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 Aya, vendeuse de vêtements farfelue

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MessageSujet: Aya, vendeuse de vêtements farfelue   Aya, vendeuse de vêtements farfelue Icon_minitimeVen 14 Mai - 23:29

…~* Natsume Aya *~…

'xxxxxIdentité.

Aya, vendeuse de vêtements farfelue F040qg11
    Âge : 20 ans Like a Star @ heaven
    Classe :/
    Lieu de Naissance : Kushiro, Hokkaido
    Statut : Civile
    Emploi : Boutiquière, vendeuse, styliste, couturière

'xxxxxDescription du personnage.


Description caractérielle :
Aya est une jeune femme hors du commun… Ne voulant rien faire comme tout le monde, elle se dote d’une apparence surprenante pour sortir du lot. Mais cette apparence surprenante ne cache en rien sa nature joviale et sociale. Souriante et accessible, elle ne refusera jamais une discussion, rira aux blagues qui lui seront faites, répondra aux questions qui lui seront posées, bref, acceptera toute forme de contact avec autrui.

Agréable et charmante, elle est la vendeuse parfaite ; mais elle est également moralisatrice et rabat-joie à ses heures perdues, lorsqu’elle est de mauvaise humeur. Alors, elle peut se révéler irritable et susceptible, partant en crise de larme, de cris ou de nerfs dès lors que quelque chose la chiffonne. Heureusement, elle est rarement d’aussi mauvaise humeur ; lunatique, elle est rêveuse, pouvant prononcer des phrases sibyllines ou répondre par des énigmes.

Dynamique, Aya a un magnétisme social fou ; son caractère prononcé et son style propre lui attire la sympathie de certains, la haine d’autres, mais elle en a cure. Ne se souciant guère de ce que pensent les gens, elle en rit et en joue ; ainsi, se plaisant à faire courir des rumeurs sur elle-même, elle s’amuse de la notoriété qui lui en revient, et se construit ainsi une réputation de folle et décalée mais amicale. Gardant le secret absolu sur son passé, personne ne sait ce qui lui est arrivé avant d’arriver à Nagoya ; lorsqu’on lui pose des questions sur son passé, c’est chaque fois une nouvelle histoire…

Description physique et vestimentaire :
Etant une adepte du cosplay, de la création et des teintures, Aya a un style bien particulier. A commencer par ses cheveux rouges, qui se remarquent très facilement dans la foule ; autant dire qu’elle n’aime pas passer inaperçue, aussi s’efforce-t-elle de se démarquer par son apparence en plus de son caractère.

De fait, elle porte toujours des vêtements décalés, surprenants, provocants, ou bien simplement très colorés ; dans tous les cas, originaux. Elle n’hésite pas à se vêtir de robes à crinolines pour flâner dans les rues, éventail à la main, ou bien en kimono traditionnel aux imprimés flashy ; tout est bon pour attirer l’œil. Après tout, qui mieux qu’elle-même peut faire la publicité de sa boutique ? Aussi n’est-il pas rare de voir la surprise se peindre sur le visage des passants qui la croisent.

Corporellement, Aya est assez bien proportionnée. Elle a beau manger comme dix, elle garde la ligne ; elle n’aurait pas l’étoffe d’un mannequin, mais ne fait pas partie des épaves de la société pour autant. Son style bien à part et son visage doux offrent un résultat agréable, quoique surprenant, à regarder.

Histoire :
Parmis toutes les histoires que pourra vous sortir Aya, il y aura...
Proposition n°1:
Née au fin fond de la campagne japonaise, Aya a toujours vécu dans le respect des traditions, partageant la simplicité des gens de son entourage. Ses parents modestes l’élevèrent courageusement, elle et son grand frère, Miyazaki, leur offrant une éducation ferme aux valeurs sévères. Mais les enfants grandirent, et bientôt leur envie de liberté et d’aventure leur emplit le cœur ; décidant de partir pour la ville, le frère et la sœur entamèrent leur voyage, saluant leurs parents avec une dispute digne de ce nom. Une fois arrivés en ville, ils découvrirent un monde qui leur était étranger ; ils connaissaient les voitures, les téléphones, les ordinateurs ; ils ne connaissaient pas les immeubles, les supermarchés, les foules grouillantes et la circulation hurlante. Eblouis par ce monde de lumière, ils eurent envie de découvrir plus grand, plus lumineux ; ainsi arrivèrent-ils à Nagoya, après un voyage dans un Japon qui s’offrait à eux.

