Premier cour de Mythologie...

Stressé... Voici le seul mot qui pouvait caractérisé Uriel. Ce jour ci allait être le jour de son premier cour au lycée Shimizu. Ou plutôt son premier cour tout court! Pour la première fois, Uriel allait enseigner son savoir a de jeunes élèves. Lui qui detestait les profs plus que tout, le voila en devenu un... Mais maintenant qu'il était plus mature il voyait les choses sous un autre angle, et plus il réfléchissait plus il remarquait que parfois les profs en ont plus marre que les élèves... Mais bon loin de la ses futiles pensées, dans quelques heures, il allait enseigner !

Uriel se leva tôt, surement a cause de l'excitation, et alla se préparer. Il opta pour une tenue assez classe pour un premier jour. Un pantalon noir simple, droit, des mocassins noir, une chemise noir et son éternel veste rouge qui restait de loin sa préféré. Un petit porte bonheur pour lui, il la mettait toujours pour ce genre d'occasion. Ainsi habillé, Le jeune professeur prépara sa petite sacoche et mit divers feuille: son cour et quelques images notamment... Puis il s'attela a son rapide petit dejeuner avant de prendre le chemin de l'école. C'était bizarre pour ce jeune homme encore de retourner a l'école mais sans etre un étudiant. Il allait voir ce qu'il avait toujours détesté sous un angle nouveau. Peut être qu'il l'appréciera un peu plus...
C'est alors qu'a mi-chemin, Uriel se mit a méditer sur ses actions passé, notamment celle contre sont professeur de français... Aïe ! Si ses élèves lui réservait le même traitement, il ne restera pas longtemps en cours... Non non et non ! P as le droit de gaché une si belle journée avec de tels pensées ! Enfin c'était plus par peur de s'imaginer les horreur que peuvent faire ses élèves qu'autres choses...

Arrivé devant les portes du lycée Shimuzu, le coeur du jeune homme battait a cent a l'heure! Comment lui, du haut de ses 22 ans, pouvait faire face a cette armée d'élèves hystériques, rebelles et insouciants ? Arf, aller un peu de courage. Uriel prit une grande inspiration et pénétra dans l'enceinte de l'école. Il entra dans le batiment, monta les escalier et sortit un petit bout de papier où était noté le numero de sa classe...
Après quelques minutes d'érrance dans les couloirs, Uriel parvint enfin a sa salle de classe. DOucement il ouvrit la porte, apparemment stressé... non, très stressé. La cloche n'avait pas encore sonné, la salle était donc encore vide.


-Ma foie, un peu d'avance ne fais pas de mal...

Alors, Uriel posa ses affaires sur son bureau, sortit un petit livre et attendit ses élèves avec la plus grande appréhension...

[Owiii enfin un cours! /ZBAFF/]



Ce matin là, Aoi s'était vraiment mal réveillée. On peut dire que depuis son arrivée elle ne s'était pas vraiment fait d'amis et la solitude commençait vraiment à peser lourd sans ses parents. Les cheveux tout en pétard, elle se leva, s'assit sur son lit puis se frotta son oeil droit. S'appuyant sur ses deux bras, elle parvint à se lever malgrès qu'elle soit vraiment mal réveillée. La jeune fille se dirigea vers son armoire où elle sortit son fameux seifuku violet. Elle en sortit les bas assorties et les sandales noires. Se dirigeant vers son mirroir, elle se recoiffa en prenant soin de défaire tout ses noeuds. Aoi, tout bien préparée, alla fouiller dans son sac pour savoir si elle n'y trouverai pas des barres contre la faim. Elle y trouva une barre de céréale enrobée de miel. La demoiselle la finissa en un rien de temps. Elle prit ses bouquins de classe et descendit des escaliers. Ce matin-là, elle avait cours de Mythologie. Elle arriva en à peine 10 minutes devant cette fameuse classe. Il n'y avait personne mise à part le professeur, le nez plongé dans son bouquin. Aoi frappa puis entra.


"Ohayo gozaimasu sensei"

Juste après cette brève salutation, la jeune fille se dirigea vers sa place qui se trouvait près de la fenêtre. Le soleil brillait haut ce jour-là...

Plonger dans son livre, Uriel faisait abstraction de tout. Ici, dans cette petite chose qu'il tenait fermement dans ses mains, se trouvait toute l'histoire et les légendes du monde. D'aventure en aventure, le jeune professeur s'extasiait et lisait, comme si il le vivait, les légendes des dieux relater dans ce livre... Ainsi, il se trouvait dans la vaste plaine Vigrid, avec les dieux nordique d'un coté et les créatures du helheim de l'autre. A que de passion dans de si petite lignes !
Ca y est, ils chargent ! l'armée divine se ruait litéralement sur l'ennemie, pret a mourir avec honneur selon leurs propres lois! Les forces du Helheim et les dieux ne sont qu'a quelque mètres!, bientot le chox brutal de leur armes laisseront place aux cries de douleur et de mort. Le regard plein de combativité, il ne reste qu'une très courte distance. Ils peuvent voir leur regard avide de sang, leurs armes lévé au dans le ciel pour terrassé l'ennemie!
Odin, le dieu des dieux le va fierement sa lance en l'air et poussa un crie des plus terrifiants !

