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 »» Maxence Orpheus [Terminée]

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»» Maxence Orpheus [Terminée] Empty
MessageSujet: »» Maxence Orpheus [Terminée]   »» Maxence Orpheus [Terminée] Icon_minitimeVen 2 Avr - 0:14

« Orpheus, Maxence »

« Petite histoire des noms pour vous mes chers enfants avant de commencer. Maxence, mon prénom, est effectivement un nom grec. Pourtant, il a été manié et remanié pour qu’il puisse être écrit sans trop de fautes. Ils en avaient, de la logique, hein, mes parents? Sinon, le nom de famille Orpheus est aussi tiré du grec et signifie Orphée mais comme l’écriture était difficile (et qu’il fallait bien que je me trouve un nom pas trop compliqué pour me connecter) on a tout simplement supprimé l’accent sur le u. Et voilà. Un nom tout beau pour moi ! »

'xxxxxIdentité.

»» Maxence Orpheus [Terminée] URL DE VOTRE ICÔNE
    Âge : 19 ans
    Classe : 3.B
    Lieu de Naissance : Athènes, Grèce
    Statut : Étudiant, travail à temps partiel dans une pâtisserie. (si possible)

'xxxxxDescription du personnage.


Description caractérielle :
» Qualities.

« Allez, vas-y saute-moi dessus! Frappe-moi!
- Je ne vais pas m’énerver.
»
Calme, en plein contrôle de mes moyens. Je déteste m’énerver. Surtout si ça n’en vaut pas la peine. Je déteste les gens hyperactifs qui ne comprennent pas ce que c’est que de se tenir à carreaux. Pourtant, ces gens là arrivent très rarement à me faire sortir de mes gonds. Parce que je suis calme, voilà pourquoi. Mais pas le genre de calme qu’on peu qualifier d’ennuyeux. Nuance. Il y a calme et sobre, et ces deux termes complètement différents, dans mon livre à moi. Calme, c’est savoir faire preuve de sens critique, de savoir quel comportement adopter en quel lieu et en quelle situation, sans se laisser aller à des pulsions inutiles. Et je suis calme. Personne ne peut le nier. Je ne suis pas du genre à être en colère contre tout le monde. Quand quelque chose me fais chier, je ne saute pas aux barricades comme un chat saute dans une clôture, affolé, paniqué. Et c’est peut-être un des traits de caractère que j’aime le plus chez moi.

« Tu me fais chier avec ton imaginaire inexistant. J’m’en fous, moi!
- J’essaie seulement d’être réaliste.
»
Et je le suis, réaliste. Enfin, je pense. Je crois seulement en ce qui est sûr. En ce qui est réalisable. Je suis comme l’ancre qui permet au navire de ne pas partir à la dérive. Je suis le caillou qu’on accroche à la ficelle d’un ballon pour éviter qu’il ne s’envole. Je suis lucide. Je ne me laisse pas aveugler par toutes les pensées inimaginables qui me traversent l’esprit. Je sais comment les écarter de mon chemin pour ne garder ce qui est possible, ce qui est vrai. Contrairement à d’autres, qui parfois laissent aller leur imagination un peu trop loin, moi, je me suis posé des balises. L’imaginaire n’a pas sa place. L’imaginaire ne sert à rien dans la vie. Ce n’est pas lui qui nous permet d’avancer, d’aller plus loin. L’imaginaire ne nous permet même pas d’innover, vous comprenez? C’est pourquoi je suis un adepte du réalisme. Et aussi que tout ce qui est histoires et légendes m’écœure.

« Cesse de me regarder comme ça…Je…Non!....Bon d’accord! Fine! Tu as gagné!
- Heh! Trop facile!
»
J’ai toujours été très persuasif de nature. Parfois même sans prononcer ne serait-ce qu’un seul mot. Le regard qui tue, comme on dit. Je suis souvent en mesure de trouver des arguments pour appuyer mes idées. De bons arguments. Et, généralement, j’ai souvent ce que je veux. C’était pareil quand j’étais petit. C’est facile quand on s’appelle Maxence Orpheus d’avoir un peu plus de gâteau que les autres ou alors de pouvoir se coucher plus tard que les autres. Par contre, la persuasion avait un prix. Pour que les gens me croient et veuillent me suivre, il faut que je sois digne de confiance, ce que bien sûr j’essaie d’être ou j’essaie de paraitre, du moins. Et selon moi, savoir persuader les gens est un atout très bon à avoir dans son jeu. Vous ne trouvez pas?