Seulement, arrivés là, il durent stopper leur périple, ne pouvant pas même atteindre Tokyo, leur rêve ; l’argent venait à manquer. Vivant dans des conditions misérables, ils se retrouvèrent vite coincés entre les deux clans du coin : pris entre deux étaux, leur condition évolua bien vite ; Miya eut recours à la violence, d’abord comme moyen de défense, puis comme défouloir. Il fut bientôt amené à rallier l’un de ces clans, le clan Fujiwara ; Aya, atterrée par cette décision, ne put que suivre son frère. Afin de gagner de quoi subvenir, pendant que son frère courait les rues avec les autres yakuzas, elle allait faire le trottoir, se vendant à qui passait.

Bientôt, elle fut repérée par un homme ; celui-ci, influent et redouté dans la ville, lui proposa de devenir son mécène, subvenant à tous ses besoins, en échange de l’exclusivité de ses services. Evidemment, elle accepta ; et c’est ainsi qu’elle devint la maîtresse du chef du clan Iyori… Mais cela, elle ne l’apprit que tardivement, et se félicita alors de ne rien avoir révélé sur son frère. Avec l’argent que lui donnait cet homme, elle put même réaliser l’un de ses rêves : ouvrir une petite boutique, dans un quartier désolé de la ville, où elle pouvait vendre les vêtements qu’elle créait dans la journée. Elle retardait l’échéance d’une rivalité entre son mécène et son frère, redoutant la confrontation qui ne tarderait pas à éclater ; en attendant, elle vendait ses vêtements, sa boutique restant l’une des rares à être épargnées par les échauffourées des yakuzas…

Proposition n°7 :
Dans les profondeurs de la campagne nippone, naquit un jour une petite Aya ; malheureusement orpheline de père, le Destin l’accabla en faisant mourir sa mère à sa naissance. Mais la chance lui sourit ; un voisin passa au petit matin, ayant entendu les cris de la mère durant la nuit ; quelle surprise de trouver un nourrisson entre les bras froids de la mère ! Paniquant, l’homme attrapa le bébé et l’emmena ; il savait que sa sœur, à Nagoya, venait également d’accoucher : elle prendrait en charge cette petite…

Ainsi Aya se retrouva-t-elle élevée par cette femme, qu’elle considère aujourd’hui encore comme sa mère. Son fils, Take, frère adoptif, devint comme l’ombre d’Aya, la suivant partout ; bien que plus vieux qu’elle de quelques jours, il faisait toujours preuve d’une grande admiration pour elle, petite furie dure à cuire et prompte à éclater de rire. Mais une ombre s’ajouta bientôt au tableau : leur père mourut à son tour, tué accidentellement dans sa boutique par des yakuzas qui rôdaient dans la ville, les Fujiwara. Le choc changea profondément les deux enfants ; Take se renferma, et s’initia aux arts martiaux : assoiffé de vengeance, il rejoignit les rangs du gang adverse de celui responsable de la mort de son père, le clan Iyori, et fut bientôt nommé bras droit du chef. Aya, quant à elle, tâcha de reprendre la boutique de son oncle, seul moyen de subsistance de la famille ; continuant le commerce de vêtements, elle se lança dans la création, échappant à ses idées noires en inventant des vêtements.

Et puis, un beau jour, un homme entra dans la boutique ; leurs regards se croisèrent, et le Destin voulut que l’amour les liât instantanément. Mais l’ironie du sort vint ponctuer leur idylle : Aya découvrit un jour que celui qu’elle aimait n’était autre que le petit frère du chef du gang qui était responsable de la mort de son père adoptif… Ils se quittèrent en larmes, et depuis ce jour, Aya tente de tourner la page en oubliant cet homme pour qui son cœur bat toujours en cousant, créant, vendant ses vêtements, ne se demandant pas pourquoi aucun yakuza ne s’en prenait à sa boutique…

Proposition n°12 :
Alors qu’ils étaient en voyage d’affaire, les parents d’Aya eurent la surprise de se retrouver parents à l’une des étapes de leur voyage ; ils revinrent à Nagoya, un contrat juteux et un bébé dans les bras. L’enfant, mise en crèche car ses parents n’avaient pas le temps de s’occuper d’elle, fut élevée en même temps que les autres enfants de l’entreprise, se liant particulièrement avec l’un d’eux. En grandissant, ils se perdirent de vue, mais chacun gardait en mémoire l’autre qui avait partagé tant de bons moments.