"Ohayo gozaimasu sensei"

Uriel sursauta, adossé sur son bureau. Apparemment il était de retour dans la triste réalité... Son regard se tourna vers la belle élève qui rentrait dans la classe. Bien qu'elle l'avait sortit de ses rêveries, Uriel débordait de joie a la vue de sa première élève. Quels du suffixe après son nom... Ah cette voix douce et clair prononçant "sensei", ah! que de bonheur...
Uriel afficha un très large sourire et lui fit signe de prendre place.


"-Ohayo. Je t'en prit assied toi, les autres ne devrais pas tarder... Du moins je l'espere...

Il baissa les yeux sur son livre et prit un stylo pour marquer la ligne où il s'était arrêté. Odin a un crie vraiment terrifiants, pensa t-il... Il afficha un demi sourire a cette pensé et leva les yeux une nouvelle fois sur SON élèves.

Comment t'appelle tu, jeune demoiselle ?

dit il en affichant un large sourire, tellement il était heureux et impatient d'enseigner a SES élèves...

"-Ohayo. Je t'en prit assied toi, les autres ne devrais pas tarder... Du moins je l'espere...

Aussitôt dit, aussitôt fait. Aoi alla s'asseoir à la table contre le rebord de la fenêtre. Le ciel était bleu, le solei brillait haut et les oiseaux chantaient. La jeune fille ouvrit à moitié la fenêtre pour sentir la bise légère. La cloche n'avait pas encore sonnée et pourtant elle était belle et bien seule. Elle se mit à rêver d'un monde parallèle, d'un monde où la paix règne, d'un monde où tout est verdoyant. En clair son paradis. Mais elle fut vite interrupu dans ses rêveries lorsque le professeur lui re-adressa la parole.

Comment t'appelle tu, jeune demoiselle ?

La demoiselle détourna son visage, regarda son professeur et dit...

"Watashi wa Aoi desu"

Juste après cette brève présentation, Aoi prit son livre de lecture et plongea son nez à l'interieur... Elle n'avait vraiment pas envie de faire connaissance avec ce professeur vu que sa réputation à légèrement baissé depuis sa rencontre avec Itsui-sensei.

La mythologie...ça le passionnait. Akemi avait hâte d'assister à son premier cours; Il courait dans le couloir, toujours aussi perdu qu'a son habitude. A chaque fois qu'il demandait son chemin, c'était pour en oublier les indications deux seconde après. Il bouscula un ou deux élève dans les couloirs, s'excusa avec toute la
politesse du monde et repartait en galopant.

*Surtout ne pas arriver en retard!!!*

Essoufflé il arriva devant la classe, du moins celle qu'il coyait être bonne. Il frappa et entrât sans attendre une réponse. Ce qu'il vit à l'intérieur n'avait rien d'un cours normal, surtout qu'il n'y avait que deux personne... qui avait l'air de trop bien s'entendre... Akemi dégluti et détourna le ragard, les joues rouge pompier.

"Arg... Sumimasen, je suis vraiment désolé"

Il referma la porte, après deux rapide courbette et souffla longuement. il n'en pouvait plus, ses yeux s'embrouillaient. il tourna la tête et se rendit compte que la classe dans lequel il devait aller était celle juste à coté. Il traina des pieds méfiant, arriva devant la porte coulissante et la tira doucement.

"Kyaaaa !"

La classe était elle aussi auccupé par deux personnes, le professeur et son élève! Mais Akemi se reprit... eux, ne faisait rien...ils attendait sagement. Il rougit. Son cris avait fait sursauter le professeur qui le regardait farouchement. Akemi s'inclina longuement, s'excusa de son entré quelque peu mouvementée et s'avanca dans la classe. La jeune fille qui était aussi en avance n'était autre que la jeune Aoi, qu'il avait rencontré dans le parc. Il la salua et lui demandât si il pouvat s'assoir à coté d'elle.

Uriel regardait sa jeune élève d'un air joyeux, apparemment heureux de rencontrer enfin un élève de son cour... La jeune fille s'était assise près de la fenêtre et regardais le ciel. Une jeune rêveuse a coup sur... Uriel sourit en se souvenant que lui aussi se mettait toujours a la fênetre pour s'imaginer dans un monde peupler d'anges. Ha... les cour était si ennuyeux. En y repensant, sa lui faisait un peu peur que sont cour devienne aussi ennuyeux que ceux auquel il participait. Piu! tout mais pas ça ! Pas question de devenir un vieux crouton râleur, débitant des choses aussi inutiles qu'insignifiantes et distribuant des punitions a gogo. Plutôt mourir que ça !
C'est alors que la douce voix de son élève le sortit de ses sombres pensées.

"Watashi wa Aoi desu"

Aoi... Jolie mais bien étrange prénom. Apparemment, cette Aoi n'avait guère l'envie de faire connaissance. Peut être cela la gênait, ou peut etre que le fait de sympathiser avec les profs relevait du suicide social... Dire qu'il avait connu sa, il pensait que ça allait s'améliorer, mais les nouvelles génération ne sont guère différente.. Ah mais voila qu'il parle comme une vieux débris de 60 ans ! Le fait d'être professeur donne littéralement un coup de vieux...
Et bien il ne restait plus qu'a attendre. Uriel sortit son livre et repris le cour de son histoire en attendait de voir si d'autres élève allait suivre son cour.