» Faults

« Maxence, dis le moi franchement…Est-ce que tu m’aime?
- Oui…enfin…Je crois…
»
Je suis un indécis dans l’âme. Jamais satisfait avec ce que j’ai, j’éprouve ce besoin incroyable d’aller voir si l’herbe est plus verte chez le voisin, si vous voyez ce que je veux dire. Je ne sais jamais si je vais être heureux ou pas dans ce que je fais, surtout côté amour. Certains disent qu’à cause de ça, je suis infidèle. Peut-être. Mais c’est dans ma nature. J’ai vraiment beaucoup de misère à m’attacher à qui que ce soit et c’est pourquoi que je ne peux pas qualifier ce que je ressens envers quelqu’un d’amour. Je ne crois pas avoir d’amoureux (se) de sitôt, malheureusement. Mais je ne suis pas seulement indécis côté amour, j’ai souvent de la difficulté à trouver ce que je vais mettre comme vêtements le matin alors on comprend que je change souvent d’idée. Par contre, j’essaie du mieux que je peux de faire en sorte que ça ne paraisse pas trop. Du mieux que je peux.

« On l’a assez fait pour aujourd’hui. Ça suffit, maintenant.
- Oh allez. Juste une dernière fois…
»
Est-ce trop demander de comprendre que je suis capricieux? J’ai toujours été un enfant gâté, dans mon pays d’origine. Pourquoi les gens refusent de comprendre que j’ai le droit, avec tout ce que je fais pour la société, qu’on répondre positivement à mes demandes, aux faveurs que je demande? J’ai droit à des récompenses, vous ne pensez pas? Quand j’étais petit, j’étais comme ça aussi. Capricieux. Je ne faisais pas de crises lorsqu’on ne me donnait pas ce que je voulais mais j’étais du genre à bouder. À aller marcher longtemps, longtemps, jusqu’à ce que mes idées se remettent en place ou alors que la personne qui m’a refusé mon caprice abandonne. C’était une de mes nombreuses techniques de persuasion mais c’était une carte que je ne tirais qu’en cas de demande refusée. Ce que je fais encore, de temps en temps, quand je redeviens un peu gamin.

Description physique et vestimentaire :
Cette moue déconcertante sur mon visage, cette frange qui cache mes yeux tellement que j’ai de la difficulté à voir et que je flambe la moitié de ma paye chez le coiffeur, c’est tout à fait moi, ça.

Mais commençons par le commencement, si vous le voulez bien. Qu’on se le dise tout de suite, je n’ai pas la taille d’un joueur de basket black Harlem globetrotteur. Mais je suis quand même fier de ma taille, puisque je suis plus grand que les filles et que la moyenne des garçons. Bon d’accord. Seulement de quelques centimètres mais quand même! Ça fait déjà quelques centimètres de plus que la majorité des garçons. Côté poids, je fais attention, mais mon mode de vie fait que je n’ai pas trop à m’inquiéter à ce niveau là. Je m’arrange pour faire du sport souvent et pour bien manger, mais je ne suis pas contre un bon repas de temps en temps, vous comprenez? Sûrement. Vous n’êtes pas des animaux, quand même. Alors donc, côté musculature, je me contente de ce que j’ai. Le sport me donne quand même une bonne musculature mais je n’essaie pas d’avoir plus que ce que j’ai déjà. Être culturiste, non merci pour moi.

Sinon, côté physique, je n’ai rien du japonais par excellence. Ça se comprend, puisque je suis grec. Peau un peu basanée sans exagération car je ne suis malheureusement pas du genre à bronzer au soleil. Par contre, il faut avouer que j’ai parfois une tête qui fait un peu peur. J’ai les cheveux bruns, qui on l’air de se livrer bataille souvent mais dans le fond, c’est du désordre organisé. Des cheveux en bataille, oui, mais des cheveux qui se place tout seuls et qui n’ont besoin d’aucun séchage spécial. Elle est pas belle, la vie? Sinon, côté coupe de cheveux, je peux dire que j’ai souvent les cheveux dans les yeux. Le côté droit du front est plutôt dégagé, ce qui est bien, mais ça ce gâche du côté gauche car c’est dans ce sens que tout mes cheveux vont. Heureusement, mon coiffeur s’arrange toujours pour que ça ne me gêne pas quand je travaille ou quand j’étudie. Mis à part mes cheveux, même s’ils sont beaux, une autre particularité intéressante de mon physique, c’est la couleur de mes yeux. Ils sont d’un vert tirant vers le jaune, un peux comme la couleur d’iris de certains chats, vous voyez le style? Des yeux amande à la couleur pistache. Heh. La morphologie de mon visage est plutôt banale. Menton triangulaire, front moyennement grand, sourcils bruns et fins souvent froncés, surtout lorsque je pense, bouche pouvant passer par toutes les gammes d’émotions, nez fin, étroit, bref, un visage normalement constitué, sans bras dans le front. Aucune particularité frappante dans mon physique si ce n’est que mes doigts fins. « Des doigts de pianiste » que ma mère disait. Raison pour laquelle, je joue du piano et du violoncelle aujourd’hui.

