Rya Ashina [Fiche complète]

« Ashina Rya »

'xxxxxIdentité.

• Âge : 17 ans, née le 5 avril 1993 • Classe : 1.B • Lieu de Naissance : Oita • Statut : Etudiante

'xxxxxDescription du personnage.

• Description caractérielle : (7 lignes minimum)

En apparence je peux sembler d'un abord facile. Pourtant, j’ai appris à me méfier de mes semblables. D’un certain côté, cela m’a permis de développer un « don » d’observation qui, malheureusement, est pris de la part de certaines personnes pour de l’arrogance. D’un autre côté, cette méfiance a fait de moi un être secret, qui ne parle presque jamais de lui ce qui, à mon avis, doit accentuer cette impression.
Je déteste l'injustice, mais je n’en suis pas moins généreuse, sensible et je veux encore croire qu'il existe des personnes capables de bonté et de gentillesse en ce monde. J’aime me retrouver seule, au milieu de la nature. Cela me procure une grande paix intérieure qui en d‘autres circonstances il m‘est difficile d‘avoir. Peut-être parce qu’au fond de moi, je sais que la Nature ne peut pas me mentir ni me juger sur quoique se soit à l’inverse des êtres humains.
Quand vous gagnez ma confiance, vous pouvez être certain que je serai toujours là pour vous, quoiqu‘il arrive. Et même si je ne suis pas démonstrative, j’ai une grande affection, une grande tendresse pour mes proches, et si on s’attaque à eux, c’est le meilleur moyen pour me mettre en colère, et alors je n’arrive plus à me contrôler et c’est à ce moment que mes interlocuteurs savent que je peux être froide et sans cœur…
Mais rassurez-vous, je me mets vraiment en colère que très difficilement. A l’inverse, je m’irrite facilement pour des petites choses, quand on touche à mes affaires ou que l’on ne respecte pas mon point de vue par exemple. La plupart du temps je le cache, et par conséquent mes interlocuteurs ne le remarquent pas, ou très peu.
Si l’on me trahit, ou si j’apprends que vous m’avez menti, vous n’avez pas de seconde chance… Je trouve que je suis un peu extrême sur ce point, mais je ne peux pas m‘en empêcher. On m’accepte comme je suis ou l’on passe son chemin…
Encore une chose, je ne connais rien en ce concerne le sexe opposé, et mêmes les allusions les plus « voyantes » je ne les remarque pas.

Comme particularité, je pourrais vous précisez que je ne suis pas vraiment la mode comme les autres jeunes filles de mon âge. Au contraire, j’ai un goût beaucoup plus prononcé pour tous les sports de combats, plus particulièrement le Judô, mais j’aime également participé à d’autres sports comme le handball par exemple. Je fais du Judô fais depuis ma plus tendre enfance, ce qui m’a permit d’acquérir en plus d’une agilité et une certaine rapidité, une détermination quasi inébranlable et un certain côté impassible.
Mais, ne vous inquiétez pas, je n’ai pas qu’un côté « grosse brute. » J’aime également les activités calmes et tranquilles comme la lecture. Je suis ce qu’on pourrait appelé une « dévoreuse » de livres, sans pour autant me focaliser sur un seul genre. J’apprécie les mangas tout autant que les romans de Shakespeare et les pièces de Molière…


• Description physique et vestimentaire : (7 lignes minimum)

Je suis une jeune fille d'un mètre soixante-quinze environ, mince et élancée. Je pratique depuis mon enfance les arts martiaux, et plus particulièrement le Judô, ce qui a développé mon agilité, ma rapidité, et quelque peu ma musculature. Mais le fait que je sois un peu musclée ne veut pas dire que je n’ai pas de courbes, que je n‘ai pas d‘atouts féminins. Au contraire, je trouve que j’en ai trop. Je possède des cuisses fermes, des fesses rebondies et une poitrine de bonnet C (95 pour être plus précise) qui attirent plutôt le regard de certains jeunes hommes, surtout en été. Mais, dommage pour eux, je ne les remarque jamais.
La nature m’a doté d'une longue chevelure d'un châtain foncé que j’attache le plus souvent en tresse ou en queue de cheval pour éviter qu‘ils me gênent. J’ai également des yeux d’un vert qu’on peut qualifier d’émeraude que je tiens de ma mère Ina, qui elle-même les tenait de sa mère. La plupart du temps quand je suis en proie à une très forte émotion, ils deviennent vert ambrés. On m’a souvent dit que mon regard est assez déstabilisant et malgré l’apparence souriante et sereine que j‘essaye d‘avoir, je dégage pour certains une froideur, pour d’autres je suis plus méfiante qu‘autre chose.