La sonnerie retentit soudainement. Voila ! Maintenant tout était une question de minute. Uriel leva les yeux de temps en temps sur l'horloge au fond de la classe en espérant quand même voir un peu plus d'élèves. Certes la mythologie peut paraitre inintéressante mais quand même... Pas autant!
Chaque claquement de l'aiguille retentissait dans la pièce. On entendait le bruit des autres classes d'a coté, et seule celle d'Uriel semblait silencieuse... Les minutes passait, sans aucune venue...
C'est quand Uriel allait perdre espoir, qu'un garçons entra dans la pièce et poussa un énorme crie. Uriel sursaute et fixa le garçon d'un air interrogateur. Ce dernier semblait essoufflé, il respirait rapidement et avait du mal a reprendre son souffle. Sans doute avait il peur d'arriver en retard. Une telles dévotion, ou plutôt peur de sanction, étant admirable...

Uriel lui adressa un magnifique sourire et lui fit signe de prendre place, essayant de le rassurer en lui disant que son raffut n'était pas grave, pour les gens qu'il y avait a déranger.... M'enfin, il y avait un élèves de plus, et cela rendit Uriel de plus en plus heureux.
Alors qu'il allait retourner a son live il vit un troisième élèves rentré dans la classe. Lui aussi essouffler... Décidément ils se sont donner le mot...
Uriel lui fit fit signe également de prendre place a une chaise et alla au tableau. Il se tourna alors vers ses trois élèves, son livre toujours en main, et s'adressa a eux.

" bien le bonjour a vous cher élèves. ma foie, malgré le nombre nous allons commencer..."

Uriel arbora un magnifique sourire et commença a écrire son nom au tableau. L'acte ainsi fait, il se tourna vers ses élèves et se présenta.

"Je m'appelle Uriel Natsume, professeur de mythologie... Je vais commencé ce cour en vous posant une question... Qu'est ce que cela évoque pour vous, la mythologie ?"

Il posa alors un regard faussement interrogateur sur ses élèves, se demandant bien ce qu'il pouvait penser de cette matière. Au moins il seras fixer sur ceux intéressé ou non...

Aoi était plongée dans son rêve. Après cette brève présentation, le silence s'installa... La cloche avait sonné mais la jeune fille s'en contrefichait. Chaque seconde retentissait dans la salle qui était étrangement silencieuse. La demoiselle avait le nez plongé dans son livre de lecture et elle refusait de le relever pas tant que le cours aurait commencer. Alors qu'elle était au beau milieu de la lecture, un jeune ouvrit la porte et poussa un crie. Aoi ne sursauta pas mais le regardait. C'était Seto-kun Akemi-chan! La jeune fille rougit et fit un petit sourire. Lorsque son ami lui demanda si il pouvait s'asseoir à côté d'elle, elle s'apprêtait à répondre lorsque...

"Dé....so....ler du re...tard"

Un jeune homme arriva à son tour. Aoi fit un souffle de soupir. Apparemment elle allait être la seule fille dans ce cours. L'autre inconnu qui venait d'arriver ne regardait pas la demoiselle mais Akemi. Celui s'installa juste à côté de lui. Encore une fois Aoi allait se retrouver seule pendant ce cours. Le sensei se releva, puis il prit la parole.

" bien le bonjour a vous cher élèves. ma foie, malgré le nombre nous allons commencer...

Le professeur se retourna puis écrivit quelque chose au tableau. Ainsi fut fait il se tourna vers ses élèves...

"Je m'appelle Uriel Natsume,
professeur de mythologie... Je vais commencé ce cour en vous posant une
question... Qu'est ce que cela évoque pour vous, la mythologie ?

Aoi prit une grand respiration puis leva sa main. Lorsque le professeur l'interrogea, elle dit...

"Pour moi la mythologie m'a toujours évoqué quelque chose parlant de légendes... mais elle est l'étude des mythes et de leurs significations, plus couramment elle désigne l'ensemble des récits mythiques liés à une civilisation, une religion ou un thème particulier. La mythologie prend sens et activité dans une culture socio-religieuse. Le mot est généralement utilisé pour décrire les
systèmes religieux des mondes anciens ou des civilisations premières, éloignées dans l'espace ou dans le temps. C'est ainsi que Li M'Hâ Ong a pu dire : « On nomme d'ordinaire mythologie les récits sacrés des religions auxquelles plus personne ne croit^[1] ». En effet, tout comme les religions exotiques, nombre de religionsantiques et ancestrales ne sont connues de la majorité des gens qu'à
travers les récits mythiques qu'elles ont laissés."

Le professeur fit un grand sourire à Akemi, ce qui eu le don de le calmer pour de bon. Un prof adorable, un classe plutôt... vide et comme sujet la mythologie. Akemi ne pouvait rêvé mieux pour apprendre. la porte de la classe s'ouvrit, un jeune garçon entra essoufflé, il était habillé de façon un peu fantaisiste et avait un visage fort doux. Akemi rougit comme à son habitude.


"Dé....so....ler du re...tard" articula le garçon


Celui-ci vint s'assoir à coté d'Akemi avec un sourire adorable. Akemi le lui rendit, complice, et se plongea dans son livre d'histoire. il était entouré de deux jeunes qui avait l'air vraiment sympa, il se sentait bien à ce moment .Le professeur se mit alors à parler

" bien le bonjour a vous cher élèves. ma foie, malgré le nombre nous allons commencer...


il pris une craie à la main est traça son nom au tableau. Le professeur avait l'air d'être quelqu'un de très sympathique, il souriait toujours et donnait un air très...compatissant à ses élève. Le genre de professeur qui ne fait pas que son travail, mais qui veut passionner ses élèves autant qu'il peut l'être.