Côté vêtement, j’y vais dans le simple. Jeans confortables (pas de jeans « cigarette. Je déteste ça.), t-shirt souvent en lien avec la musique et mes groupes préférés, souliers de course. Sinon, je sais souvent m’adapter à pas mal tous les styles de vêtements mais avoir l’air d’une fille, ce n’est pas mon but premier dans la vie. Et, de temps en temps, tout dépendant l’occasion, j’aime bien porter des kimonos ou des tuxedos.
Histoire :
« Maman? Pourquoi on ne peut pas regarder le soleil en face?
- Et bien, mon chéri, laisse-moi te raconter une histoire…
»

Bercé par des illusions. Voilà ce que j’étais. Un môme perdu dans son monde imaginaire, naïf, dont on pouvait abuser sans remords tellement il en redemandait, inconsciemment. Comme ces gens que l’on frappe et qui tendent l’autre joue. Au début, on m’admirait pour mon courage. Le courage de ne pas faire attention quand un événement triste se produisait dans ma vie. Ensuite, on me méprisait pour ma naïveté. C’est ma mère, je crois, qui a contribué à faire de moi ce que je suis aujourd’hui. Je l’aimais, ma mère, et je l’aime encore beaucoup aujourd’hui, mais c’est à cause d’elle, tout ça. Il faudrait peut-être que je vous explique un peu mon histoire, vous ne pensez pas? Alors allons-y.

« Il y a longtemps, très longtemps… »

J’étais jeune. Pas si jeune que ça mais quand même. Les autres gosses se pliaient en quatre pour essayer de me convertir à leurs jeux de guerre et de batailles d’épées. Mais la violence, c’était pas mon truc. Ils essayaient, fort, très fort, de me faire comprendre que le monde n’était pas aussi beau que j’essayais de le croire. Ils me parlaient de la guerre, des soldats, de la mort, de la tristesse. Tristesse que je n’avais presque jamais connu auparavant puisque je venais de comprendre ce qu’était le jugement et les émotions, mais aussi parce que mon esprit était plongé dans un monde complètement différent de ce que tout le monde pouvait imaginer. Vous savez, comme ces cerveaux que l’on garde dans des bocaux dans le drôle de liquide vert? Ouais, comme ça. Les gens ne comprenaient pas comment je faisais pour ne ressentir aucune tristesse dans « ce monde qui ne tourne pas rond ». Ils avaient beau essayer de me soutirer mon secret pour être si serein et ils avaient beau essayer d’altérer mon bonheur, il n’y avait rien à faire. Je ne comprenais rien. Ou alors je ne voulais pas comprendre.

« Le soleil était une jeune femme très belle. Cette beauté lui avait été offerte en cadeau par un Dieu ayant pitié de son malheur… »

Côté amour, j’avais aussi quelques lacunes. Je ne me suis jamais considéré comme laid, mais, dans le fond, je l’étais peut-être puisque je n’ai eu que très peu de petites-amies. C’est peut-être à ce niveau là que j’ai subi ma première « Blessure ». Elle était belle. Je croyais avoir eu de la chance lorsqu’elle m’a donné son numéro de téléphone. À ce moment là, je m’étais promis de l’impressionner. De faire comme dans ces histoires où le chevalier séduit la belle et où ils vivent heureux. Jusqu’à la fin. J’étais bien parti, je pense. Elle avait l’air intéressée. Je la croyais sympathique et intéressante, mais je crois bien que je n’étais qu’aveuglé par la beauté rayonnante que je lui accordais. Lorsque j’ai compris que d’avoir une petite-amie n’était vraiment pas aussi facile que ça en a l’air, de mon nuage je suis tombé. Vous savez, avec les petites attentions, l’air gentleman, les compliments…Ça commence à faire beaucoup, vous ne pensez pas? Mais le pire du pire, c’est quand elle m’a demandé si je l’aimais. La question qui tue. Voyant que j’étais incapable de répondre, elle m’a dit que ça allait, que je n’étais pas obligé de répondre. Et moi, comme un imbécile, je l’ai cru!

