Chance Findlater

« Findlater, Chance »

'xxxxxIdentité.

• Âge : 18 • Classe : 2B • Lieu de naissance: Nationalité américaine, mais né dans un avion volant au dessus de l'Atlantique. • Statut : Étudiant

'xxxxxDescription du personnage.

• Description caractérielle : Vu les circonstances de sa naissance ainsi que l’environnement dans lequel il a été élevé, il aurait été surprenant que Chance ait été un individu timide se fondant dans la masse. À sa manière, il est même plutôt flamboyant. Habitué à voyager beaucoup, il ne s’est jamais vraiment construit d’identité par rapport à son environnement développant son individualité, lui permettant d’être aussi ouvert. Il est très sensible, et s’intéresse à tout autour de lui, se disant que ça pourrait lui apporter de l’inspiration. Son but dans la vie, être un artiste, mais il est toujours en manque d’idées géniale pour laisser son art s’exprimer, en gros, il glande en attendant un miracle, une muse extraordinaire. Il aime aussi beaucoup les gens, d’ailleurs il n’hésitera jamais à adresser la parole à un inconnu sur n’importe quoi, ce qui le rend, entre autres, un peu étrange aux yeux des autres. Lorsque quelqu’un pique son intérêt, ce qui arrive plutôt souvent, il lui arrive d’être insistant et même parfois collant.

Mais ça il ne le sait pas, car il a sa vision disons propre de la réalité, de la bienséance et de la raison. Il est vraiment du genre à faire n’importe quoi sur un coup de tête, sauter par la fenêtre, grimper dans un arbre, sortir dehors habillé en ballerine si l’idée lui vient ainsi sans qu’il sache pourquoi. Il n’est pas du genre à questionner ses intuitions mais à les suivre. Ce qui le rend assez dur à suivre, surtout qu’il n’explique que la moitié de ce qu’il garde dans sa tête. On peut donc le traiter d’irréfléchi et surtout d’irresponsable. Toujours trop pris dans « sa recherche d’inspiration » il en oublie souvent les trucs plus sérieux, du genre les heures de rendez-vous, ses cours, les gens autour. Et ne venez pas lui parler d’ordre et de rangement. Il marque son territoire en laissant tout traîner, si on range ses affaires il ne s’y retrouvera plus.

Il a l’air souvent de bonne humeur et plutôt détendu, sauf lorsqu’il fait un truc stupide, ce qui arrive plutôt régulièrement. Mais bien sûr, il lui arrive de se fâcher, surtout lorsqu’il essaie de créer et que tout ce qu’il produit et du réchauffé, là il détruit son œuvre de la manière la plus violente possible pour lui tourner le dos tout à fait serein. Lorsqu’il est en colère, il essaie de dépenser son énergie en se fatiguant, en courant ou en détruisant des trucs. Un truc qui le met en colère, ce sont les gens tristes. Il essaie toujours, à sa façon, de leur redonner le sourire, mais comme souvent ça ne fait qu’aggraver les choses, il se frustre en se disant que ces gens se complaisent dans leur malheur. Évidemment, les gens obtus, mais moins que les précédents.

Il lui arrive d’attraper des lubies comme on attrape un rhume, passagères et parfois dommageables, il ne peut s’en empêcher. Un moment c’est le bleu et il décide de se teindre els cheveux en bleu, un moment c’est les petits ventilateurs et il s’en achète une caisse avec ses pauvres économies. C’est son côté un peu maniaque. Qu’on n’aime le genre ou pas, Chance n’est pas quelqu’un qu’on peut ignorer impunément. Il agit de même avec l’amour, ça ne dure jamais bien longtemps avec lui, souvent parce qu’il n’y a pas grand monde capable d’endurer son énergie assez longtemps pour ça. Ce n’est pas vraiment ce qu’il cherche dans la vie, mais si ça vient en supplément avec l’inspiration, pourquoi pas.


• Description physique et vestimentaire : Chance Findlater est doté d’un physique plutôt avantageux. Pas trop grand, ni trop petit, pas intimidant ni limité. Il est de taille moyenne tirant vers le grand du haut de son mètre 77, est assez large d’épaule, mais svelte. Il n’est pas du style musclette, mais a naturellement une constitution saine. Il a un visage ovale, un peu triangulaire, mais assez large, un nez droit et prononcé ainsi que de grandes oreilles, mais tout cela bien accordé, on ne pourrait le voir avec un autre nez ou oreilles, car ils font partie de son look. Sa bouche aux lèvres minces est souvent fendue en un sourire, et si elle ne l’est pas, on le remarque assez vite. Au coin de son œil gauche, il a un grain de beauté qui lui donne un air malicieux et il a une fossette qui se creuse dans la joue de ce même côté lorsqu’il rit.

Ses yeux, deux étoiles vertes toujours pétillantes, voir scintillante qui communique un peu trop bien ce qu’il ressent. Ils ne sont pas très grand, mais d’un vert bien défini et surplombés par des sourcils fins mais foncés. Ses cheveux, cette tignasse ondulée qui permet de le reconnaître de loin et d’un brun-roux pouvant même avoir l’air rouge, pas moyen de savoir si c’est naturel, mais en tout cas, on dirait bien. Descendant en épis devant ses oreilles et au milieu de son front et dans le bas de sa nuque. Il a beau l’air de en pas avoir besoin de les entretenir, ils sont bien pires le matin venu. Il est toujours bien rasé du visage, peut être à part un endroit en dessous de ses oreilles, mais pas de là avoir des favoris, de toute façon cachés par ses cheveux. Il a la peau plutôt foncée pour quelqu’un aux cheveux roux, mais comparé à la moyenne des gens, il est plutôt pâle.