Aya réalisa son rêve, en dépit de la désapprobation de ses parents : achetant par ses propres moyens un local dans un coin de la ville, elle se lança dans la vente de vêtements créés par ses soins. Mais, ses parents lui ayant coupés les vivres, elle se retrouva bien vite endettée jusqu’au cou. Pour combattre la misère, elle commença à vendre son corps en plus de ses vêtements, tâchant d’échapper aux créanciers qui se frottaient déjà les mains. Et puis un beau jour, une habituée de la boutique lui avoua qu’elle était tombée follement amoureuse d’elle dès l’instant où elle l’avait vue dans la vitrine ; haussant les sourcils, Aya vit là une occasion de se faire un peu plus d’argent. Vendant ses services à la demoiselle, lui offrant une nuit de rêve, celle-ci en fut ravie, au comble du bonheur ; son sourire béat s’envola lorsqu’Aya lui présenta la facture. Désappointée, car ne s’attendant pas à devoir payer et n’ayant donc pas d’argent, Aya accepta dans un élan de bonté de faire crédit à la demoiselle éprise. Celle-ci se volatilisa, rouge de honte et de colère, pour ne plus réapparaître dans la boutique.

Aya passa outre cet épisode anodin de sa vie, et continua ses activités ; quelle surprise lorsqu’un jour, c’est son ami d’enfance qui passa le seuil de sa boutique ! Leur amitié se révéla intacte, et ils renouèrent leur complicité d’antan ; seulement, Aya découvrit un jour qu’il était engagé dans une lutte de clan qui pointait dans la ville, étant du côté du clan des Fujiwara. Et cette découverte ne vint pas seule… Elle se rendit compte que la fille à qui elle avait fait crédit, cette fille qui l’aimait d’un amour à sens unique, n’était autre que la petite sœur du chef du clan Iyori. Riant sous cape, elle ne partagea rien à son ami, gardant cette information compromettante pour les situations périlleuses. Car elle se doutait bien que son ami, bien placé dans la hiérarchie du clan, ne laisserait pas ses compagnons s’en prendre à elle ; avec ce qu’elle savait de la sœur du chef de l’autre clan, elle était également assurée de ne pas avoir d’ennuis, sous peine de voir l’histoire – et donc le crédit – refaire surface.

Depuis, Aya vit tranquillement dans sa boutique de ses seuls articles, son commerce de vêtements florissant depuis que les autres boutiques avaient été dévalisées.

Proposition n°21 :
Aya, collégienne à la vie banale dans un petit établissement de la ville de Kushiro, fut soudain atteinte d’un mal qui ronge la plupart des enfants de ce monde provoqué par leur déménagement à Nagoya : la crise d’adolescence. Arrivée au lycée, elle se teignit les cheveux, et s’accoutra de vêtements plus farfelus les uns les autres, en venant à concevoir ses propres habits. Son frère, tête brûlée et casse-cou, monta son clan de copains, les Iyori, jusqu’à ce que cela prenne une ampleur insoupçonnée : bientôt, ils commencèrent à dévaliser les petits magasins, jusqu’à se délimiter un territoire. Devenant de véritables yakuzas, ils créèrent leur clan, bien connu depuis lors dans la ville. Aya, ayant fondé sa boutique de vêtements, se lamentait du sort de son frère lorsqu’un homme s’arrêta devant elle et commença à lui parler ; ils firent connaissance, et devinrent amis, puis intimes. Leur idylle avançant, Aya apprit un jour l’effroyable vérité : cet homme faisait partie du clan des Fujiwara. Elle se retrouva alors prise entre le marteau et l’enclume, jouant double jeu ; tout ce qui lui restait de sûr était sa boutique de vêtements, seule échoppe épargnée dans la rue…

Proposition n°29 :
Alors qu’elle était en voyage d’affaire, la mère d’Aya rencontra un homme fort charmant. Etant en déplacement pour dix mois, elle ne revint malheureusement jamais à son mari… S’installant avec cet homme, elle éleva Aya dans les froides contrées d’Hokkaido ; celle-ci se porta comme un charme, faisant preuve d’une vivacité d’esprit et d’une excentricité hors pairs. Lorsqu’elle atteignit quinze ans, ses parents lui révélèrent alors un grand secret : sa mère avait été mariée à un homme, un jour, avec qui elle avait eu des enfants. Choquée qu’on lui ait caché qu’elle avait des frères et sœurs, elle qui avait toujours souffert d’être fille unique, claqua la porte du domicile familial pour partir à la recherche de ceux qui partageaient une partie de son sang.