Je m’habille essentiellement de vêtements de qualités modeste, je ne vois pas l’intérêt d’acheter des habits de marques. Le plus souvent je porte des t-shirts de couleurs unies, des jeans et mes bottines noires… Bien sûr quand je me défoule, je mets un bon jogging avec mes vieilles baskets quand ce n’est pas ma tenue de judoka que j’enfile. Je pense que vous l’aurez compris, je ne suis pas une de ses filles très portées sur la mode, et encore moins le maquillage. Je ne me mets que sur mon trente-et-un pour les grandes occasions : une robe ou une jupe, avec un maquillage léger (un fard à paupières noir, un coup de crayon noir également et un peu de mascara).

• Histoire : (10 lignes minimum)

Point de vue de Tsukida :

Ina était très jolie, et plutôt grande pour une japonaise ce qui explique peut-être la taille de ma nièce. En tout cas, j’ai répété à Rya que ma sœur était la bonté et la générosité incarnées. Elle était d’un naturel réservé, et ne se m’était jamais en avant.
Pour ce qui est du père de Rya, je sais juste qu’il est riche et marié, qu’il a eu une aventure avec Ina pour mettre du piment dans sa triste vie de riche.
Il l‘a payé ensuite, d’après les propos qu’Ina, le jour où elle lui a appris qu’elle était enceinte. Il a juste demandé d’envoyer l’enfant au Lycée Shimizu… Je l’ai appris à ma nièce ce que je sais avant qu’on part d’Oita.
Tout ce que je sais aujourd’hui, c’est que ma nièce est une très jolie jeune fille, très sportive et même si elle a un fort caractère, l’homme qui aura la chance d’être aimé d’elle sera le plus heureux.
Et que la séparation, puisqu’elle ne peut qu’être interne vu la distance qu’il y a entre l’école et la maison, est difficile...

Point de vue de Rya :

Sa famille :

Tsukida Ashina, dit Tsuka, est le frère aîné de ma mère qui est devenu mon tuteur suite à son décès. Et bien qu’il soit mon oncle, je le considère plus comme mon père.

Depuis ma naissance, il m’élève et m’a expliqué l’histoire de notre famille, et celle de mes parents.

Je suis donc issu d’une famille qui n’a pas à se soucier de l’argent, grâce à mon arrière-grand-père qui a fondé le premier complexe hôtelier Ashina, au Japon.
Aujourd’hui, il y a environ une centaine de ces complexes qui existent au Japon, et mon oncle a commencé à en proposer à certaines entreprises étatsuniennes. Plus des trois quarts de l’argent que ma famille reçoit est utilisé pour aider des hôpitaux, des associations, des petites entreprises, etc. sous la direction de Tsukida.
Il m’a appris beaucoup de choses au fur et à mesure des années, dont celle-ci : l’argent ne fait en aucun cas le bonheur mais il peut y aider si on l’utilise à bon escient et jamais pour soi-même.

Je ne peux que le remercier pour ce qu’il a fait pour moi, et même si j’ai beaucoup de mal à montrer les sentiments que je lui porte, il est tout ce que j’ai au monde.

Son histoire :

Je n'ai pas un parcours ordinaire. Je n'ai jamais connu mon père, et je ne veux pas le connaitre.

Tsukida Ashina, le frère aîné de ma mère, mon oncle mais que je considère comme mon père adoptif, l'a accompagné dans le petit village où elle voulait aller. Ils se sont installés près d’Oita, ville qui m'a vu naître.

Ma mère est morte en me mettant au monde.

J'ai vécu que des années de bonheur dans ce village avec Tsuka même si tout n’était pas toujours rose.
La petite fille que j'étais à l'époque avait, en plus d’un caractère affirmé, beaucoup d'agilité, d'adresse, de capacités pour le sport. J'avais huit ans quand j'ai gagné mon premier combat en judo contre le meilleur élève du dojo, le fils de mon professeur qui avait douze ans. Tsuka m'a aidé pour le reste, à savoir les mathématiques, écrire et lire, l'histoire et la géographie du monde et plus précisément celles de mon pays. J'ai passé mon temps entre les arts martiaux, l‘école et les enseignements de mon oncle...
Je ne sais pas pourquoi j’aime beaucoup le sport depuis l’enfance, surtout les arts martiaux. Au fil des années, ma préférence se fit pour le judo… Peut-être parce que j’ai gagné ma première victoire en étant une judoka et aussi peut-être parce que je n’arrivais qu’à plus ou moins canaliser mon trop plein d’énergie qu‘avec cet art…

L'année de mes dix-sept ans, il s'est passé un évènement : Tsuka m’informa qu’on allait quitter le village pour retourner dans sa ville natal, et celle de ma mère.

Peu de temps avant cette décision, il m’avait appris la vérité sur notre famille… Ma mère, travaillant pour un riche employeur est tombée amoureuse de lui, mais mon « père » ne voulait qu‘une liaison. Il ne s’était pas marié par amour, c’était un arrangement entre sa famille et celle de son épouse. J’étais une bâtarde, et celles et ceux que je considérais comme mes ami(e)s, m’ont tourné le dos face à cette vérité… Ce n’est pas simple au Japon d’en être une, croyez-moi…

Nous sommes parti en début janvier, et je n‘en ai eu aucun regret. Seule une jeune fille du nom de Miki un peu plus jeune que moi, et avec qui je n’ai pas été très proche les deux ans où elle a été dans ma classe, m’a dit au revoir ce matin-là.

