Jonathan Constantine. [Terminé !]

« Constantine Jonathan. »

'xxxxxIdentité.

• Âge : 18années. • Classe : Lycéen 2.B. • Lieu de Naissance : France. • Statut : Etudiant.

'xxxxxDescription du personnage.

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"Woe me, woe me, love me."

Jonathan est quelqu'un de très simple à comprendre. De nature très serviable, il n'a pas de difficultés à s'adapter. Il a toujours su faire face aux problèmes et à réfléchir posément afin de les régler. Silencieux, voir carrément absent, Jonathan faire toujours preuve d'une grande patience. Très joueur, il comprend excessivement vite les sous-entendus et entre souvent dans le jeu. L'on ne dirait pas mais sous ses traits se cache un terrible superficiel. Il faut que la personne qu'il aimera soit à son goût physiquement. L'histoire des "moches mais affectif" il ne veut même pas l'entendre. Hey oui. Aussi susceptible sur certains sujets, il hait que l'on critique sa façon de se comporter en société. Si Jonathan a une relation que l'on blâme par la suite, que l'on juge et crache dessus, il n'hésitera à l'ouvrir afin d'admettre SON opinion.

Quelque part, Jonathan est complexe dans le sens ou Il a du mal à gérer ses sentiments. Entre "Amour" et "Amitié sincère" il a des difficultés de mettre un mur entre les deux. Véritable coeur d'artichaud, il y a peu de personnes avec qui il reste vraiment. Les seules avec qui il tient le fil sont vraiment des coups de foudres plus fort que les autres. Et lorsque ca arrive, il durera et ce, pour un moment.

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"I already saw myself at the top of the poster." ♪

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Jonathan fait un mètre soixante treize. Dotés d'une chevelure blonde platine et d'iris cyan, il est tout le portrait craché de son père. C'est pour cette raison qu'il a recourt a une coloration bleu. Jonathan désire ardemment ne plus ressembler à son géniteur pour des raisons sentimentales. Il a de sa mère son élégance, sa classe, son goût pour le classique et surtout les principes envers les femmes. Il ne supporte pas d'en blesser une mais n'hésite pas à les taquiner. Pour les hommes, il le sait plus brutes, bestiaux, mais ce n'est pas pour autant qu'ils doivent être maltraités. Juste un peu plus secoués. Concernant son habitude vestimentaire, il porte très souvent des choses simples, classique tel une chemise blanche sans motif, un sans manche moulant et col roulé blanc, des slims noirs,... Les couleurs de bases le passionnent dans sa garde robe. Il déteste les vêtements que l'on dit "flash" pour en arc-en-ciel. Le matin généralement, un coup de peigne suffit à refaire ses cheveux. Un coup de parfum et hop, prêt. Non il n'est pas travesti, juste coquet.


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"Sweet victory."

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Il y a de cela 18 ans, en Provence.

La naissance de Jonathan fut tellement attendue que le jour même où sa mère, Trisha, donna naissance à ce jeune galopiot, la famille au complet était présente dans la chambre de celle ci. Son père, Edward, avait les yeux humides de voir son fils a qui il ressemblait tant. Jonathan fut aimé dés la première seconde. Une semaine après il retournait déjà au château familiale, aux côtés de ses parents comblés, satisfaits. Le manoir était certes très grand mais aussi rempli de domestiques tous très admiratifs devant le chérubin. Malice, sa nourrice, était une femme d'une beauté presque indescriptible. Elle l'avait suivi jusqu'à ses 8ans. Durant cette période nommée enfance, Jonathan n'eut manqué de rien. Il avait une grande chambre où stocké tous les jouets désirés, un gigantesque parc où jouer avec les serviteurs et il ne manquait pas une seconde pour aller se cacher sous le saule pleurer du jardin afin d'éviter les cours obligatoires. Certes, Jonathan ne fréquentait pas l'école publique ni privée. Un maitre se déplaçait à son domicile, exclusivement pour lui. Il grandissait et petit à petit, le monde des adultes s'imposait à lui. Il devait mieux se tenir, mieux parler, mieux apprendre et plus vite obéir. Pour cela, il n'avait aucun problèmes.

Laissez moi vous parler de Julien. C'était le petit voisin de Jonathan. Il avait le même âge que lui mais par contre, il ne venait pas du même milieu. En effet, il appartenait à une grande famille de paysans. Leurs champs s'étaient éparpillés presque tout autour du château. Impossible donc de les éviter. La nuit, Jonathan sortait afin de rejoindre Julien chez lui. Une échelle était prévue à cette effet et il gagnait la fenêtre rapidement sans que l'on s'en aperçoive.