Elle arriva ainsi à Nagoya, installant une boutique de vêtements dans un coin de la ville, pour découvrir un jour avec surprise que ceux qu’elle cherchait, ses deux frères, étaient engagés dans une guerre des gangs fratricide les opposant l’un à l’autre. Tentant de prendre contact avec chacun d’eux, les Fujiwara comme les Iyori la rejetèrent, refusant de l’écouter ; seulement, son message devait être passé, puisqu’elle s’aperçut au bout de quelques semaines que sa boutique était la seule à ne pas être dévalisée…

Proposition n°37 :
Lorsqu’elle arriva à Nagoya pour y installer son commerce de vêtements, Aya dut se contenter d’un petit local dans un recoin peu fréquenté de la ville. Ne perdant pas courage, elle s’acharna au travail, jusqu’à ce qu’un jour, un homme sinistre passe le seuil de sa boutique : il lui annonça alors que, si elle refusait de payer les services du clan Iyori, celui-ci ne prendrait pas la peine de la protéger, elle ou sa boutique, contre les Fujiwara. Contrainte de payer, Aya perdit tout espoir : avec les services du clan, elle ne pouvait même pas se tirer de salaire…

Un beau jour, un autre homme entra dans la boutique ; Aya, accablée dans l’arrière-boutique, ne prit même pas la peine de se présenter à lui : elle n’avait plus de tissu, avait encore des dettes à payer, et les créanciers grattaient à la porte. Mais l’homme lui proposa de subvenir à tout, sans rien en échange ; ne comprenant pas cette générosité soudaine, Aya n’y crut pas. Jusqu’à ce que les créanciers cessent de tourner autour d’elle, les commandes de tissus livrant enfin ce dont elle avait besoin, ses dettes réglées… Elle apprit alors que cet homme qui l’avait aidée était l’un des plus hauts placés chez les Fujiwara.

Elle ne sut jamais pourquoi il l’avait ainsi aidée, mais lui est toujours reconnaissante, continuant son commerce sous la protection des deux clans de la ville…


Mais parmi toutes les histoires, une seule est vraie:

Aya, fille unique coincée dans la campagne perdue d'Hokkaido. Les contrées montagneuses, l'air pur et le chant des rossignols ont inspiré plus d'un poète nippon par le passé; mais Aya n'est pas poète, et au milieu de ce trou à rat, elle s'ennuie. Elle passa chaque jour de son enfance à observer le temps passer, attendant patiemment que sa vie change.

Et un jour, sa vie a changé. Elle a simplement décidé de réaliser son rêve, embarqua ses croquis et partit pour Tokyo. Elle s'arrêta avant, s'installant à Nagoya, qui lui avait bien plut; petite boutique dans un coin de rue, elle lança son commerce de vêtements fantaisistes qu'elle créait elle-même.

Mais avec la montée des querelles de clans, elle fut bientôt confrontée à un dilemne; pour assurer la sécurité de sa boutique, il lui fallait payer une taxe informelle à l'un ou l'autre clan. Le premier clan à venir la trouver pour lui parler de cette fameuse taxe fut le clan Fujiwara; morte de trouille, elle accepta sans tergiverser, tout en se demandant où elle pourrait trouver l'argent nécessaire.

La question ne se posa pas bien longtemps, puisque, en payant ses impôts, la taxe et ses dettes, elle tirait tout juste ce qu'il lui fallait pour se nourrir. A nouveau, l'ennui revint; et à nouveau, il fallait que sa vie change. Il fallait qu'elle trouve de l'argent, qu'elle change de vie.
C'est ainsi qu'elle partit un beau matin, de bonne heure et de bonne humeur, à la recherche d'un riche mari ou de quelque autre moyen de gagner de l'argent dans les rues de Nagoya...

Raison de votre arrivée à Shimizu :
Faisant du commerce dans la ville, il lui arrive régulièrement de s’aventurer dans l’enceinte de l’établissement pour repérer quelque nouveau client, ou ne serait-ce que prendre inspiration des originaux du lycée. Elle en profite pour faire le repérage des enfants de bonne famille, au cas où.



'xxxxxAutre.


