit sourire en coin, tout en venant attraper la tignasse blonde afin d'attirer sa drogue jusqu'à ses lèvres. Mais Valentin l'arrêta avant, posant ses doigts fins sur la bouche tout près de la sienne avec un sourire goguenard et un regard qui indiquait son humeur.... joueuse.

« On va tester le moelleux d'un lit pour ministre ? »
- T'arrêtes de dire des conneries ?
« Tu rougis... Moi je crois qu'il sera vraiment plus confortable que celui de l'hôtel. Oh allez Louise te fais pas attendre quoi ! Ça fait longtemps en plus ?... hm ? »

Ah cette voix suave et sensuelle que le blondinet sait si bien faire glisser contre le cou et dans l'oreille de sa victime, comme un venin, rapide, venant paralyser le cerveau et réveiller tous les sens d'un seul coup. Valentin poussa un grognement et abandonna ses lèvres dans le cou du garçon avant de souffler d'un ton qui laissait sentir une légère colère.

- Te fous pas de moi...
« Hmmm... Toi tu m'en veux encore pour Andrew... »
- ...
« Et pour le voisin en Angleterre et pour le... »
- Oh ça va Val' ! Tu veux pas me les montrer en photos et me décrire en détails vos nuits torrides ?
« Et mes journées... C'est une bonne idée... Oooh... Mais on dirait que la frangine fait une petite crise de jalousie... C'est con Lou', arrêtes ça tout de suite et trinques avec moi. »

Il leva son verre et trinqua sans attendre avec sa jalouse de demie-sœur. Encore une fois il ne le prenait pas au sérieux et elle, elle en souffrait. Mais il se laissa entraîner vers le lit luxueux prévu au moins pour trois personnes et ne résista évidement pas quand le premier vêtement de Val' rejoignit le sol.

- Valentin t'es vraiment...
« Bandant ? Sexy ? Orgasmique ? »
- Épuisant.

« Merci, je m'aime aussi. C'est pour mieux te manger mon enfant ♥. »
- ...
« NON D'UN CHIEN ENLÈVE TES SALES PATTES DE MA FILLE !!!»

You are the same as a leech which sucks blood to live..

And that's all ?


Raison de votre arrivée à Shimizu : Fufufuh. Très franchement, ce n'est pas comme si j'avais décidé ca de moi-même. Perso' j'étais bien moi dans ma petite banlieue japonaise à ne capter que deux mots sur sept de la langue. Mais... Il a fallut que bon "papa" ai vu petit Valentin toucher sa fille. Tss... C'est pas moi qui ai voulu, je lui faisais juste plaisir à la petite. Enfin. Peu importe. "Maman et papa" ont décidés de m'envoyer dans un pensionnat, va savoir le nom. Bouarp. Ils espèrent aussi de moi de bonnes notes, et gnah gnah gnah. Pour le pensionnat, je veux bien. Mais bosser comme... Bah, comme le voisin que j'ai dévergondé, ca non. No way ! So. I'm coming guys ♪.


'xxxxxAutre.


Depuis combien de temps faites-vous du RP ? Boap. A force, on oublie.
Comment avez-vous connu le forum ? De fils en aiguilles. Disons qu'il s'agit là d'une redécouverte.
Avez-vous un double compte ? Non.
Personnage de votre avatar ?
Quel est le code règlement ?


Dernière édition par Valentin J. Williams le Mar 21 Sep - 23:13, édité 3 fois
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Sato Sayuri

Sato Sayuri


Masculin Nombre de messages : 38
Age : 30
Localisation : Dans tes rêves les plus épicés.
Emploi : Observer.
Loisirs : Fumer l'indépendance.
Date d'inscription : 03/11/2009

Feuille de personnage
Age: 21 ans
Situation personnelle: Amoureux(se)
Sort avec: Céleste Von Ash.

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MessageSujet: Re: Val'Williams | ✖.   Val'Williams | ✖. Icon_minitimeSam 4 Sep - 20:22

• Portait intéressant. Je suivrai.
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MessageSujet: Re: Val'Williams | ✖.   Val'Williams | ✖. Icon_minitimeDim 19 Sep - 16:06

miamooooooor \o/
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MessageSujet: Re: Val'Williams | ✖.   Val'Williams | ✖. Icon_minitimeMar 21 Sep - 23:19

Eh bien, et bien. J'ai vaincu ! Ma fiche est finie. Bâclée, hein *sourire pseudo-angélique* Mais ca change pas de d'habitude.
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MessageSujet: Re: Val'Williams | ✖.   Val'Williams | ✖. Icon_minitimeJeu 23 Sep - 14:59

Bonjour, bienvenu !
C'est... Une fiche PARFAITE. Je n'ai absolument rien à dire ! J'aime ton personnage en plus ♥ (Il est londonien, il aime les chats et déteste les chiens, c'est un dragueur comme mon DC, etc etc.) Et puis tu m'as l'air fan de the GazettE (ouais c'ton laisser passer !).
Enfin bref xD Plus sérieusement, c'était un VERITABLE PLAISIR de lire ta fiche. Très bien rédigée, de très bonnes figures de style, un régal !
Je te valide sans hésiter ! Bon jeu parmi nous <3
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MessageSujet: Re: Val'Williams | ✖.   Val'Williams | ✖. Icon_minitimeJeu 23 Sep - 22:59

Ta fiche est très originale et je l'adore mais j'espère que tes réponses à notre RP ne seront pas aussi longues ! ahahah
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MessageSujet: Re: Val'Williams | ✖.   Val'Williams | ✖. Icon_minitime

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