"Je m'appelle Uriel Natsume,
professeur de mythologie... Je vais commencé ce cour en vous posant une
question... Qu'est ce que cela évoque pour vous, la mythologie ?

A cette question, Akemi s'empressa de lever la main, mais Aoi, la jeune fille, était déja en train de parler. Elle répondu à la question avec une facilitée étonnante. Akemi s'énerva il aurait voulu répondre la même chose mais Aoi avait été bien plus rapide. Il se mordit la lèvre, pui se résigna de la féliciter en ajoutant que la Mythologie à défault d'être universelle prenait toute sont empleur dans la grèce antique ou les échange dieux/homme donne un sens aux moeurs de l'époque.

Ange Stewarts. Le seul, l’unique, le meilleur et le pire. Le sécheur invétéré qui rêvassait en classe mais réussissait aux examens. Une tête de mule faisant le désespoir des profs. Un sourire prétentieux qui faisait exploser les élèves. Un minois angélique qui faisait tomber les filles. Il soupire et tire sur son pull gris. Que de classicisme, en ce jour ! Mais où sont passés les couleurs bariolés dont il se pare habituellement ? Pour tout observateur attentif, la réponse tombera d’elle-même : Dans son placard. Et oui. Rien de plus simple, n’est-ce pas ? Toujours est-il que le jeune homme avait troqué son haut vert vif contre un polo gris et son short violet contre un jean des plus banals. Tout ça parce qu’il devait aller en cour. Mon dieu. Compatissons. Pour le prof ou pour Ange ? A vous de juger. Toujours est-il qu’il avait prévu de quoi animer le cours. Oh oui. Un fin sourire diabolique se cale contre ses lèvres et il rit doucement, lançant un clin d’œil à Ji Di qui le regarde, intrigué.

Il faut dire que, ce matin, le blond semblait particulièrement bizarre. Un peu…Diabolique. Le Chinois frissonne en le fixant. Oui, un peu effrayant aussi. Ange lui adresse un sourire et un signe de la main avant de filer et Ji Di plains particulièrement le prof qu’il va avoir.

Les yeux verts se posent sur sa montre. Il est l’heure. Cours de mythologie. Sourire suffisant. Il allait pouvoir s’amuser un peu. Un peu beaucoup. Pauvre pauvre pauuuuvre monsieur Natsume qui venait de débarquer. Il enroula une mèche autour de son index et attendit qu’il soit pile l’heure avant de s’engouffrer dans la salle de classe et d’aller se poser à côté d’une fenêtre un air de doux agneau sur les traits. N’importe qui serait tombé dans le panneau. Et le prof était n’importe qui. Les yeux d’Ange le détaillent de haut en bas. Sans pudeur. Avec intensité. Il se demande ce qui peut pousser un homme à peine plus vieux que lui à retourner au lycée quand tout bon lycéen n’espère que le quitter. S’échapper. Loin, loin. Plus loin, toujours plus.

Il coupe le fil de ses pensées d’un battement de cil. Il ne devait pas se perdre. Ce n’était pas l’endroit. Sa main trembla légèrement tandis qu’il écoutait les élève déblatérer leurs réponses, toutes plus fades les unes que les autres. Il hausse un sourcil et les autres ont l’honneur de voir cette main fine et blanche se lever, demandant la parole.

Il finit par attirer l’attention. Il claque de la langue, agacé et attends que le silence se fasse avant de crucifier le prof du regard. Il n’est pas bien impressionnant mais il a appris à contrôler son regard. Il le manipule comme d’autres jouent la comédie. C’est juste moins flagrant chez lui. Il sourit en coin et appuie son menton dans ses mains.

« Si l'on ne se base que sur le sens des racines grecques, la Mythologie désigne aussi la légende orale. Celle que les poètes transmettent par le chant. Et pas forcément juste l'étude du Mythes.» Il coula un regard narquois à la jeune encyclopédie vivante.« Toujours est-il Monsieur, que votre point de vue nous intéresse, qu’est-ce que la Mythologie, pour vous, hm ? »

Sourire en coin. Malicieux et un peu diabolique. Retourner la question à celui qui la pose. Le grand jeu d’Ange. Il n’attend même pas la réponse du prof pour repartir dans sa rêverie. Tout sauf intéressé. De toutes façons, on l’a forcé à venir. Alors…

Il fait un morpion contre lui-même, en baillant. Un peu d’animation ?

« Si l'on ne se base que
sur le sens des racines grecques, la Mythologie désigne aussi la
légende orale. Celle que les poètes transmettent par le chant. Et pas
forcément juste l'étude du Mythes.»