Depuis combien de temps faites-vous du RP ? Plusieurs années.
Comment avez-vous connu le forum ? Via un ami. (que je tiens à remercier pour le ban temporaire^^)
Avez-vous un double compte ? Nein.
Personnage de votre avatar ? Euh… Bonne question.
Quel est le code règlement ? Code OK by Aka


Dernière édition par Aya Natsume le Sam 15 Mai - 12:24, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Aya, vendeuse de vêtements farfelue   Aya, vendeuse de vêtements farfelue Icon_minitimeSam 15 Mai - 0:06

Bon, alors, bienvenue, tout d'abord, Aya :3
Cheveux rouges et kimono ? Ouh la tricheuse, on va pas s'entendre 8D
Bon, flemme de connecter Aka, alors, je te dis ce qui ne va pas pour l'instant (j'ai pas tout lu parce que j'ai besoin de poser une question aussi).
Déjà, ton personnage, et c'est écrit dans les règles, doit avoir dans son pseudo un PRENOM et un NOM. Dans la fiche, pareil. On ne nait pas sans nom de famille, même orpheline de père. Ensuite, ton mot de passe est mauvais (du moins, pas exact). Et quel est l'âge exact d'Aya ? "majeure" n'est pas un âge, désolé !
Et puis voilà ma question : Pourrais-tu m'expliquer pourquoi elle donne plusieurs versions de son histoire ? Parce que là ça sert à m'embrouiller (je n'ai pas lu toutes les propositions), et j'aimerais connaître la vraie au possible, même si le personnage ment en RP, moi, j'ai besoin de la bonne version pour la validation !
Merci de corriger ce que j'ai montré du doigt pour le moment.
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MessageSujet: Re: Aya, vendeuse de vêtements farfelue   Aya, vendeuse de vêtements farfelue Icon_minitimeSam 15 Mai - 0:47

Maha x') Je corrige tout ça de suite^^

(mais je triche pas, j'ai pas fait exprès d'avoir les cheveux rouges et je mets pas que des kimonos x')...)




EDIT: Ayéééé, corrigé x)
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MessageSujet: Re: Aya, vendeuse de vêtements farfelue   Aya, vendeuse de vêtements farfelue Icon_minitimeSam 15 Mai - 1:44

Bien, alors, il faut encore que tu changes ton pseudo (tu peux le faire toi-même, en éditant ton nom dans ton profil) pour avoir le prénom et le nom, le mot de passe n'est toujours pas correct, et puis heureusement qu'il y a une histoire qui tient debout parce que les clans Iyori et Fujiwara existent vraiment. Si, dans l'histoire, la fille du chef du clan était vraiment tombée amoureuse d'Aya, il aurait fallu demander à Sashi Iyori, et pareillement pour le clan Fujiwara (à Keigo Fujiwara, etc, etc...)
Ah, et aussi, au Japon, la majorité est de 20 ans. A 19 ans, Aya serait en 3.B, et pas civile.
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MessageSujet: Re: Aya, vendeuse de vêtements farfelue   Aya, vendeuse de vêtements farfelue Icon_minitimeSam 15 Mai - 2:18

x') je suis tête en l'air. Voilà qui est corrigé (du moins je l'espère). Mea culpa!
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MessageSujet: Re: Aya, vendeuse de vêtements farfelue   Aya, vendeuse de vêtements farfelue Icon_minitimeSam 15 Mai - 2:21

Le mot de passe est faux ! Retourne lire le règlement correctement ! Il n'est pas tout à fait exact. Il ne reste plus que ça.
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MessageSujet: Re: Aya, vendeuse de vêtements farfelue   Aya, vendeuse de vêtements farfelue Icon_minitimeSam 15 Mai - 12:25

Aargl, crotte de bique>< ça m'apprendra à le faire de mémoire^^' Voilà, j'ai corrigé :')
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MessageSujet: Re: Aya, vendeuse de vêtements farfelue   Aya, vendeuse de vêtements farfelue Icon_minitimeDim 16 Mai - 16:06

Ah ! c'est bon, on y arrive enfin !
Je valide ton compte, bon jeu :3
Si tu veux créer une boutique, n'hésite pas à proposer une image dans les mêmes dimensions que les autres en faisant la demande dans la partie Gestion, et on s'en occupera !
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MessageSujet: Re: Aya, vendeuse de vêtements farfelue   Aya, vendeuse de vêtements farfelue Icon_minitime

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