Côté vestimentaire, il est plutôt normal et calme, pour une fois, profitez-en. Sauf à part quelques trips passagers de ballerines ou de chapeau à hélice, il est souvent vêtu d’une chemise ouverte, la plupart du temps à carreaux, avec un t-shirt en dessous, souvent à message cocasse. Il affectionne les pantalons plutôt serrés, sans avoir l’air d’avoir emprunté les jeans de sa sœur, ce qui lui fait assez bien d’ailleurs, avec comme souliers de vieux converses délavés aux lacets détruits qui semblent tenir sur ses pieds par la force de sa volonté.

• Histoire : « Y’a-t-il un médecin dans l’avion? Une sage-femme? »
« Non, mais je suis vétérinaire! Ça doit à peu près fonctionner comme une vache… »
« C’est de ma femme qu’on parle ici un peu de respect! »
« Nous nous apprêtons à entrer dans une zone de turbulence, veuillez attachez vos ceintures. »

Plusieurs cris de douleurs et de détails que l’on ne racontera pas ici plus tard.

« Cacahouètes? Un breu- Mon dieu! »
« Attention ne marchez pas sur… »
« C’est un garçon! »

Et ainsi fut né Chance Findlater, fils d’Amber et Frank Findlater, dans l’avion séparant la côte californienne de l’aéroport d’Amsterdam. Bien sûr, il devait y avoir des règlementations quant aux femmes enceintes qui prennent l’avion, mais Maman Findlater étant déjà bien en chair au départ, la future famille avait pu se faufiler dans le système pour rendre visite à leurs copains de la Hollande. Ils avaient été chanceux que l’expulsion de la vie se soit fait une demi-heure avant l’atterrissage ce 28 mars. Fils de deux globe-trotters sans peur et sans reproches, anciens hippies nostalgiques ayant pris quelques années sabbatiques pour faire le tour du monde, Chance vécut une enfance interplanétaire, dans plusieurs pays du globe. Ces deux parents étant écrivains free-lance pour des magazines, ils n’avaient rien les retenant au pays. Ainsi dilapidant leurs héritages respectifs, ils parcouraient la Terre.

Bien vite, le garçon appris à être ouvert à toutes les nouvelles expériences car elles faisaient partie de son quotidien, manger des insectes pour ce jeune garçon n’avait rien de dégoûtant ou d’extraordinaire. Mais bien sûr, constamment en mouvement, il n’avait pas le temps de socialiser avec les autres jeunes, ce qui le dota d’une imagination sans limite pour pallier le manque de camarades de jeu. Ses parents étant également de grands consommateurs d’art, le traînant dans tous les musées malgré sa réticence, il développa une fascination pour l’art sous toutes ses formes. Il décida très jeune qu’il deviendrait un grand artiste, bien qu’en une dizaine d’année il n’ait toujours pas trouvé sa voie.

Mais évidemment, le garçon arriva à un âge où l’école à la « maison » de sa mère ne suffisait plus à lui donner un bagage nécessaire pour survivre dans la société. Ils décidèrent donc de le laisser en pension chez des parents de temps en temps, en profitant pour faire des voyages un peu plus extrêmes, lui donnant au moins quelques mois d’écoles dans l’année. Les premiers mois furent difficiles, pour un garçon d’une dizaine d’année n’ayant jamais été à l’école, n’ayant pas vraiment entendu parler de discipline. Ses premiers carnets de notes furent désastreux, et la direction n’avait pas grand monde à qui répondre de sa conduite. Mais vers la fin de son séjour à l’école, il commença un peu à comprendre et à développer son autonomie. Ses parents reprirent donc l’expérience de nombreuses fois, lors des jours plus sombres où ils devaient revenir aux États-Unis pour renflouer leur compte de banque, vivre sans parents devint pour Chance aussi naturel que de manger des insectes. Bien sûr, pour se faire accepter, cela prenait toujours un peu de temps. De toute façon le garçon n’était jamais bien seul en compagnie de son imagination.

• Raison de votre arrivée à Shimizu : Finalement, lorsqu'il fut rendu à un âge plus autonome, 18 ans, ses parents décidèrent de le laisser en un endroit stable et de lui payer ses études pour voyager à deux. Bien des cours de japonais plus tard, jusqu'à ce qu'il puisse le parler fluidement, non sans accent, il fut inscrit à Shimizu.

'xxxxxAutre.

• Depuis combien de temps faites-vous du RP ? Je dirais ermhnm… 4 ans?
• Comment avez-vous connu le forum ? J’ai essayé de m’y inscrire une fois mais mon personnage était tellement nul, je me suis lassé de moi-même.
• Avez-vous un double compte ? Nope.
• Personnage de votre avatar ? Il vient du jeu S.Y.K. mais de là à dire son nom, j’ai pas trouvé.
• Quel est le code règlement ? Code OK by Aka

Merci! Ça serait avec grand plaisir.