Akumi se retourna à cette voix qui dévoila la présence d'un curieux jeune homme. Il paraissait froid et distant, d'une arrogance extrême et en accentua l'impression lorsqu'il retourna négligemment la question au professeur.
« Toujours est-il Monsieur, que votre point de vue nous intéresse, qu’est-ce que la Mythologie, pour vous, hm ? »

Tout portait à croire que son seul but était de mettre mal à l'aise le nouvel enseignant. Qui ne bronchait gère d'ailleurs! Akumi sentait son sang bouillonner, il détestait les gens de son espèce qui, à défaut d'être conscient de leur propre aptitudes, enfonçaient les autres dans la boue et le ridicule. Il lui assena un regard noir, de deffi et pria pour que le professeur ne relève pas le tons de sa phrase. Le dojo était un lieu ou l'on aprenait à être humble, fort et respectueux envers celui qui partage son savoir. Cet adolescent manquait cruellement d'éducation. Akemi se clama. Après tout, il était dans un Lycée ou tout les caractères formaient un tout innebranlable.

" Sensei, pourrait en effet nous dire se qu'il en est..."

Akemi en rajouta un peu plus sur ce qu'avait dit Aoi. Elle se mit à rougir un petit peu plus. Voilà quelqu'un d'intelligent apparement. L'autre inconnu qui venait d'arriver dit du fond de sa pensée une réponse vraiment très brève. Alors que Natsume-sensei allait parler, une autre personne que je n'avais pas vu reprit la paroles en disant...

« Si l'on ne se base que
sur le sens des racines grecques, la Mythologie désigne aussi la
légende orale. Celle que les poètes transmettent par le chant. Et pas
forcément juste l'étude du Mythes.»

Aoi fut surprise. SUrtout que le dernier inconnu demanda l'avis au sensei. Akemi en rajouta davantage. Lorsque la jeune fille regardait la personne derrière elle, un mauvais souvenir du passé lui revint. On lui avait envoyé des ballons de baudruche remplie d'eau pour la ridiculser. Les larmes venant, Aoi se leva et dit d'une voix tremblotante...

"Excusez moi je reviens..."

Sur ce elle sortit de la classe pour déverser ses larmes...

Aaah... Premiers cours de Leandro, depuis son arrivée du Brésil! Enfin, il y était au Japon depuis bel et bien un an, mais il ne s'était jamais déplacé dans aucun établissement scolaire. Durant cette année, il étudia le japonais, tout en prenant ses cours en portugais, pour ne pas se faire dépasser par le programme japonais. Il était donc en ce jour, emplit d'excitation, voire même de motivation, à l'idée d'aller dans un lycée japonais. Il se leva même pour la peine avec une belle heure d'avance.

Dès le réveil, le jeune brésilien alluma sa chaîne hi-fi, raggaeton cubain à l'appui, pour se donner une bonne humeur matinale. Il souriait, et dansait presque en prenant ses affaires dans son placard. Serviette sur l'épaule, caleçon.. moui tout était bon. Leandro se lava vite, et secha ses cheveux verdoyants à grands coups de serviette. Faciles à recoiffer a la brosse, il les dompta facilement, et les laissa glisser sur ses épaules. Sa garde-robe se composait toujours des mêmes vêtements, déclinés sous plusieurs couleurs. Un débardeur, surmonté d'un sweat-capuche, avec un baggie-short et, une paire de tongs. Toujous en beach-wear. Après quelque secondes à se frotter le menton, il finit par saisir un débardeur vert, et les autres pièces en blanc, et s'habilla brièvement. A son habitude, il mit sa capuche et sortit de chez lui, souriant à pleine dents.

Leandro sortit de chez lui, son petit loft à un centaine de mètres de la plage, au lever du soleil. Car oui, il allait à Shimizu a pied, et il fallait bien ça pour arriver à l'heure. Il contempla les vagues, nostalgique, avant de se rendre compte qu'y rester une demi-heure * eeet mer..* c'était trop. Il prit un pas pressé en direction de la ville. Leamos arriva au lycée, en entendant cette sonnerie typiquement japonaise. Il s'arrêta devant le portail et sourit... puis se remit à courir avant de comprendre que cela signifiait bien qu'il était en retard!

"não é verdade, não os primeiros cursos!"
("c'est pas vrai, pas au premier cours!")

Oui, Leandro parle très bien japonais, mais il reste brésilien au fond. Il courait à travers les couloirs, après avoir, bien sûr, demandé son chemin. Il prit ses tongs en main, pas facile de courir avec, et ressera les sangles de son sac à dos ( 8D sponsorisé par Rip../ZBAFF/ ). Il arriva, en dérapant, dans le couloir adjacent à sa salle de classe, et ralentit le pas en arrivant devant sa porte. Une jeune fille y était adossée, pleurant à chaudes larmes. *é que confusões isto o..( c'est quoi l'embrouille)* Leandro s'approcha de la jeune fille, et se pencha un peu, oui elle est un peu plus petite, et s'adressa à elle en bon japonais, mais avec son sensuel accent brésilien:

" Hemm.. quelque chose ne va pas?"

Uriel regardait ses élèves en attendant sa réponse. Au fond il appréhendait tout les réponse possible: le silence, qui était la plus courante, les boulette de papier, ou tout simplement une réponse amusante. Le jeune professeur n'attendit pas longtemps avant de voir quelques mains se lever, mais une seule pris la paroles! C'était Aoi, sa belle élève, qui prit de court son jeune camarade... Décidément, on voyait vraiment tout du bureau du prof.
Ainsi la jeune élève récita sa réponse comme si elle la lisait. Une telles connaissance est tout a son honneur, Uriel était assez impressionné... Oui c'était parfait, mais trop parfait justement. Uriel se demanda comme une si jeune étudiante pouvait retenir tout ça et le redire mot pour mot sans faute...
Etait elle un robot? en tout cas il était réussit... Il regarda Aoi et lui adresser un sourire en hochant de la tête pour lui montrer qu'elle avait bien répondue. Il regarda aussi le deuxième élève et lui sourit pour lui montrer son approbation.
Ensuite répondit le troisième élèves avec une réponse des plus intéressante. Car il avait répondu avec sa propre définition et c'est bien cela que Uriel demandait.. Affichant un sourire en coin, Uriel regarda ses élèves en faisant signe de la tête qu'il était content des réponse, mais au moment ou il allait répondre, un nouvel élève rentra dans la salle.