Comparée à la chambre de Jonathan, celle du petit blond était fort restreinte, mais très personnalisé. Le lit une personne était dans un recoin et les jouets ne grouillaient pas. Mais des livres et des vieux disques cernaient les armoires. C'est ainsi qu'ils prirent l'habitude de jouer ensemble, en secret. Comprenez bien que si les parents l'apprenaient, ils seraient furieux d'imaginer une seule seconde un petit bourgeois gâté avec un petit paysan. Mais ce qui était le plus choquant ne furent pas cette découverte.

Une soirée comme les autres. Juste un détail. D'ordinaire, ils écoutaient de l'opéra ou lisaient des livres d'arts ensemble. Mais vint alors l'idée de Julien de provoquer Jonathan. Une bagarre affective commença. Ils ne cessèrent de rouler sur le sol, de se chatouiller et de se faire des coups bas apprit l'un par l'autre. Tout ceci, après un petit temps de combat, se termina sur les draps. Ce fut à cet instant précis, à la seconde près que quelque chose surgit, quelque chose que jamais ils n'avaient connu.

- A-Arrête... !! dit il, la voix essoufflée de cette mascarade et apeuré par sa découverte.

- Mais parles moins fort ! Maman va t'entendre !

- ... Mais arrête je te dis ! Regarde !

- ... C'est quoi ça ?

Une proéminence au niveau de son pantalon s'était formé, découvrant ainsi une douleur non connue pour ce pauvre Jonathan. Je ne vous citerai pas la suite, je pense que vous pouvez l'imaginer. C'était juste pour vous montrer comment il a découvert son penchant.

Jonathan, adolescent.

- Quoi ?

- C'est ainsi. Je te donne pour conseil de préparer tes cours à l'aide de Malice. Sinon, nous risquerions de passer pour des moins que notre juste valeur, fils.

Ainsi furent les mots décisifs. Jonathan avait atteint sa seizième année. Mais tout claqua un soir tardif pour le travail de son père, chef d'une grande chaine d'entreprises de fabriques de chocolat français. Il venait d'apprendre par son secrétaire que leurs bénéfices ne cessaient de chuter, que leurs frais allaient bientôt augmenter en vue des taxes et de la diminution des ventes. Ne pas bouger aurait été décisif pour son portefeuille et c'est ainsi qu'une annonce furent faites. Les entreprises se délocaliseront au Japon, là où les Japonais raffolent du chocolat. Il en était ainsi.

[...]

- Mais Père ! Permettez ma présence ici ! Je ne connais pas un traître mot de cette langue. Veuillez réfléchir ! L'on ne pourra se familiariser avec eux, là-bas !

- Mais si, fils. Il te suffira de prendre des cours ! En un mois, tu seras bilingue. Tu vas juste avoir un professeur qui te fera parler cette langue chaque jour et ce, pendant plusieurs heures. Tu verras, ça va passer tout seul.

- Mais... Père ! Comprenez-

- Tchh ! Assez ! Tu nous suivras un point c'est tout. On ne conteste pas.

[...]

Des longues semaines à réviser, parler, s'entrainer, se corriger, revoir, stresser, dialoguer, ... Tout ceci lui permit en effet d'apprendre cette langue mais néanmoins, la décision de son paternel n'avait, elle, pas changé. A seize ans, Jonathan quitta ses racines, déménageant au Japon. Il vécut auprès de sa famille durant deux années. Trop oppressé par les pressions de son père concernant l'héritage de toutes ces responsabilités, il décida qu'il n'aurait plus de cours à domicile mais dans un établissement, comme tout le monde. Rester entre quatre murs à écouter le même professeur chaque jour lui devenait insupportable. Bien sûr, Jonathan dût se contraindre à la décision de ses géniteurs m'enfin, il réussi. Il connut Shimizu suite à la découverte d'un site. Le cadre lui convenait bien et les cours également. Parmi tous les bâtiments proposés, Shimizu était celui qui restait son favori.

• Raison de votre arrivée à Shimizu :

[RESUME]

Son père a fait faillite en France et il a déplacé son entreprise au Japon parce que ça lui coutait moins cher. Son fils a suivi et il s'est rendu compte que l'école publique/privé est plus amusant que les cours à domicile. Il a choisi Shimizu pour son cadre qui lui plaisait.

'xxxxxAutre.

• Depuis combien de temps faites-vous du RP ? Des années.
• Comment avez-vous connu le forum ? Ancien.
• Avez-vous un double compte ? Oui.
• Personnage de votre avatar ? Je l'ignore.
• Quel est le code règlement ? Regardez danserle prêtre shintoïste.