Tsuka et moi avons rencontré beaucoup de personnes sur notre route et la plupart étaient arrogantes, hautaines, n’hésitaient pas à nous critiquer ouvertement… Certaines ont même essayé de nous escroquer de l’argent, en faisant des prix exorbitant pour un simple repas par exemple. Quand on ne savait pas où trouver un hôtel ou encore quel train prendre pour se rendre à Tokyo, personne nous a aidé. Que des égoïstes ! Toutes personnes qui étaient différentes d'eux, ils les jugeaient sans chercher à les connaître, à aller au-delà de l‘apparence…

Après avoir traversé plusieurs villes, Tsuka et moi sommes enfin arrivés à Tokyo.
On a emménagé dans l’ancienne maison de Tsuka et d’Ina, qui n’était pas très loin de l'église. Je pensais alors aider mon père adoptif pour revenir à nos besoins mais celui-ci m'a appris qu’à la mort de mes grands-parents, Ina et lui avaient reçu une certaine somme en héritage, et même si il ne s’occupait plus de la direction des hôtels Ashina, Tsukida recevait toujours un salaire conséquent puisqu’il en était le propriétaire.

Peu de temps après notre installation dans la maison nous avons engagé un artisan pour la rénover, et mon oncle en profita pour faire construire sur ses terres quelques petits pavillons pour la famille des personnes qui travaillaient pour nous. Tsuka m’avait appris très tôt la valeur de l’argent, et le fait est que l’affection et l’admiration que j’avais pour lui augmentèrent grâce à cela. D’ailleurs, il m’appris quelques temps plus tard que les employés de maison m’appréciaient beaucoup, peut-être parce que je les traitais comme étant des personnes, et non comme la plupart des enfants de riches; comme des esclaves ou pire, comme du bétail...

Mon oncle m’expliqua, peu après que je finis ma dernière année de collège par correspondance à l'école publique où j’étais inscrite, qu’Ina avait donné sa parole à mon géniteur de me mettre dans une école précise… le Lycée Shimizu.
Je ne sais pas pourquoi mais l'atmosphère qui se dégageait de ces bâtiments m'a donnée envie de faire parti de cette école... Et j’accepta d’honorer la promesse qu’avait fait ma mère à ce « père. »
Pendant les vacances étant donné que les écoles étaient fermés, nous avons dus attendre la rentrée en avril pour commencer les démarches administratives pour me transférer du lycée public où j‘étais à Oita à l’école le Lycée Shimizu. Cela prit du temps, et pour éviter de rester inactive, j’aidai la semaine pour le ménage par exemple, les familles des employés que l’on avait. Et quelque fois le soir, Tsuka me posait des questions de cours (maths - histoire - géographie - etc. …)
Un matin, je reçue enfin une lettre de le Lycée Shimizu qui m’informait que j’étais enfin admis, et le lundi suivant je fis ma rentrée par une belle matinée.

Ce qu’ils ne savent pas

Ce père que Rya déteste tant, pensant qu’il a précipité sa mère dans la tombe, était tombé amoureux d’Ina, mais ayant fait un mariage arrangé par sa famille et celle de son épouse quelques années auparavant, il ne pouvait divorcer et avait dit à Ina qu’ils ne pourraient vivre ensemble que si ils s’enfuyaient…
Le jour où la mère de Rya lui a appris qu’elle était enceinte, cela avait décidé Takeshi de partir avec elle, loin du Japon où ils pourraient vivre ensemble…
Ce jour-là il lui a bien donné de l’argent, mais pour qu’Ina aille acheter des billets d’avion mais ils ont été surpris. La jeune femme avait eu tout juste le temps de partir…
Pour ne jamais revenir, car son bien-aimé avait été envoyé au sud du Japon, dans l’une des affaires de sa famille…
Le Lycée Shimizu était un des rêves de Takeshi étant gosse, et Ina, avant de s’enfuir précipitamment, lui avait promis d’envoyer leur enfant là-bas pour qu’il puisse les retrouver tous les deux…
Mais cela est une autre histoire…


• Raison de votre arrivée à Shimizu : (Quelques lignes)

Je me suis inscrite au Lycée Shimizu tout d’abord parce que je dois honorer une promesse que ma mère a fait en mon nom à mon géniteur, alors que je n‘étais pas encore née, et ensuite parce qu’il me semble être le meilleur de la région.

'xxxxxAutre.

• Depuis combien de temps faites-vous du RP ? Depuis un peu plus d’un an.
• Comment avez-vous connu le forum ? Par un top site.
• Avez-vous un double compte ? Non.
• Personnage de votre avatar ? Tifa de FFVII
• Quel est le code règlement ? Code OK by Aka