Heureux de voir de nouvel tête, Uriel sourit a cet élève, même si a première vue, il était du genre orgueilleux et suffisant. Mais peut être était ce qu'une apparence. Son regard et sa façons de parler trahissait ses intentions. Uriel est jeune mais il a connu ce genre de spécimen auparavant. Néanmoins, ce jeune étudiant avait une réponse des plus recherchés... Même si sa présence semblait gêner les autres élèves, personne ne devrais être privée d'instruction. Ainsi, Uriel afficha un petit sourire et le pria de s'asseoir.
C'est alors que Ses élèves lui posèrent une bien belle question.

« Toujours est-il Monsieur, que votre point de vue nous intéresse, qu’est-ce que la Mythologie, pour vous, hm ? »

" Sensei, pourrait en effet nous dire se qu'il en est..."


Uriel ricana, son avis les intéressait? Certain peut être oui, mais en tout cas pas le nouvel arrivant qui était déjà partit bien au delà des limites de son morpions. Néanmoins, les autres élèves semblait curieux de connaitre son ressentir. Uriel s'adossa donc a son bureau et prit la paroles.


-"Avant de vous dire ce que je pense, j'aimerais que vous me disiez votre nom avant de parler, sa m'aiderais beaucoup..."

Uriel afficha un sourire des plus radieux avant de se raclé la gorge et de commencer son pseudo discour

-" Pour moi, la Mythologie reste un monde merveilleux, emplie de légendes et de fantastique. De nos jours nous ne pouvons plus croire et rêver a de tels chose du fait de la modernisation, Mais avant quand le tonnerre faisait encore trembler les hommes, il fallait bien expliquer de tels phénomène...
Biensur ce que vous dites est exact, mais pour moi, la mythologie reste un monde fantastique un monde de rêve où tout est possible! Les aventures des dieux relèves du surnaturels, mais cela n'en est que plus passionnant. Savoir que de tels géants pouvait vivre de tels aventure. Et je ne parle pas que de la mythologie grecques, mais aussi nordique et celtes, très intéressantes elles aussi... D'ailleurs qu'elles différence note t-on entre ces trois mythologies ?

Uriel posa un regard interrogateur, notamment sur le jeune étudiant sois disant prétentieux. Peut etre se fichait il du cour, mais il ne manquerais pas l'occasion de répondre au prof pour l'intimider, mais si il répondait juste cela suffisait amplement pour Uriel, qui ne répondait a ses provocation qu'avec de petits sourire narquois.

Mais avant que quelqu'un ne réponde, la jeune Aoi se leva soudainement et quitta la salle. Le jeune professeur voulu la rattraper, mais il vit qu'un autre adolescent vint la rejoindre. ALors il resta a la porte, au cas où, en balançant son regard de la porte vers la classe en disant a ses élèves.

-"Allons allons n'ayez pas peur de répondre..."

Faire des morpions tout seul n’est pas une activité des plus divertissante, avouons le, aussi Ange décida-t-il bien vite de s’abandonner à la contemplation de la cour. Magnifique cour. Superbe cour. Un bijou de l’art moderne. Il glousse intérieurement. Qu’il est bête parfois, l’angélique jeune homme. Mais ce n’est pas nouveau. Soudain, la voix de Monsieur Natsume met ses sens en éveil. Il redresse le regard, attentif.

Un fin sourire s’imprime sur ses lèvres. Le prof est assez convaincant, ce qui amène Ange à lui accorder un semblant d’intérêt. Il balaye ses morpions du bras et son sourire adoucit un instant les traits de son visage. Il sait être devenu l’ennemi numéro un. Et ça l’amuse. Il donne un léger coup dans son sac et lève les yeux au ciel. Fera ? Fera pas ? Il hésite. Il glousse doucement et relève les yeux. Il guette une réponse de ses camarades. Réponse qui ne vient pas. Il se mord la lèvre, hésite. Et un nouveau sourire fleurit sur ses lèvres. Il est conscient d’alourdir l’ambiance mais il s’en fiche. Personne dans la salle ne compte sur lui. Personne. Il lève la main. Il respecte l’ordre dans un certain sens, il ne faut pas croire. Il respecte plus ou moins ses professeurs et n’est insolent que par cette extrême politesse qui le caractérise. Tellement poli qu’il en devient insultant. Drôle de sort. Le prof lui accorde la parole. Stewarts sourit doucement.

« Monsieur, pour faire simple, les Grecs sont débauchés, les Nordiques guerriers et les Celtes se font mousser en mettant en avant des humains et non des Dieux. Au fait, on m’appelle Ange Stewarts. »

Ce n’est pas tout à fait vrai. Pas tout à fait faux non plus. Il faut dire que les connaissances qu’il avait en mythologie est légèrement limité. Il a quelques bases de celle grecque – et cela s’était vu lorsqu’il avait pris la parole pour la première fois – mais dans le cas des autres cités auparavant, ses souvenirs restaient vagues et brumeux. Avec un peu de chance, il n’était pas tombé tant à côté de la plaque que ça. Il avale sa salive et croise les bras, regardant soudain le prof avec attention.