« Pourtant, la belle a abusé de ce présent, accumulant les conquêtes les unes après les autres, au grand dam du Dieu. »

Vous comprendrez donc que, par la suite, ça a commencé à dégringoler. Moi qui pensais que j’allais être heureux avec elle, j’ai compris. J’ai compris que, dans la vraie vie, ça ne marchait ainsi. J’ai appris d’un ami que ma chère, tendre et dévouée petite amie avait abusé de la confiance que je lui vouais, ayant des liaisons avec un, que dis-je, plusieurs autres garçons. Tout ça pour se venger du fait que je n’aie pas été en mesure de déchiffrer mes sentiments mais aussi le sens véritable de la question qu’elle m’avait posé il y avait un moment déjà. Dans mon cœur, une déchirure s’est faite. Première rupture informelle. Première rupture qui n’était pas faites dans les règles de l’art et qui m’avait fait vraiment mal.

« Le Dieu, frustré, décida de lui jeter un sort. Une malédiction plutôt, pour se venger. ‘Désormais, dit-il d’une voix forte, si tu apprécie tant ta beauté, celle-ci sera tellement puissante et tellement forte, qu’elle rendra aveugle quiconque te regardera de face…’ »

Je crois que c’est à ce moment que j’ai découvert que j’avais une attirance pour les garçons. Oui, je trouvais les filles belles, sauf que cette rupture les rendait aussi intouchables que le soleil. Impossible d’être avec elles sans me brûler. Je ne voulais plus avoir mal comme j’avais eu mal avec ‘elle’. Les garçons m’apparaissaient donc plus une valeur sûre. Ils étaient comme moi. Je les connaissais. Je savais ce qu’il fallait ou ne fallait pas faire. Le seul hic était que je ne savais pas trop comment en parler avec mes parents ni aux autres garçons. Leur réaction me terrifiait. Je ne voulais pas que ça fasse comme dans les films où le bisexuel qui avoue son amour se fait renier de tout le monde. Être mis à l’écart aurait été trop dur pour moi. Mes parents ne l’ont donc finalement jamais su. J’ai gardé ça secret tout le long de mon existence et c’est probablement pour ça que je n’ai plus eu de petite-amie depuis l’or.

« Et donc, la jeune femme et devenu le soleil. C’est pour cette raison qu’on ne peut pas la regarder en face. »

Ce n’est qu’une tranche de vie, tout ça. Pourtant, c’était la même chose pour tout ce que je vivais. Du moment où mon professeur de violoncelle a eu un accident qui a fait en sorte qu’il ne pouvait plus jouer de sa vie jusqu’au jour où, en ayant assez de la mythologie et voulant découvrir une nouvelle culture, j’ai décidé de laisser mes parents et mon ancienne vie derrière moi pour aller au Japon, pays qui avait piqué mon intérêt. C’est avec l’argent que je m’étais fait en travaillant à la sueur de mon front que j’ai pu m’inscrire dans un Lycée de Nagoya nommé Shimizu. Je suis arrivé là complètement par hasard, violoncelle dans le dos (violoncelle qui soit dit en passant avait eu beaucoup de mal à entrer dans l’avion), valise dans la main droite. Je m’y suis fait rapidement. Un peu trop à mon goût, je pense. Et chaque je me réveille ne pensant que l’imaginaire, ce n’est qu’une supercherie qui fait que les chutes qu’on vit dans la vie sont plus brutales.

Raison de votre arrivée à Shimizu : Mon ancienne vie ne me plaisait pas. Pas du tout. Il y avait quelque chose dans cette atmosphère qui me donnait envie de partir, de refaire ma vie et d’abandonner à jamais celle que j’avais en Grèce. Et puis, j’en avais ma claque de la mythologie merde, c’est si difficile à comprendre?

'xxxxxAutre.


Depuis combien de temps faites-vous du RP ? Comme dit sur mon autre compte, depuis 5 ans.
Comment avez-vous connu le forum ? des amies qui se sont inscrites m’en on parlé. Après, elles sont parties mais là, y en a une autre qui devrait se réinscrire bientôt xD
Avez-vous un double compte ? Oui, mon autre compte, c’est Ayame Chihiro
Personnage de votre avatar ? Okita Shouji (Manga/Anime : Hakuouki Shinsengumi Kitan)
Quel est le code règlement ? Code OK by Aka
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MessageSujet: Re: »» Maxence Orpheus [Terminée]   »» Maxence Orpheus [Terminée] Icon_minitimeLun 5 Avr - 19:49

Voilà je l'ai enfin lue ! Désolé de ne pas avoir pu le faire comme promis.
Bon, je trouve que tu aurais pu développer un peu plus le reste mais tu as très bien décris dans le caractère aussi donc tout est bon, en fait ^^
Je te valide, et te souhaite de faire plein de concerts de violoncelles dans le lycée 8D (Je te donnerai même une petite pièce, peut-être...)
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