Ange est une arme à double tranchant dont on ne sait de quel côté se méfier. Le côté cynique est certes glaçant et désagréable lorsqu’il se retourne contre vous mais la fausse innocence de l’autre côté est mortifiante. Il sourit en coin et sort un bout de papier où il griffonne quelques mots. Sourire sadique. Petite moue angélique. Cocktail dangereux et explosif. Petit Petit Petit Monsieur Natsume, venez par là…Il ricane et envoie d’une pichnette le mot sur le bureau du prof, lui envoyant un sourire ravageur au passage.

Les sourires ravageurs ont toujours été une matière dans laquelle il excelle. Toujours. Avec facilité, il déconcertait par son sourire aguicheur et mutin. Du moins, quand il était de bonne humeur. Le reste du temps… Il sourit en coin en repensant au mot. « Monsieur le professeur sexy, voulez vous coucher avec moi, ce soir… ? » Ce n’est pas tant la réponse – il est certain que se sera non – que la réaction que la réaction qui l’intéressait. Oh la réaction… Il s’en pourlèche les lèvres d’avance. Tester les limites, tester les gens. Il se moque éperdument que le prof puisse le lire devant la classe. Oh pire les gens riront et il en sera content. Qu’on rit de lui ou avec lui, c’est du pareil au même. Toujours. Qu’on se moque de lui l’atteignait peu tant qu’il faisait quelque chose de fun.

Il entortille une longue mèche blonde autour de son doigt et se lèche les lèvres en fixant le prof. Allez, petit petit petit. Petite proie qui va tomber dans les filets d’Ange. Ils tombent tous. L’important est la façon dont ils se relèvent. Ca promettait d’être particulièrement…Drôle.

Il ferme les yeux un instant. Que le spectacle commence.

Aoi était accoudée dans les couloirs à côté de la porte de la salle de classe. L'aura de l'inconnu qui était derrière elle l'avait ravivé de mauvais souvenirs... Des souvenirs d'humiliations, d'insultes et de bagarres, tout aussi pires les unes des autres comme le jour de son 13 anniversaire. Un des malheurs d'Aoi revint: c'était un garçon de 10 ans, dernier de la classe, jaloux de l'intelligence superficielle de la jeune fille, qui, tous les soirs après les cours, envoyait des choses qui faisait mal comme des ballons de baudruche remplies d'eau, des cailloux ou encore des boulettes de papier. Aoi sentait des flash dans son corps car son cerveau lui faisait revivre ces mauvais souvenirs d'enfances... Mais les flash s'arrêtèrent lorsqu'elle entendit...

" Hemm.. quelque chose ne va pas?"

Une voix avec un accent plutôt espagnole. Une voix douce et chaude. Aoi regarda l'homme qui l'avait fait cesser ces cauchemard: c'était un jeune homme plutôt grand avec des claquettes à la main. Sa respiration étant haletante et son corps tremblant, elle dit d'une voix timide...

"J'ai de mauvais souvenirs qui me hantent... J'ai tellement peur..."

"J'ai de mauvais souvenirs qui me hantent... J'ai tellement peur..."

"Euuh.."

Leandro fut prit au dépourvu. Pensait-il qu'elle se confierait comme ça à lui de suite? Nan, pourtant c'est bien ce qu'elle fit, et il fut légerement pris au dépourvu. Elle devait avoir un assez lourd passé pour pleurer en ressassant ses souvenirs. Il posa sa main sur la joue de la jeune fille, balaya sa larme du bout du doigt, et lui lança un grand sourire joyeux. Leandro lui ébouriffa les cheveux, prenant bien soin de la décoiffer, puis jeta ses tongs au sol avant de les renfiler. Il prit la main de l'inconnue dans la sienne et la serra, faisant les présentations.
" Leamos Anderson Da Silva. Leandro si tu préfères. Arrête de penser au passé si il te fait pleurer, c'est aussi simple que ça"
Leandro se repencha vers elle, remettant, avec grand soin, et en étant bien concentré, quelque mèches dressées sur la tête. Il s' appliquait à lui faire une coupe dingue, comme si elle sortait d'une essoreuse. Il rit aux éclats, devant la masse épineuse, digne de Sonic le hérisson qui se présentait sur la tête de l'inconnue. Toujours un peu pris dans son fou rire débile, Leandro poussa la porte d'entrée de la salle, s'y engouffrant rapidement, mais // BAOM //

" Aiiiie! golpe baixo (saloperie) !! C'est quoi cette manie de poser des portes coulissantes partout.."

Leandro se releva, frottant son front, puis remettant sa tong fuyarde dans son pied. Il repassa son bras par l'anse de son sac à dos, et retira sa capuche, laissant respirer sa longue masse de cheveux. Il regarda alors la jeune fille, prise de rire et suivit la tendance, en tirant la langue et en fermant un oeil. Il fit coulisser la porte, doucement cette fois-ci, et s'inclina devant une assemblée étonnée. Leandro eut un rire nerveux, de honte, avant de se présenter au professeur. Mais lequel? Tous si jeunes.. Bon, il le lancerait au vent, en attente d'une réponse, il verrait bien de qui il s'agit.

" hem.. Leandro.. Leamos Anderson Da Silva, étudiant étranger... désolé du retard, je vis assez loin et.. je me suis laissé avoir par le temps."

Il alla s'asseoir sur une table, pas trop en avant, ni au fond de la classe, mais à proximité d'une fenêtre. Il posa son sac sur le sol, et en sortit un petit bloc note, un crayon, et un Ipod qu'il enfila dans une oreille. Leandro, se prépara de suite à suivre le cours, avant de sentir une présence froide dans son dos. Il se tourna, et vit un jeune homme, aux longs cheveux, et au visage merveilleux. Il ressemblait bien à ce genre de personne qui avait l'air doux comme un agneau, mais nocif comme de l'eau de javel. La froideur que sentait Leandro, malgré le sourire du garçon, ne l'empêcha pas de lui faire un grand signe de la main avec un grand sourire d'allumé monumental. Il lança ce même sourire à toute la salle de classe, tandis que le prof regardait ce jeune homme du fond avec un regard incertain et déconcerté. Il reprit la parole, un peu étonné, et perdant son faciès enjoué, avec son accent brésilien:

" Quoi j'ai manqué quelque chose? J'ai dit un truc?"

Le jeune homme posa sa main sur la joue de la jeune fille et lui sécha une larme. Celui-ci lui lança un grand sourire plein de joie. Aoi fit de même, d'une grande facilité. Soudainement l'inconnu lui ébouriffa les cheveux en la décoiffant bien. Il remit aussi ses tongs qu'il portait dans sa main. Le jeune homme prit la main d'Aoi et se présenta.

" Leamos Anderson Da Silva. Leandro si tu préfères. Arrête de penser au passé si il te fait pleurer, c'est aussi simple que ça"

La demoiselle souria. Elle se mit aussi à rire pour la première fois depuis son arrivée au pensionnat. Leandro dégageait une aura de bonheur ce qui permettait à Aoi de rire et sourire telle une jeune fille de son age. Aoi n'eut pas le temps de se présenter que son ami lui fit quelques mèches. En se regardant dans la glasse, la jeune fille eut un effet de surprise. Elle était un peu ridicule dans cet accoutrement. Toujours dans son rire, Leandro poussa la porte d'entrée et s'y engouffra rapidement, le probleme c'est qu'il se l'est un peu prise sur la face.

" Aiiiie! golpe baixo !! C'est quoi cette manie de poser des portes coulissantes partout.."

Aoi eut soudainement un fou rire même si elle avait peur de se moquer de Leandro. Celui-ci regarda la jeune fille et lui fit une grimace. La demoiselle riait aux éclats. Elle en avait oublié sa timidité. En entrant dans la classe, la jeune fille lacha la main du jeune homme de peur de créer des soupçons puis s'installa à sa table. Son ami s'inclina et se présenta puis s'excusa. Aoi s'asseya, sortit un miroir et une brosse à cheveux vu sa coupe hérisson, regarda le professeur et dit...

"Permettez Natsume-sensei. Il vaudrait mieux que je sois présentable"

Elle se recoiffa. Sa coupe hérisson était peut être drôle mais il valait mieux reprendre du sérieux. Lorsqu'elle eut fini, elle rangea son matériel, sortit un bout de papier et un stylo. Elle y écrivit dedans un petit mot. Leandro se trouvait derrière elle. Aoi voulait le revoir. Lorsque le professeur eut le dos tourné, elle fit un geste rapide pour donner le mot à son camarade derrière. Aoi fit un rire discret. Dans ce bout de papier elle avait écrit: << Chalut! Au fait je m'appelle Aoi. Ca te dirait qu'on déjeune ensemble à midi?>>

La jeune fille de tout à l'heure s'assit juste devant lui, et demanda la permission du professeur..enfin remit ses cheveux en place tout en en demandant la permission. Devant l'absence de réponse auquel il du faire face, Leandro souffla, et fixa le plafond. Puis la jeune fille posa un petit bout de papier sur le pupitre du garçon, et il s'empressa de le lire.

<< Chalut! Au fait je m'appelle Aoi. Ca te dirait qu'on déjeune ensemble à midi?>>

Leandro sourit. Et il y avait de quoi..on venait de l'inviter à déjeuner! Il griffona la réponse avec son crayon, et renvoya le bout de papier par dessus l'épaule d'Aoi, et retomba pile sur sa table.

<< Avec grand plaisir Aoi >>

Hormis la petite discussion en papier des deux jeunes gens, la salle était plongée dans un calme plat, le professeur ne parlait pas, et les élèves semblaient attendre une quelconque réponse à une question. Le jeune homme froid du fond souriait, la jeune fille assise sur la même rangée semblait dévorer le prof du regard, d'autes semblaient surpris.. Bref, une ambience assez particulière, et mystérieuse.
Soupirant, il s'adossa à la chaise, et la pencha en arrière, sa tête aussi, et s'adressa au jeune homme à l'allure étrange au fond. Il parla, sans même essayer de limiter l'impact de son accent:

" Hey tu peux me dire ce qui se passe ici ? Je m'appelle Leamos Anderson.. ravi de faire ta connaissance.."

< Désoler de l'abscence, je reserve le post mais cher élèves ^^>